Apocalypse - retours à froid et anlyses
"Il portait des culottes, des bottes de moto
Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la région"
Un truc de motard sauvage comme dans le roman "nous rêvions juste de liberté", la chanson s'appelle "la route" aussi donc c'est les aigles sur les blousons de cuirs, réf bikers, rusty james et l'équipée sauvage (je vais me le regarder celui-là ce weekend), pendant que les rats sont dans leurs cages, voilà la bonne acception de la citation: "mieux vaut la dictature des aigles que la démocratie des rats." Une acception somme toute assez évidente. La route sur apocalypse juste après arizona baby, sur god bless, route 666

Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la région"

Spoiler
j'ai découvert cette chanson avec la cassette de Fanny en 1992, la reprise de Fanny 


Dernière modification par audrey83 le 25 avr. 2025, 23:02, modifié 1 fois.
C'est exactement ça pour moi, y a pas à chercher plus loin je penseMarcel a écrit : ↑25 avr. 2025, 08:09Luc a écrit : ↑24 avr. 2025, 16:47 Et sinon...
On en parle des possibilités métaphoriques de ce vers ???Mieux vaut la dictature des aigles Que la démocratie des rats
Parce qu'il a de quoi faire parler pendant des jours et des jours et des jours...
ça passerai presque inaperçu s'il n'y avait eu des précédents...
Les sentiers qui se marrent etc...
Pas loin loin du point G le Damien !
Il n'y a pas que le régime nazi d'Hitler qui avait comme représentation symbolique un aigle, donc ce n'est pas forcément un point Goldwing.
Mais en ce qui concerne cette phrase, je pense plutôt que la "dictature" des aigles en question, c'est bien celle des USA et de la Russie dont il veut parler.
Quand aux nombreux rats qui se disent democrate et prône la démocratie, les valeurs, les droits de l'homme etc, je verrais bien en particulier la France et l'Europe.
Au final, je suis assez d'accord avec Damien.
pour le coup je le vois pas dans cette théorie mème si c'est vrai que le plus fort gagne fin tout le bordel darwinien qui leurs servent bien aux "autres" tiens.Luc a écrit : ↑25 avr. 2025, 13:37 Pour continuer le troll : l'aigle, c'est clairement une figure du nazisme. Et le juif est souvent caractérisé avec la figure du rats.
Ensuite, pour revenir plus sérieusement sur la phrase en elle-même. Ce qu'il sous entends c'est que la loi de la nature souvent assimilée à la loi du plus fort car issue de la théorie de l'évolution de Charles Darwin prévaut sur la loi humaine et plus restrictivement à celle qui nous gouverne, la démocratie. Assimilant donc les rats à nous.
Malheureusement pour lui, Darwin commence a être décrié. Non pour sa vision de l'évolution, mais sur l'importance de la concurrence dans le règne animal, qui serait moindre par rapport aux aspects collaboratifs
https://www.allodocteurs.fr/bien-etre-p ... 22448.html
ben justement faut suivre youtube et les droitards eux direct y sont allez et je pensais que dany et raz et oui dingue c'est mes youtubeurs préférées ni sont pas allés niveau politique encore une erreur suffit de voir les coms ect et là est le problème si ça avait était nabila la gauche en aurait parler fin vous voyez vraiment pas ce qui est entrain de ce jouer là, et faut pas s'étonner de ceux qui ne ce retrouve plus dans cette nouvelle gauche, mais pour toi vincent lapierre doit ètre un gros faf j'imagine l'un des rares points de désaccord avec dany et raz d'ailleurs c'est le point error 404 dans leurs cerveaux là dessus mais ça reste les plus pertinents à gauche sur youtube et heureusement qu'il y a des mecs comme eux.Et j'ai été impressionné par le nombre de com qui écoutent saez car si ils pensent vraiment comme un la sanction ben putain.
ben ouais du coup tout ce que t'avais dit encore une fois fin ça me semble tellement logique comme interprétationMarcel a écrit : ↑25 avr. 2025, 16:16Non pas du tout, la représentation d'un ou des aigles, sur les drapeaux, blasons, bouclier,etc n'est pas "clairement" une figure du nazisme.
Comme je l'ai écrit plus haut, certe le nazisme à utiliser l'aigle comme symbole, mais depuis des millénaires ce symbole est utilisé.
Ceux qui me viennent en tête sont bien sûr avec les USA où ont retrouve l'aigle sur presque tout leurs symboles d'état. La Russie biensur avec ces doubles aigles, la Biélorussie me semble il, mais aussi Napoléon, l'empire Romain, et certainement beaucoup d'autres encore en cherchant un peu sur internet.
Dernière modification par tesco neo le 26 avr. 2025, 02:27, modifié 1 fois.
Ce que je ne savais pas c'est que le parti nazi avait pris l'aigle comme symbole, vile appropriation, on dirait que c'en est une, vu que dans certains cerveaux, l'acception évidente (l'aigle comme roi des oiseaux, comme l'oiseau liberté) est supplantée par l'appropriation des fachos dans l'interprétation sémantique, c'est fou

