L'anorexie des jours ou boulimie des nuits

A l'heure de la guerre, des champs d'horreur, faire de la terre un champs de fleurs.
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UnPetitBoutDeNous
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Peb a écrit : 20 août 2020, 16:48
Peb a écrit : 03 juil. 2020, 02:09 La musique relaie l'écriture et l'emmène plus loin que l'écho d'une lecture dans l'esprit.

Note à l'instinct, nouer ses cordes à l'ensemble.

J'reviens vite.
J'ai trouvé l'ensemble

Je n'ai plus l'envie de vous écrire

Je sais qu'elle est déjà partie
Alors je retrouve le fil de mes mémoires
Décousues les temps sont fantasmes
L'amour comme un phasme dans notre solitude

On s'est reconnu dans l'espace
On s'est appris d'autres lieux on se sait l'un l'autre
Atteint de la même souche d'arbre
Tu dessines les mots que tu ne trouves plus
J'écris les dessins que je ne trouves plus

A trop se chercher on finit par se perdre
J'ai ton âge d'avance
Dans quelques lunes cette parole sera vaine
Sang tari des tissus de nos nuits
Sens du tronc commun distendu par nos vies

Parlez vous autres
J'ai retrouvé la prémonition des encres
Prémédité la mort de la laisse qui me tient au verbe
Liés à nous même
Des insectes dans le tout
Qui se sont trouvés là ou ailleurs il y a longtemps
Tombés d'une fourmilière trouée comme la théière de Russell

Alors tu n'es plus seul dans ton vide. Quel bonheur.
Ps en musique alors... en overdose. Comme ce nombril.

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Peb
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Instinct, j't'ai senti
Escales de peaux
Les courbatures des vignes
Tortueuses comme nos colonnes
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CellarDoor
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Peb a écrit : 26 août 2020, 05:51 Instinct, j't'ai senti
Escales de peaux
Les courbatures des vignes
Tortueuses comme nos colonnes
Le sang du vain ?
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Peb
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Le sens devin

C'est sentir

Début d'mois, les soucis s'allègent quand le compte en banque s'alourdit
Faut dire que l'existence est un équilibre parallèle
Entre la conscience reliée au Tout qui ignore qu'elle est confinée dans une réalité autre, maquillée comme ces femmes derrière la beauté des cosmétiques
Entre le corps qui crie, l'âme qui écrit les cris de l'esprit

Je suis là et ailleurs
Je sais
N'écoute pas mon guide quand je perds la foi, mais sa voix plus forte que la mienne, quelle voie suivre alors

Décrier ce monde et ses aliénations à quoi faire dis ?

On sent tous la merde monter aux nasaux de nos instincts, faut dire que notre maison est entretenu par des marchands de sommeils, alors quoi faudrait rester l’œil fermé à espérer des projections

Matinée de cendres, phœnix dans le larynx
muer sa peau, prier une plume nouvelle pour ce néo-monde qui arrive
Enfant au regard pur

Je sais qu'on retournera à la maison
Si tout ça n'est qu'un jeu sans en connaître les règles
Pour nos mortels corpulences, pour les crépusculaires auxquels on donne chairs


Sur la toile j'compte percer l'opacité
Faire rentrer la lumière

Amour en boulimie, toujours vouloir plus

Émetteur / récepteur

Radiographie de l'invisible dans ma pupille

J'absorbe et régurgite le miel pour d'autres ouvrières de mon chemin

Sentiments pollinisés
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suffragettes AB
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x
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Peb
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08.02/23:00

Ça fait longtemps que je ne t'ai pas écris, à toi, à nous, au petit peb qui s'oublie dans la vie des adultes, à l'autre-moi, à l’alter-ego qui écumera ses lignes

C'est pour donner des nouvelles, semer les mémos, noircir post-it

C'est
Pour la beauté du geste
On se retrouvera plus tard
Lui & moi
Aux relectures des années 30

J'reviens d'la mer avec comme point d'horizon ses yeux à Elle, j'ai piétiné l'Il du nous sans savoir où cela mènerai, j'ai débouché là-bas, jeté en marée-basse dans la certitude de l'inconnu, j'ai débouché quelques bouteilles de mauvais vin, mais toutes les ivresses couvent la chaleur humaine aux oreilles qui s'accordent et écoutent la mélodie de l'unicité.

