Coronavirus

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Nobody
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__Marine__ a écrit : 08 avr. 2020, 09:49 La tante qui travaille aux urgences a voulu en distribuer à ses voisins âgés...Sur les trois concernés, un a dit qu'il en avait pas besoin, un autre se demandait pour combien d' € ça faisait...

Pour le reste ça va devenir vraiment bloquant cette histoire quand on est "chercheur d'emploi" y a des choses qui sortent parfois mais tu sais pas quand y aura entretien (ou pas).. Quid des offres avec prise de poste une telle date en mai ? etc..
Je sais qu'ils ont fait des entretiens par visio, ça se fait beaucoup dans la Fonction Publique d'Etat du fait que tu peux demander un poste à l'autre bout de la France, les gens se déplacent pas forcément, et les grosses boîtes le font aussi. Donc tout le monde va s'y mettre. Je pense que tu dois quand même candidater, ça n'empêche pas même si la prise de poste est décalée, au moins tu auras une perceptive.
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Meduse
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--- a écrit : 08 avr. 2020, 09:58
Charlotte a écrit : 08 avr. 2020, 09:30
En tout cas pour les écoles c'est bien parti pour une reprise au 4 septembre selon les rumeurs EN !
Source?
Je confirme. Sur la plupart des plateaux tv débat, c'est le scénario le plus probable, car impossible de faire respecter aux enfants les gestes barrières. Trop de risques pour qu'ils soient vecteurs de propagation.
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Ce sont 3 sources internes à l'EN pour ma part ;)

La question qui se pose c'est si tel est le cas, quid des parents qui pour l'instant sont en télétravail ou en absence autorisée pour les garder et leur faire l'école à la maison ?
tesco neo
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Charlotte a écrit : 08 avr. 2020, 07:42 Si tu n'es pas dans une grande ville de droite, peu de risque que le masque soit obligatoire, le gouvernement est pas dans cet esprit là pour l'instant vu le coût (notamment vis à vis de toutes les structures financées par l'Etat) et la difficulté d'approvisionnement.
Nice c'est une ville de vieux facho, Estrosi veut pas perdre ses électeurs...
En tout cas, j'ai jamais vu autant de promeneurs passer devant chez moi :-|
je suis en campagne du coup je croise personne, ça me rassure car j'ai ressayé ça m'empèche vraiment de respirer correctement
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ça devrait le faire alors si tu es en campagne.

Je suis en train de voir pour coudre un autre modèle de masque, qui a l'air mieux (modèle donnée par le CHU de Grenoble). Je vous dirais ce que ça donne, mais doublé feutrine ça va être un peu chaud je pense :laughing2:

Tiens aussi je viens d'avoir un autre n° psy si besoin : le réseau Cogito’Z, disponible au 0805.822.810 (numéro gratuit), met à disposition 35 psychologues de 10h à 17h, du lundi au vendredi.
https://cogitoz.com/22-actu-evenements/ ... e-gratuite
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E.L
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Ami les confinés,
N'êtes vous pas consternés,
Par tout c'est con fini
Qu'on pas compris
Le Consensus
Face à ce con de virus
C'est pourtant pas compliqué...
Ami les con fini
Aujourd'hui confiné
N'êtes vous pas concerné ?
Des canard deconfit
Ou des conflit de connard
Des cerveau circoncis
Si je suis de cons cernés
D'consomateur de nanard
Qui aime qu'on complote
Et qui comme un con poste
Les nouvelles qu'on concocte
Pour pas que l'on contourne
Les lois qu'on confectionne
Congratule la couronne.
Ami les conciliants
Face aux cons promettant
Qu'à la vie consacrée
Il se consacrerai
Qu'on les contemplera
Peu à peu confisquer
Le libre qui convolait
Mais qui les contrera ?
Ami fais les constats!
Y'a ceux qu'on sert
Ou ces consorts
Et ces concert
Où est ce qu'on sort ?
J'suis qu'un con'd frères
Pour mes consœurs
Pour mes confrères
C'est le con d' ma sœur
Qu'il convoite
Le con miroite
À force d'être contrainte
On en retourne au confin
D'où constelle les complaintes
Des espoirs qu'on contient
Y'a même des consultants
Qui deviennent cons insultant
Le feu des consumants
L'odieux des consommant
Le dieu des cons sommant
L'adieu des con s'humant
Le pieu est conscient
L'opium est confiant
Le vieux incontinent
Peuplum inconscient
Dans mon vieux continents
Les temps sont inconstant
On se traîne en compliment
On se refuse d'être content
On se concentre
Sur le concret
Au congrès
Des cons crees
De quoi contrer
Les contestataires.
Combat libertaire
Je suis consterné
Bon confiné
Je me sens pris pour un con à l'infini
Cerner de cons de con cernés
Je reste confiner
Sans bien comprendre
Les conseils de leurs conclusions
J'en conclus à la consultation
Sans compromis
Pour confusion
Je me convertie
Par compassion
Bien que con vaincu
Que tout ça est conçu
Pour nous condamner
À nous confiner
Sans discontinuer...
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suffragettes AB
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bon confiné, je tombe sur un énième article de presse dans l'insomnie de la nuit qui dit encore que le confinement va durer de très longues semaines encore après avoir fait l'autruche toute la journée et une bonne partie de la soirée. On est confiné mais de plus en plus conditionné, le conditionnement est désormais opérant. Alors quand je relis cet interview où est évoqué le terme de dictature prophylactique, je me dis que ça fera un bon antibiotique pour mon esprit critique, bon confiné, bien discipliné mais pas con quand même :)...

