Composez avec les titres de Damien Saez
police, c'est la guerre , fils de france, jeunesse lève toi, la chanson du vieux réac enlève ton masque, c'est la lutte tout les gamins du monde désespérés c'est l'attentat notre dame mélancolie la dame en feu. Manu dans l'cul, camarade président mon terroriste voici la mort
Le petit marin fou vogue au-delà du brouillard.
S’en aller sur la route avec sa planche à roulettes, légionnaire condamné à St Pétersbourg.
Into the wild, les enfants lune vont sur les quais de Seine de Châtillon.
Les désespérés seront les inséparables rois demain et moi je suis Peter Pan sur mon tricycle jaune.
Is it ok ?
On se désire. Elle était profonde ma magnifique Kasia.
Autour de nous les fous veulent du nucléaire. J’accuse les p’tites putes !
Défoncé dans les métros de Rochechouart, je suis Rottweiler pour y voir les printemps patriotes sur Telegram.
C’est la solution, mais qui je suis ? D’où je viens ? De la province ? De Mohamed ?
Je suis jeune et con sur les webcams de nos amours, moi contre lui, ma rock’n’roll star.
Je suis le fils d’Artaud perdu, alors jeunesse lève toi !
La mort c’est au cimetière des amours. J’envoie ma religieuse à Yellowstone.
Mon pays je t’écris la lutte au bar du populaire.
Faut s’oublier, ma vieille et mon ami de Liège.
Voici la mort, Massoud c’est la guerre. Je suis un étranger qui chante la beauté du coeur aux encres des amours. J’veux qu’on baise sur ma tombe !
No more Roméo et Juliette !
No more tango !
Halleluja l’oiseau liberté fauché.
Des foudres en travers les néons, comme une ombre dans le gaz et la fumée de cigarette.
Alice, je suis perdu en ces jours étranges.
C’est le chant à ton nom liberté.
Les hommes prennent la route, menacés mais libres. Tu y crois ?
Adieu la môme dans son perfecto noir…
Adieu Betty, p’tit bout d’paradis…
J’veux m’en aller et mourir en paix !
Je suis seul au milieu de tous, le cavalier sans tête contestataire.
Pourtant il y a ton sourire…
S’en aller sur la route avec sa planche à roulettes, légionnaire condamné à St Pétersbourg.
Into the wild, les enfants lune vont sur les quais de Seine de Châtillon.
Les désespérés seront les inséparables rois demain et moi je suis Peter Pan sur mon tricycle jaune.
Is it ok ?
On se désire. Elle était profonde ma magnifique Kasia.
Autour de nous les fous veulent du nucléaire. J’accuse les p’tites putes !
Défoncé dans les métros de Rochechouart, je suis Rottweiler pour y voir les printemps patriotes sur Telegram.
C’est la solution, mais qui je suis ? D’où je viens ? De la province ? De Mohamed ?
Je suis jeune et con sur les webcams de nos amours, moi contre lui, ma rock’n’roll star.
Je suis le fils d’Artaud perdu, alors jeunesse lève toi !
La mort c’est au cimetière des amours. J’envoie ma religieuse à Yellowstone.
Mon pays je t’écris la lutte au bar du populaire.
Faut s’oublier, ma vieille et mon ami de Liège.
Voici la mort, Massoud c’est la guerre. Je suis un étranger qui chante la beauté du coeur aux encres des amours. J’veux qu’on baise sur ma tombe !
No more Roméo et Juliette !
No more tango !
Halleluja l’oiseau liberté fauché.
Des foudres en travers les néons, comme une ombre dans le gaz et la fumée de cigarette.
Alice, je suis perdu en ces jours étranges.
C’est le chant à ton nom liberté.
Les hommes prennent la route, menacés mais libres. Tu y crois ?
Adieu la môme dans son perfecto noir…
Adieu Betty, p’tit bout d’paradis…
J’veux m’en aller et mourir en paix !
