C'est ceux où tu as participé, chapeau avec une plume
Édit : ou que tu as créés je sais plus !
Quand tu parles aux populaires tu utilises son langage.CellarDoor a écrit : ↑26 janv. 2020, 19:24La vulgarité, qu'elle vienne de Damien ou non, n'a jamais été un signe d'humanité.E.L a écrit : ↑26 janv. 2020, 19:02 Saez par exemple, il mets les mains dans le cambouis, il est cash, sans retenue dans les mots, salope, putain, baiser, sont langages ne souffre d'aucune contrainte et c'est ce qui le rends beau.
Il boit de la bière (du Jack plutôt) fumé des clopes, se fout son verre de whisky sur la gueule s'en fout qu'on dise qu'il est bien sapé...
Il est humain.
Il ne cherche pas à paraître, il est...
Quand c'est trop propre, c'est qu'il manque une part de ce qu'est l'humain.
La vulgarité peut aussi être manipulée pour se retrouver dans le paraître.
Si se foutre son verre de whisky sur la gueule est quelque chose qui t'attire chez lui, alors tu contribues à cette déchéance.
Et ça, c'est triste.
@E.L, je crois comprendre que tu as besoin d'un endroit qui te ressemble. Je t'invite dès lors à le créer toi-même.E.L a écrit : ↑26 janv. 2020, 20:51Quand tu parles aux populaires tu utilises son langage.CellarDoor a écrit : ↑26 janv. 2020, 19:24La vulgarité, qu'elle vienne de Damien ou non, n'a jamais été un signe d'humanité.E.L a écrit : ↑26 janv. 2020, 19:02 Saez par exemple, il mets les mains dans le cambouis, il est cash, sans retenue dans les mots, salope, putain, baiser, sont langages ne souffre d'aucune contrainte et c'est ce qui le rends beau.
Il boit de la bière (du Jack plutôt) fumé des clopes, se fout son verre de whisky sur la gueule s'en fout qu'on dise qu'il est bien sapé...
Il est humain.
Il ne cherche pas à paraître, il est...
Quand c'est trop propre, c'est qu'il manque une part de ce qu'est l'humain.
La vulgarité peut aussi être manipulée pour se retrouver dans le paraître.
Si se foutre son verre de whisky sur la gueule est quelque chose qui t'attire chez lui, alors tu contribues à cette déchéance.
Et ça, c'est triste.
Dans le populaire, il y a du vulgaire. Mais c'est vulgaire pour ceux qui ne sont pas du milieu ou ceux qui le fuit.
Il y a chez saez la démarche d'appartenance au populaire il s'en réclame, et il le montre...
Quand tu te renverses ta bière sur la gueule dans un pogo, tu montres ton appartenance en te mettant ton verre sur toi.
C'est une facon de dire c'est pas grave, on s'en fout et on les emmerdes.
C'est pas sa seul facette, il a aussi une part petit bourgeois (rien de péjoratif, mon sang en est rempli). L'éducation, la culture, la langue, l'art font partie de ces facettes, c'est une forme aussi de dissonance, de rejets de ses origines ou d'une partie, de la partie prout prout... De la partie pognon...
La vulgarité c'est pour ceux qui s'estiment meilleurs que les autres... Qui 's'estiment au dessus de la mêlé au niveau intellectuel.
Pour ceux qui rejettent une partie de leur humanité.
Ceux qui ne peuvent pas se regarder dans le miroir sans maquillage...
Ceux qui vont pas chier... Qui pissent pas, qui crachent pas... Ceux qui baisent pas, ceux qui s'estiment meilleurs que la nature et/ou que Dieu.
Celui qui est sans paraître n'y voit pas de la vulgarité, il y voit des hommes et des femmes.
Il parle sans retenu.
Mais la vulgarité n'est pas obligatoire, ce n'est pas une imposition, c'est juste une manière de parler, un moyen d'expression, de reconnaissance. C'est une forme ou une marque de simplicité aussi...
Et oui, des personnes peuvent la feindre.
À trop complexifier, on finit par s'extirper de la masse.
Mais la masse n'est pas un ennemi, en tout cas pas pour celui qui est... Ça l'est pour celui qui se renie ou veut se démarquer.
Pour moi c'est pas de la déchéance... C'est de l'appartenance, de la reconnaissance....
On ne lance pas une corde d'en haut pour ramener du monde à soi. On part d' en bas et on accompagne, on fait le chemin avec pour s'élever...
C'est le côté élitiste que je soulignais justement.
L'élitisme ne veut pas que la masse le rejoigne, elle veut garder sa spécificité, elle veut s'estimer au dessus. C'est quasi vital.
P. S Aucun jugement ni accusation. C'est de besoin humain dont je parle. Un besoin ne peut être condamner sans risque de destruction. On ne se souscrit pas du besoin, il est essentiel, primordial à nos vies.
P. S 2:
Saezlive ne vivait pas en dehors de son microcosme en dehors des publications de Saez, car la direction prise était restrictive et limitée par ceux qui se plaignent en privé de untel ou untel, qui exercait une pression sur les décideurs et/ou qui n'acceptait pas qu'on puisse avoir un autre regard qu'eux.
Le fonctionnement du groupe, de l'autorité enfermer l'expression et la participation.
Comme tout partie pris, il exclu ceux qui n'y répondent pas. Pour le dépasser il faut une motivation, du coup les gens intervenaient seulement quand ils avaient besoin de communiquer autour de Saez.
Sinon seul un petit groupe le faisait vivre le reste du temps.
Toujours pas de reproche, juste de l'analyse.
Cela ne veut pas pour autant dire qu'il est impossible d'avoir un forum actif sur la longueur.
Les pics sont les exceptions...
J'aimerai poser une question, pourquoi ce forum ? Quel besoin cherchait il à combler ?
C'est beau l'innocence, comment crois-tu que j'ai obtenu le droit de créer des sondages ?
--- mois-même a écrit :Certains combats se gagnent dans la rue; d'autres, dans un lit.
Pour ce que t'en fais, c'était juste une excuse
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