Apocalypse - paroles

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om_the_best_39
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C'est toi :


J'avais pas prévu ça sur mon chemin
C'est vrai que j'avais dit, au non moi jamais,
Personne me mettra la corde au cou,
La bague au doigt, les chaînes aux poignets.
Pour personne, j'ai jamais vendu mon cœur,
Ma seule gonzesse, c'est la liberté.
Moi, le grand voyageur, le roi des voleurs,
J'ai pris perpète dans tes yeux, tu sais, c'est vrai.

C'est toi, oui, c'est toi
Mon horizon, ma maison,
Toi, ma seule destination.
C'est toi, oui, c'est toi,
D'exister, ma seule raison, de vivre, porter ton prénom.

Quel que soit ce qui viendra sur nos chemins,
Les pluies dans nos yeux, les ouragans,
Même si taillade le cœur,
Les couteaux du destin,
Si la destinée pleure
Les poisons dans nos sons,
Ce qui nous tue pas nous rendra plus forts.

J'sais pas qui a inventé cette connerie,
Un cœur brisé, crois-moi,
Vaut mieux dix balles dans l'corps.
L'orage, un jour ou l'autre,
Frappe toutes les éclaircies.

Il paraît qu'on a vu parfois le vent, tomber amoureux d'une p'tite marguerite,
S'arrêter d'aller voir, tous les continents.
Ça sert à quoi, les ? trouver l'Amérique ?

Moi, j'étais roi des libres,
Roi des mercenaires,
Roi des pirates sans nation,
Le cœur sans frontières.
Même si j'étais né
Des berceaux qui naviguent toutes les mers,
Navire foutant l'ouragan,
Soudain, j'ai vu la terre.

J'étais qu'un crépuscule
Qui trouve pas son aura,
J'étais le taureau
Qui bute le toréador.
Moi, j'étais né requin blanc
Avec le cœur de Bambi,
La destinée du néant
S'est trouvée l'infini.

Comme une bouteille à la mer
Vers l'autre bout de la Terre,
On n'est qu'un dans l'univers,
Tous vers la même poussière.
A l'endroit ou à l'envers,
Dans ma tête, y'a que ta lumière,
Même si nous deux, c'est la guerre,
Moi, j'lâcherai pas l'affaire.

Comme une bouteille à la mer
Vers l'autre bout de la terre,
On est qu'un dans l'univers,
Tous dans la même poussière,
À l'endroit ou à l'envers.
Dans ma tête, y'a que ta lumière.

Moi, la seule raison sur terre
De pas m'foutre en l'air,
C'est toi, oui, c'est toi.
Ouais nous deux, c'est pour la vie,
Dans l'orage ou l'éclaircie,
C'est toi, oui, c'est toi.

Y'a pas d'âge pour se dire oui,
Mon horizon, mon pays,
C'est toi, oui, c'est toi.
Comme une une auré dans la nuit,
Ou l'enfer, ou le paradis,
C'est toi, oui, c'est toi.

Tu sais, l'amour, ça s'écris
Un plus un, c'est l'infini.

Elle sert à quoi la Marie Jeanne
Si t'as pas l'allumette
Ça sert à rien d'être Superman
Si t'attrapes pas les comètes.
T'as pas d'bol,
Si toi t'es tombé,
Hirondelles dans l'épuisette.

Quand je t'ai chopé dans mes filets,
Petit moineau dans la tempête.
Ça sert à rien la religion
Si t'as pas la foi.
Leur cercueil plein de pognon,
Dis-moi, ça sert à quoi ?

Elle sert à quoi ma bécane,
Si l'horizon c'est pas toi ?
Ça sert à quoi d'être Morgane
Si c'est pas de toi ?

Même si d'elle-même
La vie ne fait que s'évader,
Moi, je veux m'évader,
Qu'avec toi, pour l'éternité.

La Voie lactée dont le ciel t'a vu,
C'est comme des pointillés.
Tu sais, même l'infini
Se fait avec, deux moitiés.

C'est toi, oui, c'est toi
Pour le pire ou le meilleur,
La seule maison de mon cœur,
C'est toi, oui, c'est toi.
Pour le pire ou le meilleur,
T'es l'horizon de mon cœur.