Je suis seul au milieu de tous, le cavalier sans tête contestataire.
Pourtant il y a ton sourire…
On ne se coud jamais qu'avec du fil de soi.
Mon pays je t'écris , Marianne
La guerre des Mondes , Betty , Germaine ... Levguenia par Telegram
J'accuse Manu dans l'cul , P'tite pute Dans les métros
Tristesse Dans La beauté du cœur de Ma Vieille , Le Gaz à Notre-Dame Mélancolie
De Maria à Saint-Pétersbourg , (D)Les enfants Paradis A ton Nom
J'veux du nucléaire , j'veux qu'on baise sur ma tombe.
J'envoie Ma Gueule , Ma Populaire , Debbie , Marta ,Lula
En travers les néons , Dans le bleu de l'absinthe , Monté là-haut
L'Humaniste , Les enfants Lune , Les Enfants Paradis
Mon terroriste , Je suis Peuple Manifestant ,au Premier mai , Faut s'oublier
Regarder les filles pleurer , Les cours de lycée , C'est la lutte !
Cigarette ...
La guerre des Mondes , Betty , Germaine ... Levguenia par Telegram
J'accuse Manu dans l'cul , P'tite pute Dans les métros
Tristesse Dans La beauté du cœur de Ma Vieille , Le Gaz à Notre-Dame Mélancolie
De Maria à Saint-Pétersbourg , (D)Les enfants Paradis A ton Nom
J'veux du nucléaire , j'veux qu'on baise sur ma tombe.
J'envoie Ma Gueule , Ma Populaire , Debbie , Marta ,Lula
En travers les néons , Dans le bleu de l'absinthe , Monté là-haut
L'Humaniste , Les enfants Lune , Les Enfants Paradis
Mon terroriste , Je suis Peuple Manifestant ,au Premier mai , Faut s'oublier
Regarder les filles pleurer , Les cours de lycée , C'est la lutte !
Cigarette ...
Partisan de l'Artisan , Artiste à l'Art Triste.
L'Art réalité comme un tableau , dans cette Lutte pour une meilleure Culture.
Le retour aux sources , la musique , sans fioriture.
Libre à nous de devenir , ou redevenir , Peuple Manifestant.
L'Art réalité comme un tableau , dans cette Lutte pour une meilleure Culture.
Le retour aux sources , la musique , sans fioriture.
Libre à nous de devenir , ou redevenir , Peuple Manifestant.
Et alors ?
Il était bien dit qu’on pouvait mettre des articles, déterminants et des verbes…
Chacun joue comme il le veut hein.
Perso ce qui m’intéresse c’est de raconter une histoire, pas une énumération de mots de titres.
Il était bien dit qu’on pouvait mettre des articles, déterminants et des verbes…
Chacun joue comme il le veut hein.
Perso ce qui m’intéresse c’est de raconter une histoire, pas une énumération de mots de titres.
On ne se coud jamais qu'avec du fil de soi.
Je suis jeune et con, Rottweiler en bord de seine, Si J'accuse Marie ou Marilyn, p'tite pute en sangreFredS a écrit : ↑22 nov. 2024, 19:11 Mon pays je t'écris , Marianne
La guerre des Mondes , Betty , Germaine ... Levguenia par Telegram
J'accuse Manu dans l'cul , P'tite pute Dans les métros
Tristesse Dans La beauté du cœur de Ma Vieille , Le Gaz à Notre-Dame Mélancolie
De Maria à Saint-Pétersbourg , (D)Les enfants Paradis A ton Nom
J'veux du nucléaire , j'veux qu'on baise sur ma tombe.
J'envoie Ma Gueule , Ma Populaire , Debbie , Marta ,Lula
En travers les néons , Dans le bleu de l'absinthe , Monté là-haut
L'Humaniste , Les enfants Lune , Les Enfants Paradis
Mon terroriste , Je suis Peuple Manifestant ,au Premier mai , Faut s'oublier
Regarder les filles pleurer , Les cours de lycée , C'est la lutte !
