Un bout de EL.

A l'heure de la guerre, des champs d'horreur, faire de la terre un champs de fleurs.
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E.L
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C'est l'absence des mots,
Que mon être dénote,
Quand sur la terre des maux,
Viennent faire trembler quenottes,
Quand le coeur à des haines,
Les Arenes messagères,
Séparent de ceux qui freinent,
Tout mes sages qui aèrent,
De ceux petrient des peurs
Vendus par les écrans,
Par les fous gouverneurs
Mettant le monde à cran.

Ils séparent.
Nous égarent,
Ils s'emparent,
De nos gares,
Et hagard,
Nos regards,
Se vident de leurs flammes,
Se vident de leurs âmes.

Amis, entends tu le vol noir
Des corbeaux sur nos têtes?
Amis entends tu ces histoires
Qui s'oublient puis se répètent?
De ces temps où l'on jurait
Qu'on nous y reprendrait plus,
Et reviennent injurier
Ceux qui se sont battus
Pour un bout de liberté,
Pour un peu de dignité,
Pour que l'humanité,
Ne veuillent plus se tuer.

Ils séparent,
Nous égarent,
Ils s'emparent de nos gares,
Et hagard,
Nos regards
Se vident de leurs flammes,
Se vident de leurs âmes...
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E.L
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Aux languis des espoirs
S'abandonnent battant
Le tambourin sanglant
De larmes coulante en poire,
De nuit en moutonade
Couvrant Pierrot sur trône,
Cachant les myriades
Voilant l'amour qu'on prône.

Se compte plus sérénade
Les yeux lovant balcon,
Les contes sont sur iPad
Où danse le bal du con,
Prélèvement sur gonade
Le rêve du non fécond,
Et la mort en EHPAD,
Les familles disséquons...

Ô temps fait division,
Divers cité d'union,
La normalisation
Sous contrôle du pognon,
Rejetons rejetés,
Des tétons sans tétée,
L'humanité se nie
Dans ses rêves de progrès
S'enfuie l'oiseau du nid,
Mais naissent les regrets.

Oedipe en pleine essort,
Candide ne veut plus d'effort,
Et l'écran lance les sorts
Pour contrôler les forts,
Et tu ne m'entends plus
Quand je parle en ton coeur..
Et tu ne me lis même plus,
Quand je parle à ton cœur.

Sous le progrès, l'homme régresse,
Quand chaques jours il délaisse,
À la machine en liesse
Son ancienne allégresse...
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Alchimie
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E.L a écrit : 30 août 2021, 11:06 C'est l'absence des mots,
Que mon être dénote,
Quand sur la terre des maux,
Viennent faire trembler quenottes,
Quand le coeur à des haines,
Les Arenes messagères,
Séparent de ceux qui freinent,
Tout mes sages qui aèrent,
De ceux petrient des peurs
Vendus par les écrans,
Par les fous gouverneurs
Mettant le monde à cran.

Ils séparent.
Nous égarent,
Ils s'emparent,
De nos gares,
Et hagard,
Nos regards,
Se vident de leurs flammes,
Se vident de leurs âmes.

Amis, entends tu le vol noir
Des corbeaux sur nos têtes?
Amis entends tu ces histoires
Qui s'oublient puis se répètent?
De ces temps où l'on jurait
Qu'on nous y reprendrait plus,
Et reviennent injurier
Ceux qui se sont battus
Pour un bout de liberté,
Pour un peu de dignité,
Pour que l'humanité,
Ne veuillent plus se tuer.

Ils séparent,
Nous égarent,
Ils s'emparent de nos gares,
Et hagard,
Nos regards
Se vident de leurs flammes,
Se vident de leurs âmes...

Ont lâche rien mon frère !!


Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
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E.L
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C'est pas mon genre 😉...
✊
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E.L
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Est comme un arc qui se dessine, en commissure pointant le ciel,
Lance mis en flèche soignant saline, sincère au coeur soin essentiel,
Peux tu le lire?
Est un souvenir sous les nuages
Dans les tempêtes du temps présent,
Soufflé aux vents, pluies et orages,
Et nos funèbres oraisons,
Sans lui je délire.

Il est ma force
Forge mon écorce,
Et quand je le perds,
Je désespère.

Est comme un fruit qui donne la pêche
Qu'on aime manger par les deux bouts,
Quand sur ma pomme il se dépêche
De venir vous dire que je reste debout,
Même dans le pire.
Est si jamais arc tombe à terre,
C'est bien qu'il s'est fait la malle,
Dans son absence qu'on vient à taire
Pour pas montrer que l'on a mal
De se maudire.

Il est ma force,
Forge mon écorce,
Et quand je le perds
Je désespère.

Est mon enfant si rayonnante
Comment peuvent ils te le masquer?
Comment peuvent ils te le piquer
Dans leurs injonctions bâillonnantes
Toi mon empire
Ils me le font perdre quand tu le perds,
C'est fou comme il est contagieux,
Comme il se prolonge de fille à père,
Comme il peut rendre le monde radieux,
Ton doux sourire.