https://laregledujeu.org/2020/04/09/359 ... sQVhR7iPv8

et sinon pour la fabrication du masque, ce tutoriel est pas mal :), une agrafeuse, une serviette en papier, un élastique et le tour est joué :)

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Article intéressant aussi à certains égards

http://www.ardeur.net/2020/04/covid-19- ... dominants/
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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Nobody
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--- a écrit : 12 avr. 2020, 10:39 Article intéressant aussi à certains égards

http://www.ardeur.net/2020/04/covid-19- ... dominants/
À l’exception d’un accident nucléaire majeur, ou d’un virus que l’on contracterait par simple respiration dans l’air, aucune crise sanitaire ne peut justifier l’interdiction de promenades solitaires en forêt, sur des plages, dans les rues… Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on désigne les citoyen·ne·s comme des coupables en puissance (lorsqu’Édouard Philippe annonce que le gouvernement prend des mesures de confinement drastiques car les citoyens ne sont pas suffisamment dociles, il transforme tout un chacun en délinquant). Aucune crise sanitaire ne peut justifier une politique hyper répressive incluant le survol d’une plage par des hélicoptères, l’interdiction de sortir plus de 20 minutes de chez soi, de s’éloigner de plus de 1km. Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on ferme les parcs et les jardins publics. Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on punisse des citoyen·ne·s d’amendes lourdes (jusqu’à 3 500 €) et de prison (six mois) en cas de promenades solitaires. N’importe quel gouvernement soucieux du bien-être de la protection de sa population en cas de crise sanitaire devrait au contraire prendre acte des difficultés personnelles, familiales, psychologiques, sociales considérables qu’entraîne un confinement, et le rendre supportable en invitant largement la population à s’aérer et à sortir se promener, à condition de respecter les mêmes règles de gestes barrières qui sont demandées pour le travail qui, lui, non seulement n’est pas solitaire, non seulement est autorisé, mais est rendu obligatoire sur rappel du Medef.

