Les Magnifiques

Ca fait trop d'jours, ça fait trop d'nuits, que les deux compères s'abandonnent dans ces eaux qui bouillonnent. Déjà les prémices de l'automne talonnent le crépuscule de l'été. Et l'avorton se rappelle ces flammes, ces étincelles qui l'ont mené en ces lieux. Il a fait celui qu'a le temps, mais que sont-elles devenues ? Ca fait trop d'jours, ça fait trop d'nuits qu'il les a oubliées, il est peut-être temps d'y retourner...