C'est toi, oui, c'est toi,
Pour le pire ou le meilleur.
Oui, la maison de mon cœur,
C'est toi, oui, c'est toi.
Pour le pire ou le meilleur,
Oui, l'horizon de mon cœur.
Dernière modification par om_the_best_39 le 09 mars 2025, 13:58, modifié 2 fois.
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om_the_best_39
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NANA :


Elle a le sourire d'un enfant et le regard d'une hirondelle,
Qui serait tombée dans un tonneau deux jours sur trois.

Faut que je la ramasse, gueule dans les chiottes,
Elle me dit : "Fous-moi la paix, je t'emmerde, laisse-moi vomir ce monde qui n'est pas fait pour moi."

Elle allume jamais son portable,
Que quand elle découche, ma comète,
Pour aller bringuer dans des cieux, où je suis pas.

Moi, ça me rend dingue, je veux juste savoir si tout va bien.
Elle me dit : "Va chier, j’suis pas ta gosse, j'ai pas besoin de père, je déteste ça."

Elle a la droite qui part plus vite qu'un renard sous amphétamine.
Elle a le marginal dans la peau, même plus que moi.

Elle s'en branle de tous les conforts,
Puis surtout de tous les conformismes.

C'est pas peu dire, à côté d’elle, moi, j'suis bourgeois.

La révolution, elle, elle dit :
"C’est pour les moutons, laisse tomber. La vie, c'est pas la société, pas ce monde-là."

Quand elle parle, c'est de la poésie, des PMU, des révoltés,
C'est la plus belle du monde, tu sais, ma meuf à moi.

NANA

Elle est anti-mec, anti-meuf,
Anti toutes les communautés, ma meuf à moi.

NANA

Non, il faut pas qu'elle croise un keuf,
Elle peut pas blairer l'autorité, elle est comme moi.

NANA

Elle dit : "J'emmerde la société, elle dit, plutôt crever que de finir bourgeois."

NANA

C’est tatoué sur son poignet :
"Mourir ou bien collaborer, y'a qu'un seul choix.
Entre la peste, le choléra, la mort aux rats…"

Elle a pas eu la vie facile,
Née dans la rue, chez les bandits.

Che Guevara au fond du string, t’imagines pas.
C'est peu dire qu'elle est pas docile,
Mais ça l'empêche pas, toutes les nuits,
De ramener chez moi l’arche de Noé du bar-tabac.

Y'a des petits woks, des petits hip-hop,
Y'a toute une ribambelle de cons.

Ça la fait rire quand je les appelle, les pousses de la révolution.
Ceux qui ont plus de sponsors dans l’cul,
Qu’un maillot de foot, qu’une Formule 1.

Toute cette jeunesse qui vend son cul, pour du pognon.

Elle écoute que du Barbara,
Du Brassens sur son poste-radio, qui date de quand y'avait pas de téléphone, tu vois.

Elle dit : "Ça sert à rien tout ça,
Dans cette époque, y’a que des blaireaux.
La planète Terre a viré Babylone, tu vois.
Les chats confondent lit et litière."

J’peux même pas y aller au coup d’latte,
Tous égaux sur la planète Terre, ouais laisse tomber.

Un jour ou l’autre, c’est sûr, y’en a un qui va finir par la fenêtre,
Pour voir un peu vers la gouttière, si j’y étais.

J’ai même pas le droit de mettre une branlée à mon clébard,
Sinon je me prends une droite directe, faut pas toucher aux animaux.

Même quand ils m’aboient dans la gueule
Ou qu'il grogne quand je rentre dans le lit,
Laisse tomber, tout ça va se finir au chalumeau.

Ma NANA, elle dit :
"Tous égaux sur la Terre,
C’est l’arrivée qui compte,
Pas d’où l’on vient, tocard."

NANA

Berceau d’argent,
Berceau de pierre,
Dans cette putain d’boîte crânienne, on est tous dollars.

NANA

Leur roi, dollar, ouais nique sa mère,
Jamais vu de coffre-fort, qui suive des corbillards.

NANA

Gamine des rues, fille des gouttières,
Berceau dans le caniveau, étoile dans un trou noir.