Ici dans le contexte textuel de la chanson il est évident qu'il est à prendre comme le symbole de la liberté sur les routes et dans la nature, parce-que l'aigle dans l'absolu, c'est le roi des oiseaux et du sauvage, on pourrait le trouver dans " la faim du tigre" de barjavel, je m'y atellerai un peu plus tard

Et si on embrasse le texte plus largement, ça se confirme:
""Y a pas d'or qui coule dans nos sangs
Juste la Terre qui coule en toi
Non la nature n'a pas de règle
Oui que celle du plus fort tu vois
Mieux vaut la dictature des aigles
Que la démocratie des rats
Au loin des lumières de ces villes
Tous ces bruits tous ces hurlements
Y a tant de rivières sous mes cils
J'ai plus de larmes que l'océan
Mais je ne regretterai rien""
Spoiler
Non rien de rien non je ne regretterai rien

""Chante avec moi frangin pour notre mère la Terre
Qu’ici-bas il n’est rien qui ne fasse lumière
Nous sommes tous en chemin vers l’obscur ou le clair
Et perdus dans l’écrin de notre mère la terre
Envolés sur le dos de l’oiseau liberté
Emportés par les crocs de la haine incarnée
Si nous sommes cernés par tous les terrorismes
Ceux du sang de la haine ou ceux de nos fascismes
S’il faut plus qu’une armée pour protéger nos libres
On ne combat jamais mieux qu’en ouvrant des livres""
Bon ben, effectivement chacun ces références ….

« C’est un peu l’Amérique au cœur de Pontarlier » Jojo
« Quand elle montre son cul ouais dans tout Pontarlier
Putain Lulu dis moi ici qui l’a pas baissé ? » Lulu
« Puis putain Pontarlier dis moi quoi faire que boire
Ouais boire pour mieux gerber, gerber nos désespoirs » Lulu
Pontarlier, ce n’est pas seulement une ville du Haut-Doubs, c’est aussi là que la fameuse Fée Verte, l’absinthe, a régné pendant des années. Et devinez qui la connaissait bien ? Verlaine et Rimbaud, deux grands poètes qui ont souvent trempé leurs vers (et leurs verres) dans ses reflets verts..."



« C’est un peu l’Amérique au cœur de Pontarlier » Jojo
« Quand elle montre son cul ouais dans tout Pontarlier
Putain Lulu dis moi ici qui l’a pas baissé ? » Lulu
« Puis putain Pontarlier dis moi quoi faire que boire
Ouais boire pour mieux gerber, gerber nos désespoirs » Lulu
Pontarlier, ce n’est pas seulement une ville du Haut-Doubs, c’est aussi là que la fameuse Fée Verte, l’absinthe, a régné pendant des années. Et devinez qui la connaissait bien ? Verlaine et Rimbaud, deux grands poètes qui ont souvent trempé leurs vers (et leurs verres) dans ses reflets verts..."
Dernière modification par Bagheera le 26 avr. 2025, 12:21, modifié 1 fois.
eh non, juste une assertion de plus!