Au risque du sentiment d’une humiliation collective, aucune population ne peut comprendre qu’elle soit obligée d’utiliser les transports en commun pour aller travailler, à condition de respecter une distance d’un mètre, mais qu’elle risque la prison si elle va se promener sur une plage, en ne nuisant à personne, en ne mettant personne en danger dans la mesure où elle respecte les mêmes règles que celles imposées dans l’utilisation des transports en commun.
Mais tellement. Mais c'est totalement mais alors pour le coup totalement à l'image de l'organisation interne de l'Etat et tout particulièrement du Ministère de l'Intérieur, contractions à gogo et décisions prises par des incompétents.
Autre prise de conscience : les ressources des personnes ne doivent pas dépendre de l’aléa de leur activité. Le confinement laisse nus tous les indépendants et génère un chômage partiel plein de trous qui vont notablement réduire les ressources d’employés du privé ou de contractuels de l’État. Alors que les fonctionnaires, eux, conservent leur salaire, qui est lié à leur grade et non à leur emploi. Seul le salaire lié à la personne (celui des fonctionnaires, celui des salariés à statut, celui des retraités… bref celui qu’attaquent avec détermination tous les gouvernements de l’Union européenne) nous permet de sortir de la forme capitaliste de la rémunération, qui la lie à la mesure d’activités aléatoires avec le filet de sécurité d’un revenu de base. Nos personnes doivent être libérées de cet aléa et reconnues, de 18 ans à la mort, par un salaire posé comme un droit politique et qu’il serait raisonnable d’inscrire dans une fourchette de 1 à 3. Chacun·e, à sa majorité, quels que soient son passé scolaire et son handicap, est doté·e du premier niveau de qualification, et donc des 1700 euros nets du Smic revendiqué, et peut, par des épreuves de qualification, progresser jusqu’à un salaire plafond de 5000 euros nets : au-delà, les rémunérations n’ont aucun sens. Droit politique de tout adulte vivant sur le territoire national, le salaire peut stagner, mais jamais diminuer ou être supprimé.

La propriété de tout l’outil par les travailleur·se·s et le salaire lié à la personne supposent une forte socialisation du PIB. Déjà, plus de la moitié est socialisée dans les impôts et cotisations sociales. Il faut aller encore plus loin. La valeur ajoutée des entreprises doit être affectée non plus à des rémunérations directes et à du profit, mais à des caisses gérées par les travailleur·se·s comme l’a été le régime général de 1947 à 1967. Elles verseront les salaires et subventionneront l’investissement, y compris par création monétaire. Alors nous pourrons libérer du capital nos vies et notre pays.
Ça aurait pu aller dans le topic sur les luttes ;)
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E.L
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J'allais dire qu'on croirait entendre Franck Lepage, puis j'ai ouvert le lien... Ceci explique sans doute cela... 😂
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CellarDoor
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Charlotte a écrit : 12 avr. 2020, 11:16
--- a écrit : 12 avr. 2020, 10:39 Article intéressant aussi à certains égards

http://www.ardeur.net/2020/04/covid-19- ... dominants/
À l’exception d’un accident nucléaire majeur, ou d’un virus que l’on contracterait par simple respiration dans l’air, aucune crise sanitaire ne peut justifier l’interdiction de promenades solitaires en forêt, sur des plages, dans les rues… Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on désigne les citoyen·ne·s comme des coupables en puissance (lorsqu’Édouard Philippe annonce que le gouvernement prend des mesures de confinement drastiques car les citoyens ne sont pas suffisamment dociles, il transforme tout un chacun en délinquant). Aucune crise sanitaire ne peut justifier une politique hyper répressive incluant le survol d’une plage par des hélicoptères, l’interdiction de sortir plus de 20 minutes de chez soi, de s’éloigner de plus de 1km. Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on ferme les parcs et les jardins publics. Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on punisse des citoyen·ne·s d’amendes lourdes (jusqu’à 3 500 €) et de prison (six mois) en cas de promenades solitaires. N’importe quel gouvernement soucieux du bien-être de la protection de sa population en cas de crise sanitaire devrait au contraire prendre acte des difficultés personnelles, familiales, psychologiques, sociales considérables qu’entraîne un confinement, et le rendre supportable en invitant largement la population à s’aérer et à sortir se promener, à condition de respecter les mêmes règles de gestes barrières qui sont demandées pour le travail qui, lui, non seulement n’est pas solitaire, non seulement esst autorisé, mais est rendu obligatoire sur rappel du Medef.

Au risque du sentiment d’une humiliation collective, aucune population ne peut comprendre qu’elle soit obligée d’utiliser les transports en commun pour aller travailler, à condition de respecter une distance d’un mètre, mais qu’elle risque la prison si elle va se promener sur une plage, en ne nuisant à personne, en ne mettant personne en danger dans la mesure où elle respecte les mêmes règles que celles imposées dans l’utilisation des transports en commun.
Mais tellement. Mais c'est totalement mais alors pour le coup totalement à l'image de l'organisation interne de l'Etat et tout particulièrement du Ministère de l'Intérieur, contractions à gogo et décisions prises par des incompétents.
A ce jeu-là le peuple français, héritier des lumières, n'est pas le dernier des idiots. 60 millions de marathoniens en devenir, qui, dans cette tyrannie sans limite, trouvent leur liberté dans la jouissance de leur droit fondamental latent : faire du jogging. Pas de démesure à avoir dès lors. Nous serons, à défaut de contracter des cancers de la peau sur ces fameuses plages, à défaut de récolter des champignons radioactifs dans ces belles forêts, tous joggeurs sur la promenade des anglais idiots. Voilà qui réconfortera nos nouveaux athlètes amateurs.