Toi, t’as la Voie lactée qui brille dans ton regard.
Toi, t’as la Voie lactée qui brille dans ton regard.

Milieu de la nuit, faut qu'on cause.
Elle me dit qu'elle veut faire un enfant,
Puis elle s’met à pisser des yeux, à perdre les eaux.

Je la prends dans mes bras, comme un chêne,
Comme sa branche, au petit rossignol,
Faut les protéger des orages, les petits moineaux.

Quand elle sait qu’elle a abusé,
Que ma gueule d’ours change de planète,
Elle me fait les yeux d’un Aristochat, d’une chouette.

Puis, pour se faire pardonner, elle se radine dans le plumard, koala,
Pour ronronner, avant de ronfler, comme une belette.

NANA

Un jour Barbie, un jour Chucky
Tu verrais ta coupe au réveil,
T’y croirais pas.

NANA

Toi, t’es bien la seule du pays,
Quand t’as trois coups dans l’nez,
Qui peut me traiter de bourgeois.

NANA

Un tiers Poutine, un tiers Candy, puis un tiers Trump,
Quand elle a trop piché, tu vois.

NANA

Heureusement qu’elle a pas de zizi,
Elle vire Bruce Lee quand elle taquine trop la vodka.

NANA

On la fera, notre démocratie,
Qu'avec des poules, des chèvres naines, des koalas.

NANA

On se le construira, notre pays,
À coups de pelle d'amour dans le gosier, oui, toi et moi.

NANA

Elle a tatoué anarchie,
Dans chaque nervure de son cerveau,
Cœur hors-la-loi.

NANA

Ouais, c’est sûr que toi, t’es ma vie,
Gamine des rues, qu’un jour j’avais prise sous mon bras.

NANA

24/24,
Tu sens la piche,
T’as du vin rouge à la place du sang, c'est pour ça.

NANA

T’es qu’un diable au regard de biche.
Tu joues les durs,
Mais toi, t’as un cœur gros comme ça.

NANA

24/24,
Tu sens la piche,
T’as du vin rouge à la place du sang, c'est pour ça.

Qu'au bistrot, on l’appelle Pichette, ma meuf à moi.
Qu'au bistrot, on t’appelle Pichette, ma meuf à moi.

Ma meuf, c’est plus qu’une meuf,
Ouais, c’est ma meuf à moi.
Dernière modification par om_the_best_39 le 09 mars 2025, 13:25, modifié 3 fois.
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om_the_best_39
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Lindsay :


Maman, tu sais, j’suis mal dans ce monde,
Tous les jours, mes yeux qui s’inondent.
Maman, pourquoi, maman ?
J’suis là à pleurer tous les jours ?
Non, moi, ma vie, c’est pas de l’amour.

Maman, je pleure tout l’temps,
J’entends leur rire quand ils me crachent
Au visage, ces milliers de lâches.
Dans la cour du collège,
Et puis, le soir, sur les réseaux,
Sont tous là pour me faire la peau.
Elle est où, la justice ?

Je regarde les étoiles
Et je me dis qu'là-haut,
Je serais peut-être bien loin de tout ça.
Moi, je voudrais juste être un oiseau,
M’en aller loin de ce monde-là.

Dans les collèges, dans les lycées,
Puisque ce monde est TikToké,
Malheureux, les enfants.
Du revenge porn, du harcelé,
Le monde est devenu fou, tu sais,
Faut sauver les enfants.

De ce monde, oui, qu’influenceur
De haine, de violence et de peur.
Je vous en prie, aidez-moi,
Pour lutter, moi, j’ai pas les armes,
Que faire couler des mers de larmes.
Sanglots résistants,
Contre ces envies de partir,
Juste pour arrêter de souffrir.
Je veux pas mourir, maman.

Je regarde les étoiles
Et je me dis qu'là-haut,
Je serais peut-être mieux, loin de tout ça.
Moi, je voudrais juste être un oiseau,
M’en aller loin de ce monde-là.

