La remise en question.
Publié : 27 janv. 2020, 00:36
Puisqu'il faut se remettre en question, il faut commencer par le début.
Du coup, que dois je remettre en question ?
Pour l'heure mes réponses sont satisfaisantes.
Alors je ne vois pas trop l'intérêt de me remettre en question si je vais bien, et que je suis en paix avec moi-même.
Pourtant on me demande de me remettre en question.
De plus pour se remettre en question, il faut aussi avoir de quoi se confronter. Car si on reste seul avec soi-même quand nous avons nos réponses à part un événement qui me pénaliserait, qui me causerait du mal, je vois pas trop l'intérêt de le faire.
Si vous considérez qu'un bannissement de forum me fait du mal au point de ne plus pouvoir vivre, vous me méprisez.
Ma présence est un cadeau, pas un du...
Si vous me dégagez, c'est pas moi qui y perds.
C'est vous.
N'y voyez pas de la prétention, mais de l'affirmation.
Je m'affirme, je m'assume, je m'aime.
Je n'ai aucun problème avec moi-même.
Je suis en paix avec moi-même.
Je me connais plutôt bien même, ça fait bientôt 44 ans que je vis avec moi... J' arrive encore à me supporter.
J'ai la famille que je me suis construit avec moi.
Une femme aimante avec qui je suis marié depuis bientôt 17 ans.
De beaux enfants qui cherchent leurs chemins mais qui sont loins d'être malheureux.
Je vais bientôt être grand père, je considère avoir bien fait mon job de parents en permettant à mes enfants d'aimer la vie malgré les difficulté.
De croire en la vie, plus qu'en la mort.
Alors qu'est ce que je dois remettre en question ? Et pourquoi surtout ? Je suis un homme chanceux et heureux.
Que devrais je changer, ma vie me plaît.
Ça veut pas dire qu'il n'y a pas des moments plus dur que d'autre. Mais c'est la vie.
Ça veut pas dire que j'aime tout ce que je vois, ce que je ressens, ce que je touche, sens, ressent, entends, goûte...mais j'aime bien la vie quand même.
Y'a des choses incroyables dans la vie, elle est fabuleuses de diversité, de génie mécanique, de richesse.
Je peux aimer, pleurer, souffrir, sentir, détester, avoir peur, je peux sentir une fleur, toucher un arbre, voir un oiseau voler, gravir des montagnes...
Pourquoi changer quand pour soi tout va plutôt bien?
Alors que dois je remettre en question ?
Les autres ? Mais j'aime les autres. Je ne me bats que pour eux, jamais pour moi.
Je fais pour l'autre des choses que je ne ferai pas pour moi-même.
Ce qui est tout aussi faux que vrai puisque si je le fais c'est pour être en accord avec moi-même...
C'est vrai, l'autre peut souffrir.
À cause de moi ?
Je ne serai jamais là cause d'une souffrance pas plus que vous ne pouvez être cause de mes propres souffrances sauf quand celle ci sont empathiques. C'est à dire quand je souffre face à la détresse de l'autre.
Face au mal que l'être ressent.
J'ai pas la prêtention d'être parfait, d'être absolu.
Je suis limité par essence. Je peux certaine chose et y'a des choses que je ne peux pas faire.
J'ai des points fort et des points faible.
Je l'accepte.
Je donne le meilleur de moi même et si ça suffit pas tant pis. Il y a des choses faces auxquels on ne peux rien. Et je l'accepte sans soucis.
Tout ne m'appartiens pas.
Ma vie se résume à mes besoins, ma famille, ma conscience.
L'autre fait partie de ma conscience, dans mon intention. Je ne lui souhaite aucun mal, même si j'ai bien conscience que celui que je suis peut lui faire du mal. Sauf que je ne connais pas tout le monde personnellement, que je peux pas savoir ce qu'il a en tête si lui ne le dit pas ou ne l'exprime pas, et même en sachant ce qu'il a en tête, je n'ai toujours pas le pouvoir 'd'être infaillible dans mes mots.
Car si mes mots blessent, ce n'est pas mes mots qui sont l'origine de la souffrance mais la résonance qu'ils ont en vous, ce qu'ils vous évoquent ou rappel.
Mais je crois en la sincérité, je crois en l'honnêteté, et la compassion n'est pas forcément de consentir.
Tu peux entendre une douleur, une souffrance sans pour autant plaindre.
Tu peux émettre d'autre vision sans pour autant condamner ou juger.
L'intérêt est de comprendre... Il nous faut comprendre pour pouvoir avancer, se libérer, dépasser...
Et pour comprendre, nous ne pouvons pas nous mentir. Et surtout pas à soi même.
Alors que dois je remettre en question ?
Je détiens mes réponses à mes questions existentielles, leurs applications fonctionnent puisqu'elle me permettent de me sentir bien dans ma peau.
Alors que dois je remettre en question ?
