Re: Les oubliées
Publié : 29 févr. 2020, 19:43
Après c'est dur de se dire qu'elles sont oubliées quand tu les écoutes tu les oublies pas. On cible comment ? Celles jamais jouées en concert ?
Hm, dans ma tête c'est plutôt celles que les fans ne citent pas souvent... Celles passés à la trappe quand un album est sorti (et du coup, toi comme tu l"écoute tu te demandes pourquoi si peu parle de cette chanson^^)
Y'en a pas mal dont personne ne parle vraiment__Marine__ a écrit : ↑29 févr. 2020, 20:40
Hm, dans ma tête c'est plutôt celles que les fans ne citent pas souvent... Celles passés à la trappe quand un album est sorti (et du coup, toi comme tu l"écoute tu te demandes pourquoi si peu parle de cette chanson^^)
Aucun respect, j'ai taillé dans le texte!Damien Saez a écrit : (...)
Servir à soif à qui a faim
Prôner le vide à qui est plein
Et faire l’amour à des corps sourds
Pourquoi faudrait-il que l’on s’aime ?
Pourquoi faut-il qu’on s’en souvienne
Quand ça rend le cerveau trop lourd
Servir des rires à qui a peine
Et se jeter sous des poids lourds
S’effiler au fil du rasoir
Se pendre à coups de corps perdus
Evadez-moi
Embrasons- nous
Me voir devenir mort quand la chaire est à vif
Dans les combats de tigres passer entre le griffes
Et sentir dans la veine qu’on est proche de Dieu
Et puis sentir la haine qui me monte aux yeux
Mes cris dans le silence ne me ramènent plus
Qu’à de tristes équations, à de tristes inconnues
Que je connais trop bien la déchire et la viande
Qu’on serre entre ses bras où qu’on coupe au couteau
S’effiler au fil du rasoir
(...)
La version originale, je trouve, se suffit à elle-même.Lime a écrit : ↑01 mars 2020, 20:19 Parmi celles dont la communauté parle assez peu mais qui ont été jouées régulièrement en concert à une période, il y a Embrasons-nous dont j'adore les vers suivants:Aucun respect, j'ai taillé dans le texte!Damien Saez a écrit : (...)
Servir à soif à qui a faim
Prôner le vide à qui est plein
Et faire l’amour à des corps sourds
Pourquoi faudrait-il que l’on s’aime ?
Pourquoi faut-il qu’on s’en souvienne
Quand ça rend le cerveau trop lourd
Servir des rires à qui a peine
Et se jeter sous des poids lourds
S’effiler au fil du rasoir
Se pendre à coups de corps perdus
Evadez-moi
Embrasons- nous
Me voir devenir mort quand la chaire est à vif
Dans les combats de tigres passer entre le griffes
Et sentir dans la veine qu’on est proche de Dieu
Et puis sentir la haine qui me monte aux yeux
Mes cris dans le silence ne me ramènent plus
Qu’à de tristes équations, à de tristes inconnues
Que je connais trop bien la déchire et la viande
Qu’on serre entre ses bras où qu’on coupe au couteau
S’effiler au fil du rasoir
(...)
Il y avait de très belles versions acoustiques en 2012...
J'ai jamais réussi à la réécouter (à part l'intro) mais comme toi, j'avais bien aimé cette prestation "décalée" FTWCellarDoor a écrit : ↑01 mars 2020, 21:46 La version originale, je trouve, se suffit à elle-même.
Le carnet, le branchement de la guitare, la chemise à carreaux, le public incrédule, l'inattendu, le temps d'audience qui vrille la programmation...
Parce qu'elle est fortement inspirée de Barbara !