Tout est un et tout s'éteint
Les mots dansent comme un sourire sur une lèvre, des yeux qui se perdent au lointain d'une pupille, l'Amour ça donne les yeux tout rond, si la lumière à y rentrer rétrécit ses bords, c'est quoi l'Amour, dis ?

Les yeux d'une femme me ramène à pauser
à proser à verber à moter
Monter les moteurs de la création
à s'poser deux minutes
A créer " Si on "
Projections, stop ?

Quand on est face au mur, le mouvement est-il option envisageable ?
C'est l'faire la solution, c'est écarter c'qui semble nous boucher la vue
Si dans ton télescope tu n'vois que des étoiles, tu t'arrêteras à lui-même, qu'un être un observateur l’œil dans l'outil

J'ai toujours préféré regarder la lune, comme l'astre mort qui nous permet de vivre

J'dépose le joint dans une huître qui sert de cendriers. Mode journalistique. 1.2 j'envoi un télégramme sur les ondes à la vue de tous sans l'anonymat supposé d'autres homonymes plus modernes

J'sais pas si la joie se cache dans l'Autre, mais sans son antre on ne se révèle jamais vraiment penser
J'me vois faire et ne pas vraiment être
Car demeurer ici et maintenant est la pratique du sage,
Sans parler de temps où d'expérience
Crois-tu que l'âge ferait bon adage?
Comme l'un des trois singes, s'essayer, ne plus l'entendre, ni le voir, ni le formuler
Juste financer de son temps la blanche curative incantation
Et sentir qu'on s'attente seul
Des mots d'mystères qui guérissent des maux

Ça ne passera pas avec le temps, j'nous crois pas malades, j'pense juste qu'une part profonde en nous ferme les yeux. Et ne croyez pas en disant ça que je me considère comme plus éclairé que d'autres
Saisir un sens n'est pas se mettre en position de maître face à un élève
C'est conjuguer l'esprit qui nous anime à celui de l'autre et proposer une danse commune

Quand le cerveau irrigue par crues et laisser les arides fertiles
Y'a des forêts qui poussent
Puis un jour des incendiaires qui passent
Du coup se construire soi c'est être à la fois Sisyphe et Petit Poucet
C'est semer pour retrouver sa route
Ce qu'on roule tous les jours c'est p'tet les cailloux qui se dressent devant nous
Et si la forêt elle crame il y a encore tout le sol et les racines pour faire jaillir les nouveaux équilibres

Deus Ex Anima
Mais c'est une âme à deux
Partagée
Quand tout vibre
Que la compréhension de Van Gogh s'ouvre à ce que l'on voit
Les liens se tissent
Voir sur la plage l'invisible
Les chromosomes de l'univers

Tu te doutes t'as fini ton joint, et ici , tous ( les autres ) dans leur couverture d'existence : c'est qu'ils doivent s'occuper des factures, faire le ménage, les choses de l'existence physique
J'suis déjà plus là, demain je serais mort à renaître dans le présent d'autres
Devant le sourire d'une caissière que je devinerai sous l'étoffe de l'époque
Qui me rappellera, dans son au-revoir commercial que l'essentiel n'a pas de prix
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Peb
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Y'a quelqu'un ?
J'ai croisé un Roy dans une cabane à livres
Sais-tu si nous sommes encore loin de la mer ?

J'ai l'âme qui flotte entre moi et le dehors, floraison funèbre ou arborescence de ce que l'on pense, te souviens-tu que l'on baigne quand on retrouve la source?

Sans-fil on perd le chapitre de ses vies ?
Quand défile vite la page
Quand déferle la vague

Qu'il ne reste que la dérive à bord
Où on va capitaine ?
Mais le nommé ne répond pas à l'enfant

Qui sait s'il entend
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Peb
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Spoiler
( Jsuis un pedocrimi et j'assume
Hein daminou moi qui était dur avec toi finalement t'es mon modèle :kiss: )
D'être amoureux
D'un être avant son âge sociétal
D'être amoureux
D'une âme à cent visages

L'amour comme dans un rêve
Ses jambes qui encerclent mon désir
Le ventre bouillonnant j'ai l'appétit de l'attente
Ça monte et nos corps se frôlent
Jusqu'aux crampes de la passion

c'est que ça vibre
En moi
Partout

Son odeur sur les doigts que je lèche
Me perdre dans ses yeux sombres
J'ai le sourire de ceux qui savent qu'on est seul toujours
Même en ayant trouvé sa lumière