Ne demandons pas à nos concitoyens de comprendre que l’économie a un enjeu sobrement supérieur à de la bronzette printanière. Après tout, il faut sauver le métier de maître-nageur, actuellement touché de plein fouet par ce confinement injustifié. N’hésitons pas aussi à leur montrer les gestes barrières, à nos sauveteurs : le massage cardiaque s’effectue à un mètre de distance ; le parisien en perdition dans les déferlantes atlantiques doit être rapporté sur la plage sans contact physique.

L’athlète français, égoïste par nature, privilégie sa santé, son bronzage, et sa musculature à toute autre forme de vie. Il défend son obligation gastronomique à ingérer 5 fruits et légumes par jour, justifiant ainsi la visite quotidienne des épiceries du quartier. Rue dl’a faim. L’athlète français est également sujet à des troubles de la mémoire, probablement en conséquence des carences accumulées liées à ses privations, oubliant qu’il avait moqué les « gestes barrières » il y a deux mois, enserrant la vie et propageant son amour jusqu’aux chambres à pressions négatives des hôpitaux. L’athlète français, conseillé par son intelligence supérieure et son expérience soutenue, n’a guère à faire des épidémiologistes, des spécialistes, et des infirmières. Son domaine de compétence, du nutritionnisme à la politologie sans oublier bien évidemment la mycologie, prouve que la liberté personnelle de chacun prévaut sur le bien commun. Adam Smith évoquait la main, le pangolin citerait plutôt le poumon invisible.

Goutons ces bonnes paroles :
« Avec Emmanuel Todd, nous rappelons que « faute d’avoir prise sur l’Histoire, les gouvernants français sont passés « en mode aztèque ». Ils se vengent de leur impuissance au niveau international en martyrisant leurs concitoyens… ». »
Peuple martyrisé, fauché dans son engouement pour les promenades solitaires, conspue le politique quand il le force à courir plutôt que de marcher. Pleure sa liberté quand il ne peut sortir en laisse son lapin de compagnie, s’inquiète de la bonne nutrition des canards sauvages et donc, par extension, de son repas de fin d’année. Applaudit le soignant droit dans les yeux avant d’aller admirer l’architecture « postmodernisme » de son quartier.

L’athlète français, nationaliste dans l’âme, est bien plus arrogant que les 4 milliards de confinés mondiaux. Il sait que le gouvernement français, à l’instar des 80 pays mimétiques, érigera une dictature dès la crise sanitaire passée. Il ne pleure pas ses morts, non, il pleure son amende de 135 euros, il pleure ce jeune de 18 ans condamné à de la prison pour avoir enfreint 14 fois ces règles liberticides, et pour avoir conduit une voiture sans permis et sans assurance alors que la liberté de chacun assure que tout déplacement doit être autorisé (et qu’il ne risquait manifestement rien puisque les routes sont désertées). Pleurons nos amis tombés pour si peu.