Cigarette ...
je suis en sangre amandine des drogues, germaine montée là haut, anatoline je cherche encore, putain ma vie, ma province aux bars tabac du populaire boule qui roule rue d'la soif, jeune et con les misérables désespérés usé condamné, sur le quai à nos amours on ce désire je suis perdu, voici la mort tu y crois toi ? j hallucine toi tu dis que t'es bien sans moi, p'tite pute, elle aimait c'faire liker la belle aux bois dormant, ma magnifique, faut s'oublier no more.
p'tit bout de paradis
p'tit bout de paradis
Waouh ! Chapeau les magnifiques ! Certains ne s’arrêtent plus !... C’est chouette… 
Vous vous déversez, vous me dégoûtez
Et pourtant putain que vous êtes beaux
Que même votre bêtise fait bien
Oui qu'elle fait bien sonner les mots
Qu'on dirait les phrases
Que je n’ai jamais su faire
Qu'on dirait que Paris
A été fait pour vous !!!!
♫♪ Se trainer au bar tabac ou dans les bars du port pour y voir les fils de France, les fils d’Artaud, les clandestins, les frères, les échoués … Que tout est noir Pierrot de regarder les filles pleurer. Jeunesse lève-toi ! Sonnez tocsin dans les campagnes ! C’est la guerre !
♫♪ C’est le chant libre peuple manifestant ! La lutte, la liberté à bout de souffle, à bout d’Humanité ! Les condamnés révoltez-vous !
♫♪ Sauvez cette étoile pour des matins de pluie, des matins de neige, les printemps et l’envol de l’oiseau liberté !
Vous vous déversez, vous me dégoûtez
Et pourtant putain que vous êtes beaux
Que même votre bêtise fait bien
Oui qu'elle fait bien sonner les mots
Qu'on dirait les phrases
Que je n’ai jamais su faire
Qu'on dirait que Paris
A été fait pour vous !!!!
♫♪ Se trainer au bar tabac ou dans les bars du port pour y voir les fils de France, les fils d’Artaud, les clandestins, les frères, les échoués … Que tout est noir Pierrot de regarder les filles pleurer. Jeunesse lève-toi ! Sonnez tocsin dans les campagnes ! C’est la guerre !
♫♪ C’est le chant libre peuple manifestant ! La lutte, la liberté à bout de souffle, à bout d’Humanité ! Les condamnés révoltez-vous !
♫♪ Sauvez cette étoile pour des matins de pluie, des matins de neige, les printemps et l’envol de l’oiseau liberté !
Allez encore un ! Avec le moins se rajout…
Si je suis le cavalier sans tête voici la mort contestataire, camarade président.
Libre police, je suis seul au milieu de tous !
Qui je suis ? D’où je viens ? Au delà du brouillard la mort anéantit Pierrot. Je suis perdu Notre Dame mélancolie en bords de Seine.
On se désire lui contre moi.
Si quais de Seine, Marta à bout de souffle, embrasons-nous !
Putains vous m’aurez plus ! Kasia, Petrushka, La Maria, Betty. Pleure pas bébé, je suis le Christ. Que tout est noir St Petersbourg.
Adieu les condamnés, les désespérés. S’en aller jeunesse lève toi !
Sauver cette étoile je suis la solution, on a pas la thune ma gueule.
Il s’endort Mohamed.
Dis-moi qui sont ces gens : Bonnie, Lulu, Debbie, les enfants paradis.
Le ciel en pleure encore à nos amours les meurtrières pour y voir ceux qui sont en laisse.
On meurt de toi liberté !
Elle était profonde la symphonie des siècles. La lutte, les printemps sur la route so gorgeous. No more perfect world. Is it ok my funny Valentine ?
