Des lunes toujours pleines qui ne me sourient plus ....
J'm'en fous qu'elles tirent la tronche. Moi j'leur souris quand je les croises dans les couloirs, les autres. Quand j'suis tout seul, j'la salue avec ma main droite. Un geste qui part du centre de mon front, le doigt pointant vers elle. C'est pas qu'elles savent plus. Tu sais toi, tu le sais bien, que les sourires ne s'éteignent jamais, que ça s'oublie seulement avec le temps.
tu pourras laisser les années couler, tu porteras toujours la même mélancolie sur les épaules. Le poids de tes chimères, de l'idéal pas trop pourri par la contradiction constante.
J'peux leur cracher dessus aux citadins, j'vais cultiver les liens avec mes paires.
On causera complexe argilohumique et d'autres scientificités de nos passions.
Comme deux âmes écrivantes se poseront la question de la formulation.
De mon écriture j'voulais faire de la magie blanche.
Avant, j'devais comprendre les ombres.
J'dis plus grand chose, j'ai grandis, je regarde, l'ouvre parfois ma grande gueule discrète, par mégarde , quand mon égo veut plaire.
J'pensais n'être coincé que dans mon corps. J'suis coincé dans ma tête aussi, c'est qu'une partie tu me diras : des pensées reviennent, dois-je fuir ou les saisir comme épreuve avant apprentissage ?
J'te connais pas vraiment et j't'aime sans trop savoir pourquoi.
J'voudrais t'faire un enfant, pas dis qu'tu le veuille aussi pour moi ...
Temps de paix, j'tourne au ciel ces jours-ci, coca pour noyer la tourbe.
Plus de dix joints par jour.
Et qui derrière assumes ses cours.
Avec un seul ver j'peux pas faire le tour
Toujours l'histoire d'un mec banal
Trop faible contre ses dépendances
Ptet peu fiable ou qu'un putain d'animal
Dans un apprentissage constant
J'suis épanoui
Si mes rêves pouvaient m'engloutir
Avant de mourir
Je pourrais sourire, me disant :" je l'ai fait "
L'anorexie des jours ou boulimie des nuits
Puis prendre sa liberté c'est p'tet apprendre à gérer ses aliénations
Du vital qui nous compose jusqu'au réconfort psychologique de la destruction
J'l'aime tellement que j'sais plus qui j'étais avant elle
Devenu l'ombre de moi-même après qu'elle ait révélé ma lumière
Du vital qui nous compose jusqu'au réconfort psychologique de la destruction
J'l'aime tellement que j'sais plus qui j'étais avant elle
Devenu l'ombre de moi-même après qu'elle ait révélé ma lumière
Peb a écrit : ↑07 déc. 2022, 23:23 Des lunes toujours pleines qui ne me sourient plus ....
J'm'en fous qu'elles tirent la tronche. Moi j'leur souris quand je les croises dans les couloirs, les autres. Quand j'suis tout seul, j'la salue avec ma main droite. Un geste qui part du centre de mon front, le doigt pointant vers elle. C'est pas qu'elles savent plus. Tu sais toi, tu le sais bien, que les sourires ne s'éteignent jamais, que ça s'oublie seulement avec le temps.
tu pourras laisser les années couler, tu porteras toujours la même mélancolie sur les épaules. Le poids de tes chimères, de l'idéal pas trop pourri par la contradiction constante.
J'peux leur cracher dessus aux citadins, j'vais cultiver les liens avec mes paires.
On causera complexe argilohumique et d'autres scientificités de nos passions.
Comme deux âmes écrivantes se poseront la question de la formulation.
De mon écriture j'voulais faire de la magie blanche.
Avant, j'devais comprendre les ombres.
J'dis plus grand chose, j'ai grandis, je regarde, l'ouvre parfois ma grande gueule discrète, par mégarde , quand mon égo veut plaire.
J'pensais n'être coincé que dans mon corps. J'suis coincé dans ma tête aussi, c'est qu'une partie tu me diras : des pensées reviennent, dois-je fuir ou les saisir comme épreuve avant apprentissage ?
J'te connais pas vraiment et j't'aime sans trop savoir pourquoi.