Il est ma force,
Forge mon écorce,
Et quand je le perds,
Je désespère.
Je veux te voir sourire...
Toujours sourire...
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E.L
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De naitre pour ne pas être,
Quel était la question?
De l'avoir à nos guêtres
Est ce là l'obsession ?
Pour toujours un peu plus,
Terrifier d'avoir moins,
Je sacrifie prépuce
L'orifice est trop loin.
Au temple sont les marchands,
Ils en ont pris pouvoir,
Au pré va Lemarchand
Curieux, ils aiment bien voir
Ce qu'il se passe chez autres,
Chez les bêtes curieuses,
Chez ceux qu'ont comme apôtre,
Notre terre si savoureuse.
Ils y ont goût,
Mais pas l'odeur,
Ni même le bruit du coq chanteur,
Pour eux l'horreur, proche du dégoût...
Procédurier, ils porteront plaintes
Nuisible qui viennent les réveiller,
Ils préfèrent entendre éraillée
Le cri des villes et leurs complaintes...
Les avantages sans les inconvénients,
C'est l'homme moderne...
Ne sais plus qu'être en s'indignant
De la nature paterne .
Et dans leurs villes ils font des lois,
Font d'un monnayeur saint Éloi,
Et notre bon roi voit à l'envers,
Croient ils que l'or nourris les vers ?
Et qui gouverne à lui profite
Le sang et la sueur émérite
Des peuples abrutis
Par le pain et le cirque.
T'es pas esclaves, serf bien payer
C'est ce que le conclaves à décider.
Libre tu es de nous devoirs,
Le droit de produire nos avoirs...
Et reste coucher...
Trop fatiguer, trop endormi, trop impacter,
De ces produits de publicité qui te font rêver...
Et toujours plus de l'inutile gaver ,
En bonne oie ton avenir est acté...
Peux plus bouger...
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goelandfou
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E.L a écrit : 11 sept. 2021, 16:32 Je sacrifie prépuce
Merci je cherchais un nom de chien :graduate:
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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E.L
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goelandfou a écrit : 11 sept. 2021, 17:07
E.L a écrit : 11 sept. 2021, 16:32 Je sacrifie prépuce
Merci je cherchais un nom de chien :graduate:
Je sens bien que t'essayes de dire quelques choses...
C'est ta seule réaction ?
C'est intéressant...
Dis nous tout ?
Que perçois tu ? Que comprends tu ?
Qu'en conclus tu ?
Pourquoi donc cette phrase, placé ici?
Ça te perturbe, t'indigne ?

En tout cas, ça te fais réagir.
C'est bien.
Toujours sympa de se savoir lu.
Merci.
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goelandfou
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E.L a écrit : 11 sept. 2021, 23:37
goelandfou a écrit : 11 sept. 2021, 17:07
E.L a écrit : 11 sept. 2021, 16:32 Je sacrifie prépuce
Merci je cherchais un nom de chien :graduate:
Je sens bien que t'essayes de dire quelques choses...
C'est ta seule réaction ?
C'est intéressant...
Dis nous tout ?
Que perçois tu ? Que comprends tu ?
Qu'en conclus tu ?
Pourquoi donc cette phrase, placé ici?
Ça te perturbe, t'indigne ?

En tout cas, ça te fais réagir.
C'est bien.
Toujours sympa de se savoir lu.
Merci.
Euh, non, je cherchais juste un nom de chien👍
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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ellenaelk
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Inscription : 04 sept. 2021, 12:03

Waouh quel talent !
C'est magnifique, autant pour l'écriture que pour les sujets traités (même si j'en ai pas encore lu beaucoup)
Tu écris extrêmement bien (pourtant je suis plus sévère depuis que j'écoute Saez :lol:)
Contente d'avoir encore plein de tes textes à rattraper !
Bravo en tout cas
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E.L
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ellenaelk a écrit : 12 sept. 2021, 19:15 Waouh quel talent !
C'est magnifique, autant pour l'écriture que pour les sujets traités (même si j'en ai pas encore lu beaucoup)
Tu écris extrêmement bien (pourtant je suis plus sévère depuis que j'écoute Saez :lol:)
Contente d'avoir encore plein de tes textes à rattraper !
Bravo en tout cas
Merci.
Tu verras, je ne suis pas seul sur ce forum, a possédé une petite plume.
C'est sans doute que nous avons un bon guide avec l'ours 😅😉.

Va faire un tour dans la partie du forum Mes libertés.
Tu vas y découvrir des pépites.
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ellenaelk
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E.L a écrit : 12 sept. 2021, 22:09
ellenaelk a écrit : 12 sept. 2021, 19:15 Waouh quel talent !
C'est magnifique, autant pour l'écriture que pour les sujets traités (même si j'en ai pas encore lu beaucoup)
Tu écris extrêmement bien (pourtant je suis plus sévère depuis que j'écoute Saez :lol:)
Contente d'avoir encore plein de tes textes à rattraper !
Bravo en tout cas
Merci.
Tu verras, je ne suis pas seul sur ce forum, a possédé une petite plume.
C'est sans doute que nous avons un bon guide avec l'ours 😅😉.

