Plus tu refoules tes désirs, plus ils s'emparent de toi. Si alors, tu oses les mettre en pratique, tout s'ajuste comme il se doit, tu te retrouves alors dans une béatitude absolue, un orgasme cotonneux qui te colle à la peau, sans même une once de culpabilité.
Ose danser aux enfers, si ça te plaît.. Si les coups te font du bien, prends les. Laisse toi prendre.
Du populaire délicieusement crade
Votre citation de l'instant
- goelandfou
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- CellarDoor
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Le bonheur disait-il,
C’est une affaire d’agilité
Des mains et de l’esprit.
Les âmes maladroites, on le sait,
Sont malheureuses dans la vie.
Et peu importe que les gestes
Distordus, mensongers
Soient une source de tourments.
Dans les orages et les tempêtes,
Au coeur du quotidien fade et figé,
Dans les plus lourdes des pertes
Et quand la tristesse t’inonde,
Paraître simple et souriant
Est l’art le plus sublime au monde.
Essenine
C’est une affaire d’agilité
Des mains et de l’esprit.
Les âmes maladroites, on le sait,
Sont malheureuses dans la vie.
Et peu importe que les gestes
Distordus, mensongers
Soient une source de tourments.
Dans les orages et les tempêtes,
Au coeur du quotidien fade et figé,
Dans les plus lourdes des pertes
Et quand la tristesse t’inonde,
Paraître simple et souriant
Est l’art le plus sublime au monde.
Essenine
Je rebondis sur ces jolis mots:CellarDoor a écrit : ↑28 janv. 2020, 22:18 Le bonheur disait-il,
C’est une affaire d’agilité
Des mains et de l’esprit.
Les âmes maladroites, on le sait,
Sont malheureuses dans la vie.
Et peu importe que les gestes
Distordus, mensongers
Soient une source de tourments.
Dans les orages et les tempêtes,
Au coeur du quotidien fade et figé,
Dans les plus lourdes des pertes
Et quand la tristesse t’inonde,
Paraître simple et souriant
Est l’art le plus sublime au monde.
Essenine
Souris à la vie et la vie te sourira.
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
"Nous cherchons toujours à jeter un pont entre ce qui est et ce qui devrait être ;
et par là donnons naissance à un état de contradiction et de conflit où se perdent toutes les énergies."
Jiddu Krishnamurti
et par là donnons naissance à un état de contradiction et de conflit où se perdent toutes les énergies."
Jiddu Krishnamurti
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
- CellarDoor
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Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants.
Apocryphe
Apocryphe
- CellarDoor
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Tigre, tigre qui flamboie,
Dans les forêts de la nuit,
Quelle main, quel œil immortel
Put ajuster ton effroyable symétrie ?
W.Blake
Dans les forêts de la nuit,
Quelle main, quel œil immortel
Put ajuster ton effroyable symétrie ?
W.Blake
- CellarDoor
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Je suis le diable. Le diable. Personne n’en doit douter. Il n’y a qu’à me voir, d’ailleurs. regardez-moi,
si vous l’osez ! Noir, d’un noir roussi par les feux de la géhenne. Les yeux vert poison, veinés de brun,
comme la fleur de la jusquiame. J’ai des cornes de poils blancs, raides, qui fusent hors de mes oreilles, et des
griffes, des griffes, des griffes. Combien de griffes ? Je ne sais pas. Cent mille, peut-être. J’ai une queue
plantée de travers, maigre, mobile, impérieuse, expressive – pour tout dire, diabolique.
Je suis le diable, et je vais commencer mes diableries sous la lune montante, parmi l’herbe bleue et les
roses violacées… Gardez-vous, si je chante trop haut cette nuit, de mettre le nez à la fenêtre : vous pourriez
mourir soudain de me voir, sur le faîte eu toit, assis tout noir au centre de la lune !…
Poum
si vous l’osez ! Noir, d’un noir roussi par les feux de la géhenne. Les yeux vert poison, veinés de brun,
comme la fleur de la jusquiame. J’ai des cornes de poils blancs, raides, qui fusent hors de mes oreilles, et des
griffes, des griffes, des griffes. Combien de griffes ? Je ne sais pas. Cent mille, peut-être. J’ai une queue
plantée de travers, maigre, mobile, impérieuse, expressive – pour tout dire, diabolique.
Je suis le diable, et je vais commencer mes diableries sous la lune montante, parmi l’herbe bleue et les
roses violacées… Gardez-vous, si je chante trop haut cette nuit, de mettre le nez à la fenêtre : vous pourriez
mourir soudain de me voir, sur le faîte eu toit, assis tout noir au centre de la lune !…
Poum
- suffragettes AB
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- Inscription : 08 déc. 2019, 08:27
"l'homme est un nomade et la femme l'arrête" Brel
"je crois que j'aime trop l'amour pour beaucoup aimer les femmes. Les femmes sont toujours en-dessous de l'amour dont on rêve" Brel
à 3 min 10 et à 5 min 20
"je crois que j'aime trop l'amour pour beaucoup aimer les femmes. Les femmes sont toujours en-dessous de l'amour dont on rêve" Brel
à 3 min 10 et à 5 min 20
Au moins il est honnête !
Ce qui m'inquiète par contre, c'est que si on s'en tient à sa définition, je suis un homme !
- suffragettes AB
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- Inscription : 08 déc. 2019, 08:27
tu es sûr qu'il est honnête? il est surtout paradoxal, brel c'est quand même le type qui a écrit "ne me quittes pas", alors que là quand tu l'entends parler, tu entends un mec qui n'attend qu'une seule chose "être quitté" par une femme, pas être piégé par une poule pondeuse.
en tout cas oui l'inverse peut être valable aussi
"la femme est une nomade et l'homme l'arrête"
"je crois que j'aime trop l'amour pour beaucoup aimer les hommes. Les hommes sont toujours en-dessous de l'amour dont on rêve."
ouais c'est pas mal aussi comme ça .
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