Un licenciement pour s'être allongé pendant sa pause déjeuner....
La justice social des financiers....
Un jour peut être, nous construirons le monde que nous voulons... Faut croire que celui nous semble juste et nous convient, puisque nous continuons de demander à nos maîtres au lieu d'agir pour devenir nos propres maîtres...
Il n'y a qu'une action commune à mener en même temps... Mais on se divise à travers des luttes particulières. On se bat pour rester dans l'ancien monde, celui qui nous fait souffrir...
Nous sommes dans la rue, mais c'est pas dans la rue qu'il faut être, c'est faire son taf gratuitement la solution. C'est considérer que chaque humain a sa raison d'être, ses capacités individuels et que nul ne mérite plus que l'autre de par sa naissance ou d'un mérite incomparable. Carlos pourrait il faire pendant 8 ans le travail d' Adama ?
Le footballeur à t'il plus de mérite que l'agriculteur ?
Quand ceux qui produisent les ressources primordial sont sous payé au profit de ceux qui n'en possède que les terres, les institutions qui abuse de qui ?
Puisque leurs systèmes de contrôle est basé sur la nécessité d'avoir de l'argent, il faut annihiler le pouvoir de l'argent. Et le meilleur moyen de le faire est la gratuité absolu.
En agissant sur ce moteur, c'est notre monde qu'on redessine puisqu'on redessine les priorités individuels ?
À l'heure de la communication instantané, à distance, pourquoi ne serions nous pas capable de nous organiser ?
Mais non, on est trop con, ou alors on a trop peur pour passer pour des fous, des utopistes... Conditionnement à la mords moi le nœuds....
Mais bande d'abruti si c'est utopistes, c'est ça corresponds à un rêve, un idéal... N'est ce pas pour ça qu'on se bats ? Pour nos idéaux ?
N'est ce pas nos utopies que nous devons construire ?
Elle est là, à porter de main, à porter de conviction, le moyen il est là, simple et efficace.
Mais pour ça faut prendre ses responsabilités... Et nos responsabilités on préfère les délégués...
Monsieur le président... Au moins ça fait quelqu'un sur qui taper si ça marche pas... Nous on y est pour rien, c'est pas nous... C'est nos maîtres...
Ma lutte c'est la liberté... J'me sens terriblement seul dans celle ci... Et pourtant j'ai la sensation que c'est une volonté commune.
J'avais besoin de râler un coup...
De toute façon, y a que les combats qui font réagir, les caresses nous endorment... Ou indifférent...