Les Magnifiques

Nobody a écrit : ↑14 nov. 2021, 19:09 Au combat j'irai droit face aux flammes incendiaires
Et mon âme elle sait faire, elle sait faire des lumières
Nous ferons les chemins dans les voies du destin
Dans les boules en cristal, dis vois-tu les étoiles?

J'trouve rien avec boules du coup je remplace par couilles .. ça marche pareil ???

La vie maintenant c'est super cool
J'ai des masseuses pour chaque couille
J'vais dans les soirées huppées

J'avais vérifié y'avait bien quelque chose mais je t'accorde l'extrapolation, tout en poésie

Nobody a écrit : ↑16 déc. 2021, 22:32

J'avais vérifié y'avait bien quelque chose

C'était quoi celle que tu avais ?

Digitalis a écrit : ↑17 déc. 2021, 07:27

Nobody a écrit : ↑16 déc. 2021, 22:32

J'avais vérifié y'avait bien quelque chose

C'était quoi celle que tu avais ?

"Comme un soulard qui perd la boule" Ma gueule de terroriste.

Puis c’est la vie qui passe
Puis c’est la vie qui fuit
C’est l’amour qui se casse
Quand c’est toi qui t’enfuis

Tu ignores le vide devant toi
Les vertiges et la peur,
Tu connais pas
(En travers les neons)

Tu y crois toi?
A tout c'qu'on raconte
Qu'on laisse crever nos vieux
Pour que tout aille mieux
Parce qu'on est égoïste
Qu'il suffirait d'aimer
Et de se consumer
Mais qu'aimer de travers
Peut mener en enfer!
Tu sais bien quoi!
L'ivresse et les vertiges!
Tu la connais toi
La caresse et la guerre

En Enfer avec toi j’irai mille fois plus qu’une
Comme un soleil se couche dans les bras de la Lune
Marions dans les lits mais jamais sur l'autel
Des églises qui ne feraient de nous qu’un ciel

Mon Pays je t'écris sous le ciel de Novembre
Comme un sanglot prierait l'éternel de lui rendre
Les fleurs de ma patrie piétinées sur l'autel
Des Enfants paradis repartis pour le ciel

Faut marcher dans les clous,
Faut pas boire au volant,
Faut dépenser ses p'tits sous,
Faut du réseau pour tes enfants,

Elle dit qu'elle croit en rien, qu'les verres sur les comptoirs
Qu'elle elle a pas d'destin que de sortir le soir
D'aller traîner la nuit, d'aller traîner les bars
Quand elle fait peine à voir, ouais ressers-lui à boire
Ouais y a son cœur qui bat, quand elle est trop bourrée
Qu'elle te prend par le bras juste pour aller danser
Elle a les yeux d'un roi, la reine des écorchées

Accorde-moi l'amour une dernière fois
Je t'en prie mon amour, serre-moi fort dans tes bras