Do you know my poetry?

A l'heure de la guerre, des champs d'horreur, faire de la terre un champs de fleurs.
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Nobody a écrit : 12 juil. 2021, 22:26 A exploser nos univers
Nous sommes les bris nous sommes le verre
A exploser nos univers
Nous sommes les éclats de nos luttes
Le poing ferré toujours levé
Les chaînes au cou les chaînes aux pieds
Nous reviendrons ensanglantés
Toujours nos cris dans l’assemblée
A faire valoir nos libertés
Combattants des lendemains
Nous irons nous les vaillants
Les assassins des vils pouvoirs
Nous irons l’espoir au cœur
Massacrer les dictateurs
Et si nos armes sont en papiers
C’est que nous sommes les mots damnés
Et si nous devons être les condamnés
D’une société bien trop blasée
Nous reviendrons quand bien même
A travers les écrits et la rage
Et a nos yeux l’enfer en gage
Pour les injecteurs de saleté
Les obligeants les forcenés
A nos lueurs seront brisés
Tu veux des moutons bien dressés
Prends donc nos mains dans ta gueule de majesté
Les petits rois aiment pavaner
Pas pour longtemps dit la destinée
Je te maudis du fond des âges
Et crois en bien tous mes présages
Tu finiras au fond d’une cage
Et nos fers transférés
A tes poignets
De ptit minet
Vas-t-en prier
Le diable a jeté
Sur toi les sorts des désespérés
Frappe à la porte le tourbillon
D’une nouvelle révolution
Et si nos contestations brûlent
C’est que l’incendie hurle
Nos libertés frappées
Nos libertés meurtries
Mais nos libertés guerrières
Amazones solidaires
Ta fuite aura le goût du cyanure
Dans ta bouche écorchée
Je te maudis du fond des temps
Tu finiras lapidé
Rampant entre les cadavres
De tes soldats calcinés
Et de l’autre côté
Tu seras esclave dans mon château
A laver les latrines de tes bourreaux
Pour l’éternité
🖤
《Les plus beaux chants sont les chants de revendication. À l'école de la poésie, on n'apprend pas. On se bat ! 》
--- Léo F.
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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goelandfou
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Les roses sont roses
Macron est con
J'pose cette prose
Comme une réclamation
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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Meduse
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La haine attise la haine
Maudire un élément ne résoud pas le problème.
J'pose cette réflexion comme un acouphène !
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Nobody
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Meduse a écrit : 13 juil. 2021, 23:23 La haine attise la haine
Maudire un élément ne résoud pas le problème.
J'pose cette réflexion comme un acouphène !
Quand j'aime pas les gens je leur dis, désolé je suis pas un Bisounours.
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Nobody
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J’erre dans les bas fonds
Des lumières rouges dansent devant moi
J’ai froid
Je te vois de l’autre côté
A moitié enchaîné
A moitié déchaîné
Je te vois comme un reflet dans un miroir brisé
Tu es si loin
Tu es si prêt
Spectre au cruel de mes yeux
Tu t’en iras, triste amoureux

Les routes sont vides
Et les chemins boueux
J’ai sur mon cœur une épée
Damoclès comme un orage
Il portera la soutane verte
L’enfant naissant sous le chêne
J’ai sur mon âme une caresse
Celle des souvenirs qu’on traîne

Ne vois-tu pas dans l’eau sanglante
De nos combats perdus d’avance
Les soleils noirs et les nus
Les restes des pendus
C’est le dernier tango
La valse de Jivago
Quand les corbeaux se couchent
Au couchant de tes os

J’ai crié dans la nuit, dans la nuit noire
Nulle lune n’est apparue ce soir
Elles chantent les gitanes
Elles brûlent leurs robes de sorcières
Nous ne les verrons plus
Nous lancer leurs prières

Dans les mélancolies
La licorne marche seule
Elle oublie les saints et l’eau
Et les essaims tombent des cathédrales
Tu étais là sur le donjon
A regarder l’horizon
La pomme se croquait sous mes dents
Et j’ai bien cru te voir enfant

Quand la joie et les cris faisaient tes insomnies
Quand les flaques étaient un lac pour tes petits pas
Quand l’innocence

Tu étais là sur le donjon
Je suis partie
J’ai laissé tes pupilles à l’horizon
Les orties sur le sol
Et les ronces sur le mur

Qui chuchote désormais dans l’antre de nos mains
Elles ont tracé des lignes invisibles
Pour mieux lire nos demains
Mais dans les tristesses infinies
S’éparpillent nos essences
Le feu emportera tout
Et tout disparaîtra
Même les pierres n’y survivront pas

Tu étais là sur le donjon
Je suis partie
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ellenaelk
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Nobody a écrit : 14 sept. 2021, 11:30 J’erre dans les bas fonds
Des lumières rouges dansent devant moi
J’ai froid
Je te vois de l’autre côté
A moitié enchaîné
A moitié déchaîné
Je te vois comme un reflet dans un miroir brisé
Tu es si loin
Tu es si prêt
Spectre au cruel de mes yeux
Tu t’en iras, triste amoureux