Et n’oublions pas que des jours meilleurs se dessinent : nous serons, pour le rendez-vous japonais de 2021, les grands champions des compétitions d’athlétisme, à défaut de d’exporter quelques girolles aux peuples libres.
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Meduse
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Ce cynisme n'est pas digne de ton intelligence !
Faut il rappeler que sur les 300 et quelques passagers du diamon princesse (bateau de croisière avec uniquement des retraités) la plupart étaient asymptomatiques ? Prôner ainsi l'idiotie et culpabiliser les autres de vouloir vivre, juste parce qu'on a une santé fragile ou une certaine peur de la mort, bof ! Je pense qu'on peut tout à fait protéger les plus à risques sans démolir le quotidien et les libertés du reste de la société ! Mais pour ça, il faudrait juste qu'ils se bougent le cul avec les tests et les masques !!
Parmis ces 100 000 décés mondiaux (sur des millions d'infectés donc, invisibles courageux qui passent un sal quart d'heure mais qui n'en mourreront pas) 9% sont fumeurs seulement. Il paraîtrait d'après un scientifique sur le plateau que le goudron dans le tabac fait barrage (héhé)
Ce sont donc les autres co-morbidité qui rendent ce virus létal : obésité, hypertension, diabète, cancers. Alors ok, ça peut concerner pas mal de gens vue l'hygiène de vie pourrie dont nous avons hérité de l'air industrielle. (Y a qu'à voir comment ça va vite au States !) Mais de là à culpabiliser ceux qui prennent soin de leur santé et autant que faire se peut de la planète, c'est du grand n'importe quoi ! Si ils sont responsables avec leur santé, ils peuvent etre responsables vis à vis de leur prochains. Le vrai problème c'est qu'on ne nous donne pas les moyens (test et masques). Alors en effet, les obèses et les malades ont plus d'intérêt à rester confiner pour le moment et faire attention, pendant que les autres développent une immunité de groupe.
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CellarDoor
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Meduse a écrit : 12 avr. 2020, 15:33 Alors en effet, les obèses et les malades ont plus d'intérêt à rester confiner pour le moment et faire attention, pendant que les autres développent une immunité de groupe.
Comme je disais, la française (pour changer) indignée, experte en immunologie, en sait bien plus que les experts à ce sujets.
Alors que tous les pays prônent des mesures de distanciation sociale et de confinement, les Anglais sont les seuls à faire le pari d’une immunité collective, estimant que si 60 % de la population est infectée, cela permettrait d’éviter un second pic épidémique en 2021.

Une politique contestée de toute part, car jugée risquée. Même le Britannique Roy Anderson, un des grands spécialistes de l’immunité de groupe et qui a théorisé cette notion, ne semble pas l’envisager dans le cas présent. Dans un article publié en ligne le 9 mars dans la revue The Lancet, il insiste au contraire sur les mesures de distanciation sociale.

Alors que les mesures de confinement se succèdent sur le continent, deux d'entre eux, les Pays-Bas et la Suède, font encore ce pari. Mais cette stratégie, controversée, pourrait finalement évoluer, à l'instar du revirement spectaculaire opéré par le Royaume-Uni.
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/c ... ent_143320


Je ne suis pas convaincu que les 250 chercheurs scientifiques anglais qui ont lutté pour ce confinement, le conseil scientifique français, et plus collectivement l'ensemble des scientifiques concernés trouvent dans ta phrase la justification nécessaire pour risquer la santé (mais pas que, évidemment) de l'ensemble de la population mondiale.
Si vous laissez le nouveau coronavirus infecter 60-70% de la population, cela veut dire la nécessité d'hospitaliser 12-14% de la population, ce qui est impossible avec 5 lits par 1000 habitants en Europe (0,5%) ? Cela veut dire le décès de 3-7% de la population des pays concernés ?
Pourquoi sacrifierons-nous une telle proportion de la population européenne quand l'application de mesures de quarantaine strictes à travers l'Europe permettrait d'arrêter la propagation du virus ?
L'auteur est Docteur en Science (Biologie moléculaire) et a étudié les interactions entre les virus et la réponse immunitaire innée tout au long de sa carrière. Il a dirigé un petit groupe de chercheurs aux États-Unis sur les coronavirus humains en général et sur celui responsable de l'épidémie de SRAS en 2003 en particulier, à la fois en tant que membre du corps professoral du Collège of Médecine de l'Université de Cincinnati, et en tant que scientifique au seul institut axé exclusivement sur les maladies respiratoires, à Albuquerque.
https://www.lejournaldumedecin.com/actu ... 1586700355