T'es belle dans ton corset mon accidentée
Nos véhicules sont fragiles
Prenons-en soin
Le gant contre ta peau qui mousse
Un orteil après l'autre
Embrasser ta forêt qui foisonne
Écouter la mélodie de ton urine
Penser à la pluie
Te cracher sur l'épaule au sortir d'un rêve
Ne plus se réserver à notre intimité
S'embrasser devant famille
Discuter avec celle qui t'as sorti de son ventre qui a portée ta vie dans la brouette des jours
Ne plus sentir les épines des framboisiers qui se taillent
Savoir que tu m'attends des fois
J'ai l'horizon en tête
T'as le temps devant
J'ai brûlé mes papiers je n'ai plus rien à faire que d'effacer mon sang d'encre
3 mois minimum de prison corporelle pour toi
Comme on dit souvent
La suite on verra

Mais l'amour c'est de l'essence pour mon âme
Quelle route et quelles pannes seront là
Yaura t'il un impact ?


Hier couve encore
Que mes paroles ne relance pas l'incendie
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Peb
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Spoiler
( J'ai déserté les réseaux )
Je m'en souviens encore.
Y'avait une odeur de renaissance, dès le réveil.
Qui m'avait visité dans la nuit pour me souffler toutes ces pensées ?

C'était une belle journée d'été, sous un soleil radieux.
Aller voir les copains dans leur vallée.
Préparer son sac pour partir vers de nouvelles aventures.

Essuyer une heure et demie de route.
Toujours mon sac de voyage vert sur le dos depuis 2015, rempli comme à son habitude de vêtements en boules, de quelques vivres, de quelques livres, de quoi écrire et d'autres.

Démarrer le moteur, rester l’œil attentif dans le rétroviseur.
Entendre le moteur perdre sa cadence dans les montées, repartir de plus belle dans les descentes, succession de lieux-dits, de virages, de panneaux de signalisations.

Après avoir passé Aubusson, je sentais se lever en moi un vent nouveau.
J'ai parlé à l'invisible ou est-il venu me rencontrer ?
J'avais comme la présence chimérique d'un guide sur mon épaule.
Il m'a parlé de toi alors je lui ai demandé notre rencontre, il s'est tût et à rit.
Il m'a demandé ce que je faisais là et s'est tût.
Ce que je ne savais pas c'est que les plans de l'univers et ses synchronicités étaient déjà en place.
Spoiler
( Ça faisait un an que je la voyais passer sur les réseaux.
Un an que des algorithmes me proposait de l'ajouter.
Un an qu'elle était là, déjà dans mon horizon sans que je ne m'en aperçoive vraiment. )
Quelques kilomètres avant mon arrivée, j'ai commencé à ressentir une vibration dans mon corps. Mon esprit flottait à la fois en dedans et en dehors.
Et non je n'étais pas sous quelconque substance qui aurait pu modifier ma perception.

( Il arrive à beaucoup d'entendre des bruits et le commun du mortel tend à penser que c'est le fruit de l'imaginaire, que l'oreille fait des farces, mais non.
Ce n'est pas parce qu’on ignore l'origine d'un phénomène qu'il ne se produit pas, qu'il n'a pas de racine, qu'il n'existe pas.
Face à l'inconnu, on parle d'hallucination, de diableries, de divin, comme pour fuir ce qui nous est étranger, ou alors les cloisonner dans des termes abstraits car il nous refuse d'admettre la possible existence des invisibles . )

Seraient-ce les lois de l'attraction ?

Je n'ai jamais été autant sûr, aujourd'hui, d'être sur le chemin que je devais emprunter.
Je ne pense pas avoir eu vraiment le choix.
De la mythomanie sous alcool qui s'ignore, éclatant à coup de poing la porte de ma chambre jusqu'aux tentatives d'attenter à mes jours.

J’accueille à bras ouverts cette idée que nous sommes déjà déterminés d'avance.
J’accueille à bras ouverts cette idée que nous pouvons toujours nous déterminer.
J’accueille à bras ouverts cette idée que tout est possible et qu'il suffit parfois de sentir la brèche pour s'y engouffrer, bien qu'il arrive que la vie nous y pousse sans accord ou nous incite à rentrer.

Personne n'est en haut quand j'arrive. Je me gare à côté de chez E et C, les initiateurs de ce weekend camping/soirées et feux de bois.
Shaka, attaché, me regarde passer nonchalant dans sa niche métallique, semble sortir d'un ennui profond et se met à aboyer, annonçant mon arrivée.
J'imagine qu'en contre-bas, dans cette vallée féerique ils ont eu l'écho de mon moteur de plus.

