May, elle est un peu comme June tu vois...
C'est juste un air de printemps...
Un peu comme les marguerites et les digitales sensibles qui fleurissent par ici, sur les fossés à chaque printemps lorsqu'il s'étire au soleil jusqu'à la mort de l'été, abondamment...
Je ne pourrais pas vivre en Ville, elle nous hôte tous les fossés sous son égout qui transforme la matière en « rien qu'une merde !»
La Ville... La vile...
Dans ma campagne, en mai et en juin, on ne pense qu'à son jardin...
On y plante et on y sème un peu de tout, jusqu'aux chrysanthèmes qu'on sait venir fleurir trop tard la Toussaint...
Tes « Printemps » savent pour pour moi tant de racines qu'ils en raréfient l'eau...
Je n'ai même plus besoin de boire pour m'abreuver des magies.
Je puise...
Rien ne m'épuise...
Je sais le chuintement des sources.
Songs from a year
Plus loin, remonter le fil de la source, avant qu'elle ne s'assèche.
Dans quel sens il est le bras jusqu'à la mer, quelles âmes heureuses vivent sur ces coudes ?
Des îlots de piraterie, des écluses de révolution.
La graine germe en silence pour les printaniers du cœur. On attend l'heure nouée, celle où les bouquet se lancent, où les couronnes ne se déposent pas dans le recueillement.
Des unions aux désunions il n'y a qu'un pas
On t'attends
Dans quel sens il est le bras jusqu'à la mer, quelles âmes heureuses vivent sur ces coudes ?
Des îlots de piraterie, des écluses de révolution.
La graine germe en silence pour les printaniers du cœur. On attend l'heure nouée, celle où les bouquet se lancent, où les couronnes ne se déposent pas dans le recueillement.
Des unions aux désunions il n'y a qu'un pas
On t'attends
- CellarDoor
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A quoi sert de planter quand ne pleut que le feu du brasier ?
Aux sources lentement se dévide l'eau sans sa rage
L'îlot ainsi devient, solaire révolution, terre ferme
Et le cœur seiche comme ton encre
Toussaint en juin, c'est le saule qui est Jaune
Vas-y ressers à boire ?
Aux sources lentement se dévide l'eau sans sa rage
L'îlot ainsi devient, solaire révolution, terre ferme
Et le cœur seiche comme ton encre
Toussaint en juin, c'est le saule qui est Jaune
Vas-y ressers à boire ?
« Bonté divine ! Elle est une noix pourrie, dit Mr. Wonka. Sa tête a dû sonner bien creux. »
Charlie et la chocolaterie
Charlie et la chocolaterie
Fleurette a écrit : ↑01 juin 2022, 17:16 May, elle est un peu comme June tu vois...
C'est juste un air de printemps...
Un peu comme les marguerites et les digitales sensibles qui fleurissent par ici, sur les fossés à chaque printemps lorsqu'il s'étire au soleil jusqu'à la mort de l'été, abondamment...
Je ne pourrais pas vivre en Ville, elle nous hôte tous les fossés sous son égout qui transforme la matière en « rien qu'une merde !»
La Ville... La vile...
Dans ma campagne, en mai et en juin, on ne pense qu'à son jardin...
On y plante et on y sème un peu de tout, jusqu'aux chrysanthèmes qu'on sait venir fleurir trop tard la Toussaint...
Tes « Printemps » savent pour pour moi tant de racines qu'ils en raréfient l'eau...
Je n'ai même plus besoin de boire pour m'abreuver des magies.
Je puise...
Rien ne m'épuise...
Je sais le chuintement des sources.
J'aimerais que mes larmes qui pleure sur ce monde de cœur glacée se transforme en abondante pluie pour nos terres asséché.
Et dire que nous ne sommes qu'au début Juin.
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
Jaune nain et rouge carmin, les couleurs chatoyantes dansent au gré des saisons.
Bien heureuse la coquille vide, offerte aux cycles, la nature invisible traverse abondamment. SensationS infinieS d'éternelS printempS.
À la source de jouvence, se laver, se réinventer, redéfinir les contours d'un rêve abstrait. Inaccessible, insondable.
Cadeaux et conflits, soutiens et confrontations, solitude et partage, amour et haine, penser & faire. Ne pas s'enliser dans cette mesquine dualité. Orienter mieux ses voiles, dompter pégase, apprivoiser la fleur sauvage.
Le renard a bouffé le petit Prince.
Le goéland a fâché son Azur.
Triste abandon, dit la rose.
Bien heureuse la coquille vide, offerte aux cycles, la nature invisible traverse abondamment. SensationS infinieS d'éternelS printempS.
À la source de jouvence, se laver, se réinventer, redéfinir les contours d'un rêve abstrait. Inaccessible, insondable.
Cadeaux et conflits, soutiens et confrontations, solitude et partage, amour et haine, penser & faire. Ne pas s'enliser dans cette mesquine dualité. Orienter mieux ses voiles, dompter pégase, apprivoiser la fleur sauvage.
Le renard a bouffé le petit Prince.
Le goéland a fâché son Azur.
Triste abandon, dit la rose.
- goelandfou
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Un ver vaut mieux que deux tenia
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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