J'voudrais t'faire un enfant, pas dis qu'tu le veuille aussi pour moi ...
Temps de paix, j'tourne au ciel ces jours-ci, coca pour noyer la tourbe.
Plus de dix joints par jour.
Et qui derrière assumes ses cours.
Avec un seul ver j'peux pas faire le tour
Toujours l'histoire d'un mec banal
Trop faible contre ses dépendances
Ptet peu fiable ou qu'un putain d'animal
Dans un apprentissage constant
J'suis épanoui
Si mes rêves pouvaient m'engloutir
Avant de mourir
Je pourrais sourire, me disant :" je l'ai fait "
C’est beau ce que tu écris, Peb.
La beauté du sens de la mélancolie me bouleverse.
On ne se coud jamais qu'avec du fil de soi.
Salut peb
Je t'écris du futur
C'est pour te dire que tu t'es trouvé
Tout part d'un soir où tu t'es retrouvé là
L'existence te sera synchrone
Ne perd jamais ta lumière
N'écoutes pas l'ombre même si elle hurle dans tes yeux
Gardes les oreilles aveugles
C'est ton fréquentiel
Loin de beaucoup d'autres
Dans ta sphère ton bout de ciel
Bouture tes racines ont grossis sans même que les autres voient
Les tempêtes desquelles tu t'es plié
Sans jamais casser
L'art de la courbure
Nous sommes déjà loin et tous ensemble
Toi et moi
Je t'écris du futur
C'est pour te dire que tu t'es trouvé
Tout part d'un soir où tu t'es retrouvé là
L'existence te sera synchrone
Ne perd jamais ta lumière
N'écoutes pas l'ombre même si elle hurle dans tes yeux
Gardes les oreilles aveugles
C'est ton fréquentiel
Loin de beaucoup d'autres
Dans ta sphère ton bout de ciel
Bouture tes racines ont grossis sans même que les autres voient
Les tempêtes desquelles tu t'es plié
Sans jamais casser
L'art de la courbure
Nous sommes déjà loin et tous ensemble
Toi et moi
Salut Peb
T'en écris des conneries..
T'as déménagé pour te rapprocher de la fille que t'aimais, puis comme d'hab t'as encore tout gâché. Quelques messages et zoup, t'es parti en couilles.
Tu réfléchis à comment te tuer, depuis. Y'a pas de solution miracle, ça se saurait.
T'as vu comment t'es seul ?
Y'a personne qui t'appelle.
Y'a personne qui répond.
Y'a personne, à part toi, là.
Avec dans l'âme, le vide. Le cœur écroulé sous des amas de silence.
C'est pas grave, tu sais, de ne pas avoir su.
C'était trop fort pour toi.
T'étais au bord du bonheur, tu t'es borné à tes peurs, t'as plus qu'à plonger maintenant..
Une vie peut en cacher une autre
T'en écris des conneries..
T'as déménagé pour te rapprocher de la fille que t'aimais, puis comme d'hab t'as encore tout gâché. Quelques messages et zoup, t'es parti en couilles.
Tu réfléchis à comment te tuer, depuis. Y'a pas de solution miracle, ça se saurait.
T'as vu comment t'es seul ?
Y'a personne qui t'appelle.
Y'a personne qui répond.
Y'a personne, à part toi, là.
Avec dans l'âme, le vide. Le cœur écroulé sous des amas de silence.
C'est pas grave, tu sais, de ne pas avoir su.
C'était trop fort pour toi.
T'étais au bord du bonheur, tu t'es borné à tes peurs, t'as plus qu'à plonger maintenant..
Une vie peut en cacher une autre
Peb a écrit : ↑26 mars 2024, 19:51 Salut Peb
T'en écris des conneries..
T'as déménagé pour te rapprocher de la fille que t'aimais, puis comme d'hab t'as encore tout gâché. Quelques messages et zoup, t'es parti en couilles.
Tu réfléchis à comment te tuer, depuis. Y'a pas de solution miracle, ça se saurait.
T'as vu comment t'es seul ?
Y'a personne qui t'appelle.
Y'a personne qui répond.
Y'a personne, à part toi, là.
Avec dans l'âme, le vide. Le cœur écroulé sous des amas de silence.