Crépuscule usé…
Fin des mondes j’veux du nucléaire mon terroriste. C’est la guerre ! P’tite pute féministe !
J’envoie l’attentat, amour criminel. Humanité comme une ombre.
Je cherche encore les fils d’Artaud dans les bars du port.
Paraît qu’on a plus l’âge, Ana, la môme menacée mais libre…
Personne a dit qu’c’était facile, les tourtereaux…épleurez-moi !
Si je suis le cavalier sans tête voici la mort contestataire, camarade président.
Libre police, je suis seul au milieu de tous !
Qui je suis ? D’où je viens ? Au delà du brouillard la mort anéantit Pierrot. Je suis perdu Notre Dame mélancolie en bords de Seine.
On se désire lui contre moi.
Si quais de Seine, Marta à bout de souffle, embrasons-nous !
Putains vous m’aurez plus ! Kasia, Petrushka, La Maria, Betty. Pleure pas bébé, je suis le Christ. Que tout est noir St Petersbourg.
Adieu les condamnés, les désespérés. S’en aller jeunesse lève toi !
Sauver cette étoile je suis la solution, on a pas la thune ma gueule.
Il s’endort Mohamed.
Dis-moi qui sont ces gens : Bonnie, Lulu, Debbie, les enfants paradis.
Le ciel en pleure encore à nos amours les meurtrières pour y voir ceux qui sont en laisse.
On meurt de toi liberté !
Elle était profonde la symphonie des siècles. La lutte, les printemps sur la route so gorgeous. No more perfect world. Is it ok my funny Valentine ?
Crépuscule usé…
Fin des mondes j’veux du nucléaire mon terroriste. C’est la guerre ! P’tite pute féministe !
J’envoie l’attentat, amour criminel. Humanité comme une ombre.
Je cherche encore les fils d’Artaud dans les bars du port.
Paraît qu’on a plus l’âge, Ana, la môme menacée mais libre…
Personne a dit qu’c’était facile, les tourtereaux…épleurez-moi !
On ne se coud jamais qu'avec du fil de soi.
J'en profite , du coup , pour refaire mon texte , un peu mieux
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Lettre Apolitique
Autour de moi les fous , La Guerre des Mondes
Puisque Tout est Noir , pour Les Désespérés , Les Echoués & autres Fils de France
Pour Les fils d'Artaud puis Les enfants Paradis et l'Ami de Liège.
Y a bien Betty , Lula , Germaine , Ma Religieuse et autres Petites Putes .
Puis Marie ou Marilyn , Dans les métros
Ceux qui sont en laisse
Puis y a Les Meurtrières ,La Maria , Massoud
Levguenia et ça Tristesse par Télegram
A ton nom … Notre-Dame Mélancolie
Pour Ces gens-la , Mon Pays je t'écris
Je suis La Lutte ! A bout de souffle , Usé
Comme un oiseau en cage .
Je cherche encore, Je suis perdu, Que tout est noir ...
Dis-moi qui sont ces gens , Marianne
J'accuse Tristesse , La beauté du cœur de Ma Vieille
En bord de Seine ,Faut s'oublier Notre-Dame Mélancolie , On meurt de toi
J'veux du nucléaire et j'veux qu'on baise sur ma tombe.
J'veux m'en aller , au Crépuscule , Monté la-haut
J'accuse Mon terroriste et sa Belle au Bois ,
Elle qui aimait se faire liker ,
Regarder les filles pleurer dans les Cours de lycée
Ou le Petit Prince avec Rottweiler dans sa Cadillac Noire
L'Abattoir de Saint-Pétersbourg à Miami
Cigarette et Pilule , Des Drogues en bouche , pour Des P'tits sous
Je suis Peuple Manifestant ! Clandestins , L'enfant des guerres
Au Premier mai ,Faut s'oublier , C'est La Lutte , C'est la guerre
J'envoie Ma Gueule , Ma Populaire , Debbie ,Marta & Lula
En travers les néons , Dans le bleu de l'absinthe ,
Sonner Tocsin dans les campagnes
Ma religieuse en Burqa , L'Attentat sans Humanité
Comme une ombre , une Solution
Menacé mais libre , pour Sauver cette étoile.