Je m’appelais Lindsay,
Et c’est ton monde qui m’a assassinée.
Je m’appelais Lindsay,
C’est pas ma faute, maman, faut pas pleurer.
Je m’appelais Lindsay,
C’est les réseaux, moi, qui m’ont suicidée.
Je m’appelais Lindsay,
J'suis qu'une gamine qu'on n’a pas protégée.
Elle s’appelait Lindsay.
Dans les étoiles, tu peux la voir briller.
Elle s’appelait Lindsay,
À tout jamais, martyr d’humanité.

Regarde dans le ciel,
Dans chaque rayon de soleil.
Dans l’orage, l’éclaircie,
C'est Lindsay qui sourit,
Comme un ange dans le ciel,
Au pays des merveilles.
Comme un hymne à la vie,
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
C'est Lindsay qui nous dit : "Je t’aime."
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime…
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audrey83
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om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 C'est toi :

Tu sais, l'amour, ça s'écris
Un plus un, c'est l'infini.

Elle sert à quoi la ? MARIE-JEANNE
Si t'as pas la lunette SI T'A PAS L'ALLUMETTE
Spoiler
(eh ouais la cigarette électronique ça fait cet effet :))
Ça sert à rien d'être Superman
Si t'attrapes pas les comètes.
T'as pas d'bol,
Si toi t'es tombé,
Hirondelles dans les buisettes. DANS L'EPUISETTE

Quand je t'ai chopé dans mes filets,
PETIT MOINEAU? dans la tempête.
Ça sert à rien la religion
Si t'as pas la foi.
Leur cercueil plein de pognon,
Dis-moi, ça sert à quoi ?

Elle sert à quoi ma bécane,
Si l'horizon c'est pas toi ?
Ça sert à quoi d'être Morgane
Si c'est pas de toi ?

Même si d'elle-même
La vie ne fait que s'évader,
Moi, je veux m'évader,
Qu'avec toi, pour l'éternité.

La Voie lactée dont le ciel t'a vu,
C'est comme des pointillés.
Tu sais, même l'infini
Se fait avec, deux moitiés.

C'est toi, oui, c'est toi
Pour le pire ou le meilleur,
La seule maison de mon cœur,
C'est toi, oui, c'est toi.
Pour le pire ou le meilleur,
T'es l'horizon de mon cœur.

C'est toi, oui, c'est toi,
Pour le pire ou le meilleur.
Oui, la maison de mon cœur,
C'est toi, oui, c'est toi.
Pour le pire ou le meilleur,
Oui, l'horizon de mon cœur.
j'ai apporté mes rectifications en majuscule à cette putain de bécane :), elle fonctionne mieux là om_the_best 39 ? ça roule :)?
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om_the_best_39
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Merci beaucoup pour la correction, ça dois être ça les paroles oui, j'arrivais pas à bien entendre ;)
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Luna
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Apocalypse


Ton ciel en berne, toi tu t’arraches, tu traces ta route vers les orages
Tu dis : « J’en ai plus rien à foutre ; toutes ces conneries, j’ai passé l’âge »
Tu dis qu’la mort te fait pas peur, qu’elle est pas pire que la naissance
Que c’est pas l’après, la douleur, que c’est vivre qui est la souffrance

J’y peux rien, depuis mon berceau j’ai l’cœur d’un volcan dans une cage
T’y peux rien, ta destinée est partisane que du naufrage
Que toi, ta naissance ce sera quand tu t’barreras dans les voies lactées
Que toi t’as le cœur d’une planète qui est toujours prête à exploser

Apocalypse
Apocalypse

De squats en meufs, de meufs en teufs, de stupéfiants en alcoolisme
Tu dis que toi t’as ça dans l’sang, les rivières du mélancolisme
Comme une envie de tout casser pour le plaisir de tout détruire
Comme une bougie passera sa vie à y brûler sa propre cire

Tu dis qu’les drogues c’est pas très grave, que s’évader c’est la seule chose
Qui t’permet d’tenir ici-bas, que c’est ce monde, ouais, l’overdose
Ta seule famille c’est les oiseaux, y’a qu’eux qui battent la gravité
Que t’as le cœur d’un loup qui a quitté la meute d’puis qu’il est né