C'est pas grave, tu sais, de ne pas avoir su.
C'était trop fort pour toi.
T'étais au bord du bonheur, tu t'es borné à tes peurs, t'as plus qu'à plonger maintenant..
Une vie peut en cacher une autre
Allez faut pas se laisser abattre, des filles y'en a des milliers, des millions, des milliards, tu finiras par le trouver ton bonheur (pérenne). Courage
Coucou Peb
T'en écris de belles de conneries en tout cas et faut continuer, l'écriture comme armature, l'art mature pour se blinder (jeu de mot quand tu nous tiens), technique de la pierre armée, pour ne pas s'effondrer. L'amour ressemble plus à une galère qu'à une croisière parfois. Nul doute qu'une minute à l'autre ou d'une année sur l'autre ça peut complètement chavirer, rien n'est acquis, d'un 26 mars 2023 à un 26 mars 2024, le hasard cruel des dates.
T'a déménagé pour emménager avec quelqu'un et ça a fini en scènes de ménages et dérapages, c'est ça? Depuis la personne oppose à la célérité de ton verbe, la sévérité du silence radio, d'après ce que je comprends, mais ce n'est peut-être pas irréversible, et puis si ce n'est pas le cas, essayer de retenir que le bon en attendant que le temps fasse des siennes et panse les plaies. Tu vas retrouver la clé de voûte, l'équilibre à nouveau, j'écris ça comme un abracadabra, mais tu n'es pas sans savoir que les formules magiques parfois ça marche . Tel Sisyphe, aller rechercher le rocher tout en bas et remonter la pente, le cycle de la renaissance, le coeur souffrant mais qui bat d'autant plus fort, pas blasé, bien vivant. Le rythme de la vie toujours plus fort que la pulsion de mort. Coeur battant, coeur vaillant. Accroche-toi en attendant que la tempête émotionnelle se calme. Force et courage.
T'en écris de belles de conneries en tout cas et faut continuer, l'écriture comme armature, l'art mature pour se blinder (jeu de mot quand tu nous tiens), technique de la pierre armée, pour ne pas s'effondrer. L'amour ressemble plus à une galère qu'à une croisière parfois. Nul doute qu'une minute à l'autre ou d'une année sur l'autre ça peut complètement chavirer, rien n'est acquis, d'un 26 mars 2023 à un 26 mars 2024, le hasard cruel des dates.
T'a déménagé pour emménager avec quelqu'un et ça a fini en scènes de ménages et dérapages, c'est ça? Depuis la personne oppose à la célérité de ton verbe, la sévérité du silence radio, d'après ce que je comprends, mais ce n'est peut-être pas irréversible, et puis si ce n'est pas le cas, essayer de retenir que le bon en attendant que le temps fasse des siennes et panse les plaies. Tu vas retrouver la clé de voûte, l'équilibre à nouveau, j'écris ça comme un abracadabra, mais tu n'es pas sans savoir que les formules magiques parfois ça marche . Tel Sisyphe, aller rechercher le rocher tout en bas et remonter la pente, le cycle de la renaissance, le coeur souffrant mais qui bat d'autant plus fort, pas blasé, bien vivant. Le rythme de la vie toujours plus fort que la pulsion de mort. Coeur battant, coeur vaillant. Accroche-toi en attendant que la tempête émotionnelle se calme. Force et courage.
,Peb a écrit : ↑26 mars 2024, 19:51 Salut Peb
T'en écris des conneries..
T'as déménagé pour te rapprocher de la fille que t'aimais, puis comme d'hab t'as encore tout gâché. Quelques messages et zoup, t'es parti en couilles.
Tu réfléchis à comment te tuer, depuis. Y'a pas de solution miracle, ça se saurait.
T'as vu comment t'es seul ?
Y'a personne qui t'appelle.
Y'a personne qui répond.
Y'a personne, à part toi, là.
Avec dans l'âme, le vide. Le cœur écroulé sous des amas de silence.
C'est pas grave, tu sais, de ne pas avoir su.
C'était trop fort pour toi.
T'étais au bord du bonheur, tu t'es borné à tes peurs, t'as plus qu'à plonger maintenant..
Une vie peut en cacher une autre
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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