J’irai voler les aurores pour te rendre plus fort
Je te ferai un château d’eau de mes flots
Tu seras météore dans mon ciel d’or
Tu seras la constellation des passions
Jasmin dans mon jardin
Bouton de rose sur mes proses
J’irai te faire des cascades sans mascarade
Pas d’arc-en-ciel juste le miel
Y’aura des rêves qui couleront sans trêve
Nos épées seront des fleurs à planter
Dans le sable des terres arables
Pour en faire des clairières de mers
Des océans bleus et argent
Des danseuses bienheureuses
Des sourires à se faire jouir
Des bonheurs à s’éclater le cœur
Nous serons les guerriers des destinées
Les combattants du printemps
Sous les neiges en arpège
On fera chanter les éperviers
Et pleuvoir les tulipes noires
Il fera chaud sous notre manteau
On apprendra les cris de joies
Les cris d’amour, les cris du jour
On fermera les nuits de soie
Les nuits tristesses et sans caresses
Tu seras mon roi, tu seras ma loi
Et dans le feu de nos aveux
Tu seras mon âme et puis mes rames
Sur la barque de la Parque
Il y a des lunes et puis des dunes
Des grains de flammes dans le train
Je serai reine de tes je t’aime
Amoureuse ravageuse
Ensorceleuse rêveuse
Je serai tes baisers et tes souhaits
Les soleils ont brûlé nos ailes
Les soleils ont brûlé
Nos ailes
Do you know my poetry?
Sous le joug des hivers mort nés
Nous irons chacun sur notre chemin
Cueillir les branchages de pins
Qui entravent le gué
Nous nous retrouverons à dix-mille pas de là
Sous un arbre centenaire
Qui a vu ses pères
Mourir dans les feux des étés de combats
Il y en a eu des guerres, des tourments
Il y en a eu bien trop
Il y en a eu des assauts
Qui restent dans les souvenirs du vent
Sous le regard des fleurs du printemps
Nous nous embraserons au soleil levant
Nous serons les échappés dorénavant
Les enfants fuyants
Nous nous enlacerons dans les mers stellaires
Aux confins des galaxies bleutées
Il y aura du jade sur la jetée
Et dans nos yeux l’immensité lunaire
Nous serons les oiseaux opalins
Qui volent sur le pourtour des volcans
Sans jamais recevoir cendres du vent
Qui balaye les contours de cet écrin
La lave sera notre eau
Et dans nos mains le cristal
Illuminera le jour et tuera le mal
Pour faire de la nuit le renouveau
Nous marcherons sous les étoiles
Pour caresser l’herbe de nos doigts
Encore frigorifiés par les lois
De l’amour quand il se dévoile
Nous serons purs et beaux
Anges damnés dans le sang
Qui coulent des amants
Beauté perlée des flots
Le radeau s’amarre
Sur une berge déserte
Et nos deux âmes inertes
Relance leur tintamarre
Tu reviendras toujours
Aux côtés de la belle
Qui a pris tes prunelles
A la pointe du jour
Et quand elle t’ensorcelle
Tu oublies les horreurs
Oui sur le pont des heures
Qu’elle a fait dans ton ciel
Nous irons sur le bord de la rive
Renaître encore une fois
Oui juste une dernière fois
Faire que la flamme se ravive...
