On n'a vraiment pas les mêmes gouts et pour moi Thiefaine à fait bien mieux que Lorelei
Tout le texte d'Anatoline est vraiment sublime
"Si tu es mon miroir je serai l’impossible
À voir par le regard nous serons l’invisible
À leurs yeux trop stupides pour comprendre les cieux
Impossible aux cupides de leur triste bon dieu"
"Et crois bien oui que quoi qu’en disent les religions
Il n’est pas de Dieu mon ange qui condamne le frisson"
Saez peut s'inspirer de qui il veut, et alors ? je ne comprends pas le rapport. ca veut dire que tous les futurs artistes, dès qu'ils s'inspirent de quelqu'un, alors ils sont moins bien que celui de qui il s'inspire ? Surtout que cet interview à 23 ans; il a bien évolué DamienElie a écrit : ↑26 janv. 2025, 20:48 nous avions remarqué que le nom d'un artiste, chanteur comme lui, revenait souvent dans la bouche du Dijonnais. Souvent d'ailleurs pour citer celui-ci en exemple et louer ses carrière et personnalité exemplaires.
(...)
Damien : on parlait de respect tout à l'heure, c'est exactement ça. C'est ce que Thiéfaine m'inspire.
(...) Damien : Je suis d'accord sur l'écriture. Dans ton dernier disque, ce que j'ai écouté, ce sont les textes, le reste, l'emballage, je m'en foutais. Ce qui m'intéressait, c'était les textes. Je ne m'intéresse qu'à cela d'ailleurs dans un disque la plupart du temps. Et ce qui m'a marqué le plus c'est « Also spracht Vinnie l'ourson » qui peut passer pour de la provocation mais qui est pour moi juste de la lucidité... C'est-à-dire : dire la réalité en y mettant de la poésie. C'est même fou de considérer cela aujourd'hui comme de la provocation...
(...) Damien : Oui, c'est sûr. Je crois que je fais partie d'une génération qui a connu un « revirement » en quelque sorte. J'ai grandi en écoutant des chansons (Brel, Barbara, Ferré, Thiéfaine...) qui n'étaient pas forcément celles de ma génération, mais je crois qu'on se positionne toujours dans la vie par rapport à ce qu'il y a eu « avant ». Peut-être pas immédiatement « avant », mais une peu « avant-avant » (rires) ! Moi, à Dijon, dans un bar rue Janin, j'écoutais « La fille du coupeur de joints » et ça faisait référence...