Les routes sont vides
Et les chemins boueux
J’ai sur mon cœur une épée
Damoclès comme un orage
Il portera la soutane verte
L’enfant naissant sous le chêne
J’ai sur mon âme une caresse
Celle des souvenirs qu’on traîne

Ne vois-tu pas dans l’eau sanglante
De nos combats perdus d’avance
Les soleils noirs et les nus
Les restes des pendus
C’est le dernier tango
La valse de Jivago
Quand les corbeaux se couchent
Au couchant de tes os

J’ai crié dans la nuit, dans la nuit noire
Nulle lune n’est apparue ce soir
Elles chantent les gitanes
Elles brûlent leurs robes de sorcières
Nous ne les verrons plus
Nous lancer leurs prières

Dans les mélancolies
La licorne marche seule
Elle oublie les saints et l’eau
Et les essaims tombent des cathédrales
Tu étais là sur le donjon
A regarder l’horizon
La pomme se croquait sous mes dents
Et j’ai bien cru te voir enfant

Quand la joie et les cris faisaient tes insomnies
Quand les flaques étaient un lac pour tes petits pas
Quand l’innocence

Tu étais là sur le donjon
Je suis partie
J’ai laissé tes pupilles à l’horizon
Les orties sur le sol
Et les ronces sur le mur

Qui chuchote désormais dans l’antre de nos mains
Elles ont tracé des lignes invisibles
Pour mieux lire nos demains
Mais dans les tristesses infinies
S’éparpillent nos essences
Le feu emportera tout
Et tout disparaîtra
Même les pierres n’y survivront pas

Tu étais là sur le donjon
Je suis partie
C'est magnifique
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Nobody
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❤️
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Alchimie
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Ha tu parles de moi qui regarde l'horizon ? :lol:

Trés jolie sinon :)
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
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Nobody
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Alchimie a écrit : 14 sept. 2021, 20:22 Ha tu parles de moi qui regarde l'horizon ? :lol:

Trés jolie sinon :)
Tu m'inspires :grin:
Merci :arrow:
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Nobody
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Espoir volant au vent
Des Pandores de ton corps
Nous partirons souriants
Au trame des désaccords
Nous ne sommes pas vaincus
Ni même essoufflés

Nous aurons à nos bouches
L’avidité du rire
Le vin coule sur nos seins
Nous sommes les gorges offertes
Aux dents des vieux vampires

Il y a sur la mer un morceau de rocher
Accrochée à sa roche une huître fait sa perle
Et dans la perle blanche la lumière

J’ai suspendu par là trois anneaux de fer
Ils ont en eux gravé, la nuit, l’aube et le jour
Le crépuscule n’est plus l’infini des toujours

Coquillage sur la plage
Font bruit des vagues à l’âme
L’écume est rouge de rage
Et l’ire tonne dans l’ombrage

Où sont les yeux sanglants
Des soldats des mers noires
Les pirates ont disparu
Sur des radeaux de jade
L’océan a brûlé

Et bientôt s’éteindront les bûchers
Tomberont alors les crucifiés
De leur croix d’airain et d’or
Calcinés mais vivants encore

Et dans l’œil du cyclone
Le cyclope se réveillera
Grondant comme un volcan
Son cri percera les tympans

Ils seront bleus et blancs
Toujours dans le sang
Les fantômes des anciens
Hanteront les ruines du Temple

Et quand le prêche grondera
Des prières vaines, elle tombera
La foudre sur tes yeux
Car sans cesse Liberté
A su casser le pieux
Qui planté dans son cœur
Retient bien ses aveux
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Alchimie
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C'est l'appel de Thullu 😅
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Alchimie a écrit : 17 sept. 2021, 17:25 C'est l'appel de Thullu 😅
Euh ce thullu là ? :laughing:
https://www.urbandictionary.com/define.php?term=thullu
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Alchimie
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Nobody a écrit : 17 sept. 2021, 19:12
Alchimie a écrit : 17 sept. 2021, 17:25 C'est l'appel de Thullu 😅
Euh ce thullu là ? :laughing:
https://www.urbandictionary.com/define.php?term=thullu
:D NON Celui qui fait peur à tout les marins qui croient aux légendes de Lovecraft ^^
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
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Nobody
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Alchimie a écrit : 26 sept. 2021, 11:48
Nobody a écrit : 17 sept. 2021, 19:12
Alchimie a écrit : 17 sept. 2021, 17:25 C'est l'appel de Thullu 😅
Euh ce thullu là ? :laughing:
https://www.urbandictionary.com/define.php?term=thullu
:D NON Celui qui fait peur à tout les marins qui croient aux légendes de Lovecraft ^^
Ah Cthulhu alors :grin:
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La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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goelandfou
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--- a écrit : 29 sept. 2021, 20:23 Image
=>le trombi =>🐙
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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