E.L a écrit : ↑06 août 2020, 13:24
Cet histrion infatué jouait l'équanimité du sycophante ...
Voilà de quoi entamé mon propos amphigourique ...
Se noyer dans l'absurde d'une préoccupation politique a mille lieu de l'urgence...
Le 27 septembre, le peuple suisse se prononcera sur un crédit de 6 milliards de francs pour l’achat de 36 à 40 nouveaux avions de combat pour remplacer la flotte actuelle de F/A 18.
En une seule heure de vol, un F/A 18 consomme en moyenne 4’850 litres de kérosène, entraînant l’émission de 12'200 kg de CO2. Cela équivaut aux émissions d’un trajet en voiture de 100'000 km, soit 2,5 fois le tour de la Terre.
La cheffe du Département fédéral de la défense Viola Amherd a déclaré qu’il n’y avait pas d’autres options à cet achat pour assurer la surveillance de son espace aérien, le protéger et le défendre en cas d’attaque.
La France n'est pas en reste, une loi bioéthique ouvrant la voie au chimère , à l'infanticide non nécessaire sous un terme fourre tout ...
Notre société semble de plus en plus marché sur la tête, se désunir de nous même, se vouloir à un être robotique dénué de tout ce qui fait de nous des humains...
Antan l'homme disait "un homme sans ennemis est un homme sans valeur "
Mais je ne veux pas d'ennemi ...elle est ma valeur ...
Nous en sommes donc là...nous sommes donc ce ver luisant pensant que nous avons donné la lumière au monde ?
Plus capable de réfléchir soi sans pour autant y voir la part mystique , surnaturelle de nos êtres ?
Est ce le fiel dans ma bouche qui me rends amer ?
Pourquoi ne puis je me taire ?
J'aimerai être ce sage hermite retirer dans sa grotte....
Qui se contente de lui même...de ce que la vie lui mène...
Être l'air qu'on respire navigant librement pour faire souffle de vie...
La douleur dans la peau me pousse à l'élévation...
Que serait je sans ce mal ?
Quand les siècles m'ont fait homme , ma nudité de départ ne me gênait guère...je ne me couvrait pas du regard de l'autre...je ne né pas habillé...je m'adapte ...on me couvre,
Au lieu de faire travailler le corps qu'il m'est offert , sous couvert de protection , on m'enferme dans mes premières limitation d'expérience....
Il y'a un ordre au chose, une succession , un cheminement...ainsi piéger en hiver , j'ai du m'adapter au froid ...je me suis revêtu d'une peau prise à un autre...
Nous avons honte de nous même, nous nous créons notre propre desamours...nous perdons toute confiance, tout repère...
La peur constante que l'on nous vends, les fin du mondes perpétuel nous éloigne toujours un peu plus de nous même...
Rendre l'ennemi invisible , comme une marque de possession, faire de l'éclairé un malade à enfermer....
Un déséquilibré, un danger et toujours augmenté la défiance des uns envers les autres ...
Ne pas exposer son corps au danger potentiels toujours plus de barrière de distanciation social, des gestes barrière...
Nous sommes la langouste dans la casserole , on fait monter la température petit à petit rendant la terre hostile , Infernal, le feu prends de l'ampleur ....nous alimantons l'enfer ...
Le paradis est un jardin , l'enfer est un jardin en feu...
Je me défends de me défendre ...
Tuez moi, la mort ne peut être pire que l'enfer qu'on construit...le fils de l'homme n'est pas un homme, c'est une machine ....
Cette machine sans âme détruira la vie ....car sans respect pour ce qu'on prélève du vivant , sans comprendre l'essence du vivant on ne s'intéresse qu'à sa propre existence et sa reproduction ...le robotique aura besoin des minéraux qui le constituent ...le vivant ne l'intéressera pas ,il ne le comprendra pas...
L'ombre ou la lumière ? Quel terrain de jeu/je voulons nous?
Robots-chirurgiens, prothèses bioniques, exosquelettes, greffes et implants mécatroniques... des termes futuristes excentriques ? Si ces vocables appartenaient hier encore à la science-fiction, ils sont en passe d’intégrer et de modifier la médecine d’aujourd’hui et de demain.
Micro-robot MIPS, 1998-2000
Conçu pour une intervention in vitro , le micro-robot MIPS est utilisé en chirurgie gastrique. Il peut être placé à l’extrémité d’un endoscope et fait partie de la famille des robots manipulateurs « parallèles », c’est-à-dire comportant plusieurs bras. Cette structure, plus précise que celle des robots « série », à bras unique, permet de manipuler des charges plus lourdes. Le corps du robot contient trois micromoteurs qui permettent de déplacer indépendamment trois tiges, chacune étant connectée à la « main » du robot, pour un positionnement très précis de cette « main ».
Une fois le robot dans l’oesophage, le chirurgien peut le commander pour recevoir des données, par exemple des images, mais aussi téléopérer au moyen des modules opérationnels qui peuvent réaliser l’intervention. Le robot est ensuite évacué par les voies naturelles, et le patient peut sortir immédiatement de l’hôpital, cette chirurgie étant minimalement invasive, même pour des pathologies lourdes.
Un jour le robot n'aura plus besoin de nous...
Mais au final, le robot ne finira t'il pas par reproduire l'homme ?
Et si c'était un truc du genre le secret de la vie ...ne rien faire ...vivre ,juste vivre selon ce que la vie nous propose , en ne se souciant de rien, puisque en toute logique la fin et le début , c'est un peu la même chose...
Si la vie est machine, j'y ai laissé un bout de moi...
Si la vie est ma réalité, alors j'aurai fait de mon mieux, si la vie est l'héritage fillial, ma descendance est un comble de joie...
Et si la vie était le plus bel oxymore ...