Voici la mort , Mon Terroriste ! Tu y crois ?
Pour l'Humaniste , Les enfants lune & Ma Populaire
Pour Tous les gamins du monde
Liberté !
Partisan de l'Artisan , Artiste à l'Art Triste.
L'Art réalité comme un tableau , dans cette Lutte pour une meilleure Culture.
Le retour aux sources , la musique , sans fioriture.
Libre à nous de devenir , ou redevenir , Peuple Manifestant.
L'Art réalité comme un tableau , dans cette Lutte pour une meilleure Culture.
Le retour aux sources , la musique , sans fioriture.
Libre à nous de devenir , ou redevenir , Peuple Manifestant.
Telegram
Qui je suis, d’où je viens : Je suis juste un gamin… Jeune et con. Pierrot, l’enfant de France, l’enfant des guerres.
Châtillon-sur-Seine, premier mai, matin de neige. Seul au milieu de tous sur le quai, je suis un étranger libre, contestataire. L’oiseau liberté. J’accuse le roi, le requin Massoud, les infidèles, les meurtrières, ma putain du showbiz, les Hommes, l’Humanité… Et ton cinéma anticommunautaire, camarade président ! Enlève ton masque, mon terroriste !
Autour de moi, les fous clandestins : l’anarchiste féministe, la môme patriote, la belle au bois, la dame en feu, le cavalier sans tête, les tourtereaux, les inséparables... Je suis perdu… Lulu, dis-moi qui sont ces gens, ceux qui sont en laisse…
Jours étranges… No place for us, les Magnifiques. Des p’tits sous ?! On a pas la thune, c’est la guerre, la chute. La mort, l’abattoir, l’attentat, Guantánamo, les guerres des mondes, les amours mortes… Que tout est noir… Oppression, tristesse, mélancolie… Le ciel en pleure encore… S.O.S, Notre-Dame Mélancolie !
Frères, frères d’armes menacés mais libres, peuple manifestant, sonnez tocsin dans les campagnes, la province ! Jeunesse, lève-toi ! « Sauver l’étoile », tu y crois Petrushka ?
Putain ma vie… La lutte… Walk with the devil… Matins de pluie, se traîner route 666, rue d’la soif, au bar du port, château de brume, dans les métros… Regarder les filles pleurer en bords de Seine, au cimetière des amours… Aimer, c’est se battre pour perdre. Quand on perd son amour, personne a dit qu’c’était facile… Des marées d’écume… On a tous une Lula ! Nana, ma meuf à moi, elle aimait se faire liker… Chanteur démodé, fauché, je suis bouteille à la mer, plage abandonnée… Si toi tu dis que t’es bien sans moi, on meurt de toi à l’Alhambra, Kasia... Amour criminel ! Ana, Alice, Barbie, Betty, Bonnie, Debbie, Germaine, Julie, ma populaire, ma petite couturière, ma religieuse, mon influenceuse, mon Européenne, nonne ou putain, faut s’oublier… Putains, vous m’aurez plus ! Comme une ombre, j’veux m’en aller… Planche à roulettes, come to me! Tricycle jaune, drive me into the wild!
Usé, anéanti, à bout de souffle, je cherche encore des drogues, ma pilule céleste dans le bleu de l’absinthe, pour y voir la beauté du cœur, l’humaniste, ma Magnifique…
Pill for the ride, hallelujah! Ice cream trip on an acid van! Défoncé, j’hallucine : légionnaire, rock’n’roll star, je suis le Christ ! Cold heart, j’veux du nucléaire, des foudres ! S’ils ont eu raison de nous, je n’ai pas peur de mourir… Solution : embrasons-nous ! Rois demain les échoués, les condamnés, les désespérés, les misérables, les mélancoliques, le petit marin fou, les fils d’Artaud, les enfants lune ! Tous les gamins du monde !