Nous irons chacun sur notre chemin
Cueillir les branchages de pins
Qui entravent le gué
Nous nous retrouverons à dix-mille pas de là
Sous un arbre centenaire
Qui a vu ses pères
Mourir dans les feux des étés de combats
Il y en a eu des guerres, des tourments
Il y en a eu bien trop
Il y en a eu des assauts
Qui restent dans les souvenirs du vent
Sous le regard des fleurs du printemps
Nous nous embraserons au soleil levant
Nous serons les échappés dorénavant
Les enfants fuyants
Nous nous enlacerons dans les mers stellaires
Aux confins des galaxies bleutées
Il y aura du jade sur la jetée
Et dans nos yeux l’immensité lunaire
Nous serons les oiseaux opalins
Qui volent sur le pourtour des volcans
Sans jamais recevoir cendres du vent
Qui balaye les contours de cet écrin
La lave sera notre eau
Et dans nos mains le cristal
Illuminera le jour et tuera le mal
Pour faire de la nuit le renouveau
Nous marcherons sous les étoiles
Pour caresser l’herbe de nos doigts
Encore frigorifiés par les lois
De l’amour quand il se dévoile
Nous serons purs et beaux
Anges damnés dans le sang
Qui coulent des amants
Beauté perlée des flots
Le radeau s’amarre
Sur une berge déserte
Et nos deux âmes inertes
Relance leur tintamarre
Tu reviendras toujours
Aux côtés de la belle
Qui a pris tes prunelles
A la pointe du jour
Et quand elle t’ensorcelle
Tu oublies les horreurs
Oui sur le pont des heures
Qu’elle a fait dans ton ciel
Nous irons sur le bord de la rive
Renaître encore une fois
Oui juste une dernière fois
Faire que la flamme se ravive...
Age de méandres dans les mains des Archanges
Gravir le ciel et plonger dans le gouffre de tes prunelles
Nous sommes les enfants des renaissances perdues
Les cordes chaudes des êtres sans destinées
A trop penser nous panserons nos plaies offertes
Au mâlin des danses de feu sous le solstice pieux
Sabbat qui explose dans tes mains
Apocalypse déshéritée de ses cavaliers
Entends-tu les sabots qui franchissent les flots
C’est l’été, c’est l’hiver, c’est nos automnes en eaux
Et nos printemps funèbres
Le temps est doux sous le ressac
Les vagues à l’âme s’échouent
La plage est déserte
Désertion des combattants morts-vivants
Tu descendras de l’échafaud comme un sorcier sans bouclier
Ton armure fut rongée par les rats divins
Et ton épée s’est brisée sur le sable fin
Les roses ont fané dans le jardin
Mais les pétales jonchent le sol
Sous l’auréole du petit matin
Entends-tu chanter la grive ?
Musique sous les arcades
Du château de nos âmes
Le battement des ailes en écho
Sur le pont du dernier bateau
Il s’échouera comme nos radeaux
Au bord de tes yeux amoureux
Les saveurs de nos souvenirs
Étalées sur l’Ostie non bénite
Et dans les larmes, tes silences.
Gravir le ciel et plonger dans le gouffre de tes prunelles
Nous sommes les enfants des renaissances perdues
Les cordes chaudes des êtres sans destinées
A trop penser nous panserons nos plaies offertes
Au mâlin des danses de feu sous le solstice pieux
Sabbat qui explose dans tes mains
Apocalypse déshéritée de ses cavaliers
Entends-tu les sabots qui franchissent les flots
C’est l’été, c’est l’hiver, c’est nos automnes en eaux
Et nos printemps funèbres
Le temps est doux sous le ressac
Les vagues à l’âme s’échouent
La plage est déserte
Désertion des combattants morts-vivants
Tu descendras de l’échafaud comme un sorcier sans bouclier
Ton armure fut rongée par les rats divins
Et ton épée s’est brisée sur le sable fin
Les roses ont fané dans le jardin
Mais les pétales jonchent le sol
Sous l’auréole du petit matin
Entends-tu chanter la grive ?
Musique sous les arcades
Du château de nos âmes
Le battement des ailes en écho
Sur le pont du dernier bateau
Il s’échouera comme nos radeaux
Au bord de tes yeux amoureux
Les saveurs de nos souvenirs
Étalées sur l’Ostie non bénite
Et dans les larmes, tes silences.
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Recueil de poèmes et de photographies à venir
Roman heroic fantasy à venir
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- CellarDoor
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C'est à ça que ça sert la famille d'habitude
Spoiler
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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