Tout ça pour que tu puisses bronzer sur la plage cet été. :laughing2:
Ce déni est assimilable à celui du dérèglement climatique, dénoncé par l'ensemble du monde scientifique, mais qui trouve encore des contradicteurs (parce que bon on ne va pas sacrifier l'industrie pétrolière pour quelques pauvres dans des pays lointains, ils ont juste à rester chez eux pendant qu'on profite de la vie).
:sick:
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CellarDoor a écrit : 12 avr. 2020, 16:14
Meduse a écrit : 12 avr. 2020, 15:33 Alors en effet, les obèses et les malades ont plus d'intérêt à rester confiner pour le moment et faire attention, pendant que les autres développent une immunité de groupe.
Comme je disais, la française (pour changer) indignée, experte en immunologie, en sait bien plus que les experts à ce sujets.
La francaise prend le temps de résumer tout ce qu'elle a assimilé du discours des experts sur les diffèrents plateaux tv qu'on lui impose chaque soir à table. J'ai même pas envie de lire le pavé qui suit, car encore une fois, sous couvert de sources et de grand savoir, tu vas manipuler le propos pour arriver à la conclusion et au point de vue qui t arrange. (Comme ce fut le cas dans le commentaire de certains articles, que j'ai bien fait de lire quand même car mon esprit critique n'est pas arrivé aux mêmes conclusions.) Tant que tu voudras avoir raison, le débat ne sera pas constructif, je ne ferai donc pas plus d'effort que toi.
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Curiosité oblige j'ai lu quand même ! :-(

Fais le malin, n'empêche que c'est bien la stratégie de long terme, via un déconfinement progressif, ainsi qu'un dépistage massif, et une géolocalisation des cas révélés.

Par ailleurs, je suis en train de bronzer dans mon jardin, et je ne culpabilise absolument pas pour la santé des Africains, puisque cette cure de vitamine D n'est pas incompatible avec la distanciation sociale, et il pourrait en être de même sur nos grandes plages bretonnes ou Vendéennes où il y a assez d'espace pour ne pas être les uns sur les autres.

Et puis dans nos campagnes, pas de transports en communs, pas de foules, pas de grosses barres d'immeubles ! Ces mesures nationales sont disproportionnées pour ici ! Alors que dans les grandes fourmilière, évidemment, le risque et la vitesse de propagation sont plus grandes.

Et dois je te rappeler le français qu'en début Mars, alors que je faisais preuve de civisme en respectant les gestes barrières, toi tu jouais au sceptique cynique ? 🙄
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CellarDoor
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Meduse a écrit : 12 avr. 2020, 17:54 Curiosité oblige j'ai lu quand même ! :-(

Fais le malin, n'empêche que c'est bien la stratégie de long terme, via un déconfinement progressif, ainsi qu'un dépistage massif, et une géolocalisation des cas révélés.

Par ailleurs, je suis en train de bronzer dans mon jardin, et je ne culpabilise absolument pas pour la santé des Africains, puisque cette cure de vitamine D n'est pas incompatible avec la distanciation sociale, et il pourrait en être de même sur nos grandes plages bretonnes ou Vendéennes où il y a assez d'espace pour ne pas être les uns sur les autres.

Et puis dans nos campagnes, pas de transports en communs, pas de foules, pas de grosses barres d'immeubles ! Ces mesures nationales sont disproportionnées pour ici ! Alors que dans les grandes fourmilière, évidemment, le risque et la vitesse de propagation sont plus grandes.

Et dois je te rappeler le français qu'en début Mars, alors que je faisais preuve de civisme en respectant les gestes barrières, toi tu jouais au sceptique cynique ? 🙄
Évidemment que dans une société civilisée le confinement serait partiel et intelligent.
Le gouvernement a essayé cette solution début mars, personne n'a joué le jeu. Peut-être qu'un minimum de respect t'aurais permis d'accéder à ta plage aujourd'hui.
Peut-être également que si les parisiens, à la veille du confinement, ne s'étaient propagés dans toute la France, le confinement aurait été gradué et géolocalisé. Et tu aurais accès à ta plage aujourd'hui.
Maintenant, nous prouvons quotidiennement que nous sommes incapables de penser au bien commun, primons notre bien être personnel.
Tu attends que le gouvernement confine rue par rue ? Plage par plage ? Tu attends une étude sur la densité et la fréquentation de chaque parcelle française ? Tu serais déçue, car l'autorisation d'accès généralisé à ta plage entraînerait un flux démographique vers celle-ci, et empêcherait ou dégraderait la tenue des "gestes barrières".
Arrêtons-de faire les assistés, un minimum de bon sens suffirait au bien commun.
Du bon sens.
Et si renoncer à ta plage demeure trop liberticide, je t'invite à déménager au Brésil où Bolsonaro n'impose pas ce genre de contrainte.
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