Va faire un tour dans la partie du forum Mes libertés.
Tu vas y découvrir des pépites.
De rien c'est mérité !
Ouii j'ai commencé à voir qu'il y avait de sacré talent par ici ! Je me sens bête avec mes quelques vers maladroits dans mon carnet maintenant
Très hâte d'avoir le temps de me poser pour lire vos créations attentivement
(on ne peut pas avoir de meilleur professeur de toute façon :laughing1:)
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E.L
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J'ai rêvé,
Qu'au petit jour à bout de nuit,
Nos petits souffles fait d'insomnie
Venait faire gonfler le soleil
Le coq chantant aux oreilles.
J'ai tremblé,
En chaire de poule sur nos frissons,
Nos yeux en ride que nous plissions
Offrait les bonheur éternels
De l'unisson en solennel

Je t'aurai aimé une nuit
Et cette nuit est l'infini
Qui ne se grave pas dans la pierre.
Je t'aurai aimé sans ennuis
Puisque l'ennui lui ne prends vie
Que quand ton absence est matière
Et en matière tu n'es ma terre,
Tu n'es qu'un rêve non assouvi
Cet idéal qui se ravit
Tant face à toi je ne sais que taire.
Puisque à vrai dire je n'ose pas
Venir quémander ton amour
Que je n'ose pas le premier pas
Ni même le premier mot d'Amour.
Le premier pas qu'chante Schönberg
moi petit chat schrödinger
Entre deux feus et de tout perdre
Feu de mon rêve
Ou feu de toi
Sans toi j'en crève
Si je ne te bois
Antre de feu, souvenir de Phèdre
Je chois de n'être
Hors de mes rêves
Ce choix m' empêtre
Et moi j'en crève .

Vois tu?
Je ne sors pas indemne
De mon dilemme
Sois je reste blème
Sois je dis je t'aime
Quitte anéantir l'espoir
Sais tu?
La peur qui sans cesse m'étreint
Qui se réalise puis qui s'éteint
Si jamais à baiser ton sein
J' te perds de mon désir atteint
Alors je reste assis au comptoir.

Et comme chaque soir dans mon whisky
Je me ferai un film de ma vie
Je picolerai jusqu'à l'oubli
De celle qui fini dans mon lit.
Je me demanderai ce qu'elle fout ici,
Puisqu'à coup sûr je t'aimerai plus
Tu n'auras eut que de joli
Ce que l'alcool donne en surplus.
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Nobody
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Tu aurais dû le poster hier, c'était la St Valentin :arrow:

J'aime beaucoup :inlove8:
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E.L
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Nobody a écrit : 15 févr. 2022, 18:09 Tu aurais dû le poster hier, c'était la St Valentin :arrow:

J'aime beaucoup :inlove8:
Oui, mais hier, l'était pas né...
Premier jet de l'aprem après de long mois sans visite de ma muse...

Merci du retour.
🙏💖
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E.L
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Murer dans le silence
Résonnent trop vos absences.
Que dire?
Que dire quand vos sourires
Ne sont que des souvenirs
D'un temps voulu béni
Que dire?
Que dire que de maudir
Les rêves de devenir
D'un temps qui les déni .

Mon âme est en colère.
Ma flamme manque d'air.

C'est de leurs oxygènes
Dont tu nous as privé,
Et sans une once de gêne,
Des clous tu as rivés
Dans nos mains , dans nos pieds.
C'est de son oxygène
Dont tu l'auras privé,
Meurtrière de ses gènes,
Nos coeurs tu as givrés
Nos demains n'ont plus pieds...

Tu as tué ta fille
Et pour t' innocenter
Tu as redonné vie.
Tu as faits yeux qui brillent
Et nous, ensorcellés
Nous en étions ravis,
Et puis comme un couteau
Lame plongée dans la dos
Tu as pris en otage
Notre tout premier âge.

Mon âme est en colère.
Ma flamme manque d'air.

Coupable tu joues les victimes,
Tu t'en sers comme une lime
pour briser les barreaux
Dont se gardent les seaux.
Quand pour t'en échapper,
En vierge effarouchée
Tu viens te présenter
En femme violentée...

Faudrait il donc te croire
Nous témoins d'tes mensonges?
Témoins de tes histoires
Qui n'existent qu'en songes.

On la voit bien venir ta manipulation.
Quand l'étau se resserre
et qu'une nouvelle version
Fait son apparition
Qui d'nos observations
ont pris des vents contraires.

Petite sainte nitouche
Du venin de ta bouche
Empoisonne le monde
Quand ton sein lui étouffe
Quand tes mots sont esbroufes
Tu en deviens immonde.

Ici sur cette terre,
J'écris père du père
Ce que je ne peux plus taire.
Que des anges sont commère
Qui au diable coopèrent
Qu'mauvaise peuvent être les mères...

Ici rompre le silence
De leurs douloureuses absences.
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