Writings on the wall: « Chanson pour mon enterrement : J’veux qu’on baise sur ma tombe. »
Le dernier disque : « Si l’amour était universel… ». *Tango*
Cigarette, je suis prêt ! *Countdown* J’envoie le gaz, pleure pas bébé… C’est le chant bleu blanc sang, la symphonie des siècles, entre cœur et hémoglobine ! *Silence* Crépuscule… On s'endort sur des braises... Mon ami de Liège, il s’endort comme une bougie dans le vent… Voici la mort, l’envol… Madame s’en va… Apocalypse baby!
Fin des mondes, nouveau printemps, post humanity. Au-delà du brouillard : P’tit bout d’paradis. Connection, sexe, liberté ! Perfect world! So gorgeous! Il y a ton sourire, Petit Prince ; Jojo, Mandela, Mohamed, ma Vieille, ma gueule, Peter Pan, Jessie, les enfants paradis…
Je suis à tes côtés, Lindsay. Si tu t’en vas, je pleurerai. Tu es ma lumière, fleur iranienne. Montée là-haut, c’est toi l’étoile ! Be my princess!
Que sont-elles devenues, Marta, Marianne, Marguerite, Marie ou Marilyn, La Maria ? Les cours des lycées, Varsovie, Saint-Pétersbourg ? À nos amours ! Aux encres des amours !
P.-S. : Elle était profonde… ^^
J'ai essayé de n'ajouter aucun mot, ni aucune lettre.
Qui je suis, d’où je viens : Je suis juste un gamin… Jeune et con. Pierrot, l’enfant de France, l’enfant des guerres.
Châtillon-sur-Seine, premier mai, matin de neige. Seul au milieu de tous sur le quai, je suis un étranger libre, contestataire. L’oiseau liberté. J’accuse le roi, le requin Massoud, les infidèles, les meurtrières, ma putain du showbiz, les Hommes, l’Humanité… Et ton cinéma anticommunautaire, camarade président ! Enlève ton masque, mon terroriste !
Autour de moi, les fous clandestins : l’anarchiste féministe, la môme patriote, la belle au bois, la dame en feu, le cavalier sans tête, les tourtereaux, les inséparables... Je suis perdu… Lulu, dis-moi qui sont ces gens, ceux qui sont en laisse…
Jours étranges… No place for us, les Magnifiques. Des p’tits sous ?! On a pas la thune, c’est la guerre, la chute. La mort, l’abattoir, l’attentat, Guantánamo, les guerres des mondes, les amours mortes… Que tout est noir… Oppression, tristesse, mélancolie… Le ciel en pleure encore… S.O.S, Notre-Dame Mélancolie !
Frères, frères d’armes menacés mais libres, peuple manifestant, sonnez tocsin dans les campagnes, la province ! Jeunesse, lève-toi ! « Sauver l’étoile », tu y crois Petrushka ?
Putain ma vie… La lutte… Walk with the devil… Matins de pluie, se traîner route 666, rue d’la soif, au bar du port, château de brume, dans les métros… Regarder les filles pleurer en bords de Seine, au cimetière des amours… Aimer, c’est se battre pour perdre. Quand on perd son amour, personne a dit qu’c’était facile… Des marées d’écume… On a tous une Lula ! Nana, ma meuf à moi, elle aimait se faire liker… Chanteur démodé, fauché, je suis bouteille à la mer, plage abandonnée… Si toi tu dis que t’es bien sans moi, on meurt de toi à l’Alhambra, Kasia... Amour criminel ! Ana, Alice, Barbie, Betty, Bonnie, Debbie, Germaine, Julie, ma populaire, ma petite couturière, ma religieuse, mon influenceuse, mon Européenne, nonne ou putain, faut s’oublier… Putains, vous m’aurez plus ! Comme une ombre, j’veux m’en aller… Planche à roulettes, come to me! Tricycle jaune, drive me into the wild!
