Meduse a écrit : ↑04 avr. 2020, 17:50
Non, pour l'occasion j'ai pondu une histoire.
Ça m'a pris l'après midi et nécessite sûrement quelques révisions. J'espère que vous êtes flatté par cette attention, parce que c'était vraiment un temps à jardiner ... ceci dit, écrire en lezardant au soleil c'est cool aussi
Défi relevé.
Autopsie d'un propos.
Je relève 1445 termes dans cette histoire.
Hypothèse forte : un mot mal-à-propos se doit d'être atypique, son caractère discret incitant à un placement
unique.
618 termes répondent à cette condition.
Un calcul d'entropie littéraire (
viewtopic.php?f=22&t=41) permet de filtrer les mots courants et redondants. A ceux-la s’ajoutent les références directes et indirectes aux pseudos.
On réintègre cependant les champs lexicaux types du mal-à-propos.
Ce qui laisse donc 19 mots candidats :
pétulant
apache
psalmodier
Ahouuuuuuuuuuuuuuuuuuwhouuuuuuuuuuwaf
pipe
oracle
Atlantes
fientes
orgies
Cormick
cafard
splifs
blaireaute
Cocasse
zombiland
pythie
monastique
phosphorescentes
lubrifiait
Éliminons les néologismes et l'auto-référentiel médusique :
pétulant
apache
psalmodier
pipe
fientes
orgies
cafard
spliffs
blaireaute
Et mettons en concordance cette liste avec le profil de l'instigatrice,
@Lime, qui sort tout juste du défi
braquemart.
J’exclue donc le champ lexical de la Sex-ion et les termes vulgaires.
Cafard et
apache ressortent sans raison apparente, ils sont également exclus.
Il nous reste : pétulant, psalmodier, blaireaute.
En relisant leur intégration :
"Coincé sous la terre avec sa maîtresse la
blaireaute" : il ne s’agit du verbe blaireauter, mais d'un néologisme du terme blairelle. Exclu.
" l’humanité fut colonisée par un
pétulant virus nommé Corona"
"« Je parle, donc je suis, et tant pis pour ceux qui n’arrivent pas à me lire ! » pouvait on l’entendre
psalmodier gaiement. "
Pétulant Vs
Psalmodier
Je joue la carte du faux double sens à tendance humoristique, et propose donc
pétulant.
?! 
\o/
?!
!