"les questions.
Dans la meute aux médias
Je m'en sortirai pas."
Traditionnellement, l'absinthe est verte. C’est d’ailleurs de là que vient son surnom poétique de "Fée Verte". La couleur verte vient de la chlorophylle extraite des plantes utilisées après la distillation (grande absinthe, hysope, mélisse, etc.), par une macération secondaire. Cette couleur est donc naturelle.
Les plus puristes s’accordent sur ce point : Une absinthe de qualité est naturellement verte.
Mais elle peut donner des reflets bleus ou laiteux au moment de la dilution.
Lorsqu’on verse de l’eau froide dessus, elle devient trouble (le fameux "louche") et là, certaines absinthes prennent une teinte qui peut tirer vers le blanc, le gris perle, voire le bleu très pâle, selon leur composition.
Sous certains éclairages ou dans certaines bouteilles, l’absinthe peut sembler vert clair, vert olive, jaune-vert, voire avec une touche bleutée.
Le poison, de Charles Baudelaire (Les Fleurs du mal, 1857)
Le vin sait revêtir le plus sordide bouge
D’un luxe miraculeux,
Et fait surgir plus d’un portique fabuleux
Dans l’or de sa vapeur rouge,
Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux.
L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes,
Allonge l’illimité,
Approfondit le temps, creuse la volupté,
Et de plaisirs noirs et mornes
Remplit l’âme au delà de sa capacité.
Tout cela ne vaut pas le poison qui découle
De tes yeux, de tes yeux verts,
Lacs où mon âme tremble et se voit à l’envers…
Mes songes viennent en foule
Pour se désaltérer à ces gouffres amers.
Tout cela ne vaut pas le terrible prodige
De ta salive qui mord,
Qui plonge dans l’oubli mon âme sans remord,
Et, charriant le vertige,
La roule défaillante aux rives de la mort!
Alors oui, elle peut parfois sembler bleue... à ceux qui veulent bien rêver un peu…
Dans le bleu de l'absinthe, de Damien Saez (album Debbie)
Les plus puristes s’accordent sur ce point : Une absinthe de qualité est naturellement verte.
Mais elle peut donner des reflets bleus ou laiteux au moment de la dilution.
Lorsqu’on verse de l’eau froide dessus, elle devient trouble (le fameux "louche") et là, certaines absinthes prennent une teinte qui peut tirer vers le blanc, le gris perle, voire le bleu très pâle, selon leur composition.
Sous certains éclairages ou dans certaines bouteilles, l’absinthe peut sembler vert clair, vert olive, jaune-vert, voire avec une touche bleutée.
Le poison, de Charles Baudelaire (Les Fleurs du mal, 1857)
Le vin sait revêtir le plus sordide bouge
D’un luxe miraculeux,
Et fait surgir plus d’un portique fabuleux
Dans l’or de sa vapeur rouge,
Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux.
L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes,
Allonge l’illimité,
Approfondit le temps, creuse la volupté,
Et de plaisirs noirs et mornes
Remplit l’âme au delà de sa capacité.
Tout cela ne vaut pas le poison qui découle
De tes yeux, de tes yeux verts,
Lacs où mon âme tremble et se voit à l’envers…
Mes songes viennent en foule
Pour se désaltérer à ces gouffres amers.
Tout cela ne vaut pas le terrible prodige
De ta salive qui mord,
Qui plonge dans l’oubli mon âme sans remord,
Et, charriant le vertige,
La roule défaillante aux rives de la mort!
Alors oui, elle peut parfois sembler bleue... à ceux qui veulent bien rêver un peu…


Dans le bleu de l'absinthe, de Damien Saez (album Debbie)
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