Quand devons nous nous remettre en question ?
Comment on fait ?
Pourquoi ?
Du coup, que dois je remettre en question ?
Pour l'heure mes réponses sont satisfaisantes.
Alors je ne vois pas trop l'intérêt de me remettre en question si je vais bien, et que je suis en paix avec moi-même.
Pourtant on me demande de me remettre en question.
De plus pour se remettre en question, il faut aussi avoir de quoi se confronter. Car si on reste seul avec soi-même quand nous avons nos réponses à part un événement qui me pénaliserait, qui me causerait du mal, je vois pas trop l'intérêt de le faire.
Si vous considérez qu'un bannissement de forum me fait du mal au point de ne plus pouvoir vivre, vous me méprisez.
Ma présence est un cadeau, pas un du...
Si vous me dégagez, c'est pas moi qui y perds.
C'est vous.
N'y voyez pas de la prétention, mais de l'affirmation.
Je m'affirme, je m'assume, je m'aime.
Je n'ai aucun problème avec moi-même.
Je suis en paix avec moi-même.
Je me connais plutôt bien même, ça fait bientôt 44 ans que je vis avec moi... J' arrive encore à me supporter.
J'ai la famille que je me suis construit avec moi.
Une femme aimante avec qui je suis marié depuis bientôt 17 ans.
De beaux enfants qui cherchent leurs chemins mais qui sont loins d'être malheureux.
Je vais bientôt être grand père, je considère avoir bien fait mon job de parents en permettant à mes enfants d'aimer la vie malgré les difficulté.
De croire en la vie, plus qu'en la mort.
Alors qu'est ce que je dois remettre en question ? Et pourquoi surtout ? Je suis un homme chanceux et heureux.
Que devrais je changer, ma vie me plaît.
Ça veut pas dire qu'il n'y a pas des moments plus dur que d'autre. Mais c'est la vie.
Ça veut pas dire que j'aime tout ce que je vois, ce que je ressens, ce que je touche, sens, ressent, entends, goûte...mais j'aime bien la vie quand même.
Y'a des choses incroyables dans la vie, elle est fabuleuses de diversité, de génie mécanique, de richesse.
Je peux aimer, pleurer, souffrir, sentir, détester, avoir peur, je peux sentir une fleur, toucher un arbre, voir un oiseau voler, gravir des montagnes...
Pourquoi changer quand pour soi tout va plutôt bien?
Alors que dois je remettre en question ?
Les autres ? Mais j'aime les autres. Je ne me bats que pour eux, jamais pour moi.
Je fais pour l'autre des choses que je ne ferai pas pour moi-même.
Ce qui est tout aussi faux que vrai puisque si je le fais c'est pour être en accord avec moi-même...
C'est vrai, l'autre peut souffrir.
À cause de moi ?
Je ne serai jamais là cause d'une souffrance pas plus que vous ne pouvez être cause de mes propres souffrances sauf quand celle ci sont empathiques. C'est à dire quand je souffre face à la détresse de l'autre.
Face au mal que l'être ressent.
J'ai pas la prêtention d'être parfait, d'être absolu.
Je suis limité par essence. Je peux certaine chose et y'a des choses que je ne peux pas faire.
J'ai des points fort et des points faible.
Je l'accepte.
Je donne le meilleur de moi même et si ça suffit pas tant pis. Il y a des choses faces auxquels on ne peux rien. Et je l'accepte sans soucis.
Tout ne m'appartiens pas.
Ma vie se résume à mes besoins, ma famille, ma conscience.
L'autre fait partie de ma conscience, dans mon intention. Je ne lui souhaite aucun mal, même si j'ai bien conscience que celui que je suis peut lui faire du mal. Sauf que je ne connais pas tout le monde personnellement, que je peux pas savoir ce qu'il a en tête si lui ne le dit pas ou ne l'exprime pas, et même en sachant ce qu'il a en tête, je n'ai toujours pas le pouvoir 'd'être infaillible dans mes mots.
Car si mes mots blessent, ce n'est pas mes mots qui sont l'origine de la souffrance mais la résonance qu'ils ont en vous, ce qu'ils vous évoquent ou rappel.
Mais je crois en la sincérité, je crois en l'honnêteté, et la compassion n'est pas forcément de consentir.
Tu peux entendre une douleur, une souffrance sans pour autant plaindre.
Tu peux émettre d'autre vision sans pour autant condamner ou juger.
L'intérêt est de comprendre... Il nous faut comprendre pour pouvoir avancer, se libérer, dépasser...
Et pour comprendre, nous ne pouvons pas nous mentir. Et surtout pas à soi même.
Alors que dois je remettre en question ?
Je détiens mes réponses à mes questions existentielles, leurs applications fonctionnent puisqu'elle me permettent de me sentir bien dans ma peau.
Alors que dois je remettre en question ?
Quand devons nous nous remettre en question ?
Comment on fait ?
Pourquoi ?