Personnellement, pendant l'écoute, en imaginant cette Germaine, libre, vulgaire (dans les 2 sens du terme), forte et fragile, sexuelle et intouchable, j'ai de suite pensé à la demi-déesse de Maëster... (ta ta tan)
J'ai nommé:
Petit aperçu de cette série de BD
Si vous vous lancez, sachez que le tome 1 est loin du niveau des autres, le dessin et l'humour se cherchent. A partir du tome 2, ça part crescendo.wikipedia a écrit :Sœur Marie-Thérèse des Batignolles est une bonne sœur atypique au caractère bien trempé (dans l'alcool). Elle ne supporte ni les jeunes ni les vieux, ni surtout l'autorité ou la bêtise. Elle succombe régulièrement aux paradis artificiels de l'alcool et de la drogue. Religieuse probablement par erreur, elle goûte volontiers à l'amour charnel, même si son physique ingrat fait régulièrement échouer ses tentatives de drague. Marie-Thérèse connaît Jésus, il s'agit chez Maëster d'un Portugais (avec fort accent) petit, bedonnant, assez poilu et assez loin de l'image liturgique traditionnelle… qui détient pourtant les mêmes pouvoirs que son homonyme de l'an un. Ses aventures sont également pimentées par la mère supérieure, caricature de militaire, qui a fait ses classes dans la Hitlerjugend (cf: la photo de son premier camp scout), qui n'a de cesse de vouloir se débarrasser d'une telle ouaille.
Le dessin de Maëster (où chaque case mérite une seconde lecture plus minutieuse), le comique de mots des répliques doublé d'un comique de situation, ainsi que les références à la culture de l’Église sont à l'origine de la réussite de cette BD