Usé, anéanti, à bout de souffle, je cherche encore des drogues, ma pilule céleste dans le bleu de l’absinthe, pour y voir la beauté du cœur, l’humaniste, ma Magnifique…
Pill for the ride, hallelujah! Ice cream trip on an acid van! Défoncé, j’hallucine : légionnaire, rock’n’roll star, je suis le Christ ! Cold heart, j’veux du nucléaire, des foudres ! S’ils ont eu raison de nous, je n’ai pas peur de mourir… Solution : embrasons-nous ! Rois demain les échoués, les condamnés, les désespérés, les misérables, les mélancoliques, le petit marin fou, les fils d’Artaud, les enfants lune ! Tous les gamins du monde !
Writings on the wall: « Chanson pour mon enterrement : J’veux qu’on baise sur ma tombe. »
Le dernier disque : « Si l’amour était universel… ». *Tango*
Cigarette, je suis prêt ! *Countdown* J’envoie le gaz, pleure pas bébé… C’est le chant bleu blanc sang, la symphonie des siècles, entre cœur et hémoglobine ! *Silence* Crépuscule… On s'endort sur des braises... Mon ami de Liège, il s’endort comme une bougie dans le vent… Voici la mort, l’envol… Madame s’en va… Apocalypse baby!
Fin des mondes, nouveau printemps, post humanity. Au-delà du brouillard : P’tit bout d’paradis. Connection, sexe, liberté ! Perfect world! So gorgeous! Il y a ton sourire, Petit Prince ; Jojo, Mandela, Mohamed, ma Vieille, ma gueule, Peter Pan, Jessie, les enfants paradis…
Je suis à tes côtés, Lindsay. Si tu t’en vas, je pleurerai. Tu es ma lumière, fleur iranienne. Montée là-haut, c’est toi l’étoile ! Be my princess!
Que sont-elles devenues, Marta, Marianne, Marguerite, Marie ou Marilyn, La Maria ? Les cours des lycées, Varsovie, Saint-Pétersbourg ? À nos amours ! Aux encres des amours !
P.-S. : Elle était profonde… ^^
J'ai essayé de n'ajouter aucun mot, ni aucune lettre.
Merci, Luc.
Le « ma » s’est immiscé dans mon texte de son propre chef. Je n’avais même pas fait attention à cela. C’était probablement naturel et instinctif, car « je cherche encore pilule » ne sonne pas très bien / français à mes oreilles, et j’étais de nouveau en train de chercher ma pilule, celle que j’ai (virtuellement) l’habitude de prendre. ^^
Le « ma » s’est immiscé dans mon texte de son propre chef. Je n’avais même pas fait attention à cela. C’était probablement naturel et instinctif, car « je cherche encore pilule » ne sonne pas très bien / français à mes oreilles, et j’étais de nouveau en train de chercher ma pilule, celle que j’ai (virtuellement) l’habitude de prendre. ^^
J'aurai usé d'une juxtaposition en ajoutant/déplaçant la virgule selon le sens que l'on veut y donner :
- je cherche encore des drogues, pilule céleste, dans le bleu de l’absinthe pour y voir la beauté du cœur.
- je cherche encore des drogues, pilule céleste dans le bleu de l’absinthe, pour y voir la beauté du cœur.
Mais je trouve cette phrase tellement belle !
- je cherche encore des drogues, pilule céleste, dans le bleu de l’absinthe pour y voir la beauté du cœur.
- je cherche encore des drogues, pilule céleste dans le bleu de l’absinthe, pour y voir la beauté du cœur.
Mais je trouve cette phrase tellement belle !
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