Je me gare dans le cercle où la jument et l'ânesse demeurent parfois quand il faut entretenir leurs sabots, à côté de la bécane de E, toujours poussière et sale.
J'enlève mon casque, mes gants, fais le tri de mes affaires, histoire d'être sûr de ne pas remonter dans peu de temps, car la pente pour accéder à ce paradis terrestre est assez raide.
Je passe sur le chemin, devant Shaka, lui envoie quelques mots doux, l'appelant " mon gros ", lui demandant comment il va, il me répondit avec un sourire de chien, langue pendue par la chaleur écrasante.

J'observe les arbres sans tous les connaître.
Mes yeux se perdent dans les branchages et de là où mon regard se pose, je vois un oiseau s'envoler, multicolore, et un autre, du même gabarit le suivre de près.
Ils semblent danser dans l'air, l'un vers l'autre, lâchant quelques mélodies joyeuses.

****
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Peb
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Et pendant ce temps Peb a obtenu son code.
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Peb
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On se perd pour mieux se retrouver

Merci la source de me ramener à toi, à vous, à nous

Viser la justesse
Vibrer dedans vers l'unité
Je lâche petit à petit les cercles de destructions
C'est à l'intérieur la flamme
L'éther le comburant ?

Je souris d'être
J'attendais la mort sans crainte
Mais c'est ma vie avant qui m'attend
Les pertes sur la route c'est des cris à entendre
Ou à ignorer

Tout part dans l'un fini
À la fin du cycle
Je dois évaporer les peurs
Si je veux pleuvoir du nourricier sur ce que j'ai rendu aride

D'avoir brûlé de ce feu qui n'a pas su se limiter
Qui s'est brûlé oui jusqu'à perdre l'éclat de son foyer

L'étincelle d'une graine
Des éléments qui concordent
Nous voilà
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Peb
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Si je pouvais
J'serais parti avec elle vers son pays, l'Allemagne

Une nuit c'est toujours trop court
J'ai le cœur courbaturé des rencontres
Des gens qui partent
De celles qui ne restent pas

On peut tomber malade après une nuit d'amour ?

Tout ce que je mange c'est comme du poison

La bouche de Léna me rappelle que je ne suis qu'un virus solitaire qui cherche un hôte pour abriter son existence médiocre

Les anges passent en coup de vent
J'en perds mon équilibre
Sur le fil d'hier
Attendant qu'elle revienne

La tristesse creuse mes poumons
La cigarette me brûle de plus en plus

Gamin cherche Eden avant la fournaise

Vieillir à quoi ça sert ? Ça ramène que des rides

Léna comme une éclaircie avant l'orage
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Angellore
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:heart:
Lire ce texte me donne envie d’écrire ;)
On ne se coud jamais qu'avec du fil de soi.
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Peb
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Chouette
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Peb
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Comment tu gères ton envie de mourir, toi ?

Plus je pense avancer vers ce projet de vie qui m'est cher pour mon équilibre mental, plus je comprends que ça va être compliqué de refermer cette faille profonde.

J'ai beaucoup pleuré cette semaine, en pensant à Elle, tu sais, cette Marilou qui me hante encore.

Je m'étais juré que c'était la dernière. Deux années bientôt, je repense à elle, mes organes veulent s'arracher à mon corps quand j'imagine son énergie contre ma peau. De sa disparition, quels restes à l'intérieur ? Je perd la notion du temps. Je suis déjà mort.

L'amour m'a intoxiqué. je suis malade de l'âme, de l'esprit.

Ce positif que je sais verbaliser n'est que le reflet de l'ombre qui habite dedans.

Quel plaisir à écrire ? Ce n'est qu'un plus qu'un cri, plus grand chose ne m'anime.

Rendu compte de ma propre toxicité.

Je n'arriverais pas à surmonter ces difficultés, ces impossibles à fuir que je ne veux pas affronter.
Le déséquilibre du monde.

Je pense de plus en plus à passer à l'acte.
Pour tous ceux que j'ai raté hier

J'ai une infection dans l'âme
J'peux plus rien y faire
J'aurais essayé
Laisse le temps faire

Puis y'aura ce grand soir où l'alcool me susurrera de m'écouter
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goelandfou
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Quand l'printemps a tardé à ouvrir ses bourgeons
🥺
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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