Apocalypse
Apocalypse

Où va ce monde, rien à branler, tu dis les pluies d’étoiles filantes
Tu les attends sur la colline, pétard à la bouche ; qu’insolente
Est la trajectoire de tout libre, et que toi t’es tombé dedans
Qu’les constellations libertaires, chez toi, sont les seuls commandements

Les croix qu’on porte, les croix qu’on fait, tous les coups qu’on prend dans la gueule
On est tout seul, on rêve tout seul, on pleure tout seul, on meurt tout seul
Quel est l’chemin pour l’paradis, que je prenne l’opposé pour l’enfer
Après la vie y’a que la nuit, moi j’suis addict qu’à ta lumière

Apocalypse
Apocalypse
Apocalypse
Apocalypse

Faire un gamin, puisqu’il paraît qu’c’est la plus belle chose sur la Terre
Comme si y’avait pas assez d’bouches qui crèvent la dalle dans l’univers
Après tout pourquoi pas, j’sais pas, faut voir si l’occasion s’présente
Si les métaphysiques du ciel trouvent un vagin pour mettre une tente

Dieu est une femme jambes écartées qui sort l’infini d’son bidou
Dire que c’est Dieu dans ce vagin, regarde-le qui sort du trou
Comme un alien béni du ciel, toutes les vies naissent dans la fange
Comme un cri qui fait l’éternel, comme un monstre au sourire d’un ange

Apocalypse
Apocalypse
Apocalypse
Apocalypse

Nos parents qui r’ssemblent à des gosses, plus tu vieillis plus tu régresses
Puis tous ces chiens là à trimer, dis-moi qu’est-ce que la vie nous laisse
Au fond des larmes dans le reflet du miroir de nos existences
Qu’est-ce que t’y vois, moi j’y vois rien que ce chemin de pénitence

On a tous le chaos dans l’âme, on a tous l’âme dans le chaos
La fin du monde c’est pas le monde, la fin du monde c’est dans la peau
J’ai passé ma vie dans les flammes, crois-moi ouais c’est ghetto
Les envies d’s’arracher le cœur, de mettre une balle dans son cerveau

Ces amis qui partent avant nous, puis tous ces gens qu’on a perdus
Les amours à devenir fou, les spasmes de nos yeux dans les crues
Les ouragans du cœur qui fuit, les cicatrices sur les poignets
Dis-moi l’chemin pour l’paradis, c’est sûr que j’prendrai l’opposé

Apocalypse
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Luna
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Fleur Iranienne


Marcel a écrit : 08 mars 2025, 15:59 Fleur Iranienne

Transcription automatique réaliser avec Vegas 22 sur la première partie, et ensuite lorsqu'il été débordé dans la deuxième j'ai essayer de compléter. Il y a bien sur beaucoup d’erreurs à corriger, ainsi que la ponctuation sûrement :
Spoiler

À l'aube je partirai. Mon amour ne pleure pas.
S'il nous faut nous quitter, on se retrouvera.

Un jour une autre terre, un autre ciel, tu sais,
qui saura nous ouvrir ses bras sans nous juger.

Ne t'en fais pas mon ange de la remonte inutile,
si nous deux nous sommes là, à marier naufragé.

Ils ne sont que violence, des vindictes de Dieu
et nous deux nous ne sommes que deux cœurs amoureux.

Si condamné à mort sont nos âmes d'enfants,
si par le mauvais sort, si sous le sceau du sang
sont longés les berceaux de notre amour qui bât,
quel que soit leur jugement et quelle que soit leur loi.

Et qu'ils veuillent nous pendre, ou nous mettre au cachot,
puisqu'un battement de cil de tes yeux, de tes mots,
vaut bien tous les supplices et toutes les blessures
que nos corps pourront faire. Oui, toutes ces pourritures.

Leur monde est mort déjà, et nous sommes l'avenir.
Ils n'y changeront rien. Les lois de cet empire
du mal qui veut tuer tous les cœurs qui s'y unissent
à d'autres cœurs que leurs ignorances bénissent.

Je serais lapidé demain par les bouchers,
pour avoir commis, oui, le crime d'avoir aimé,
d'avoir mêlé mon âme à la fleur liberté
au nectar de l'amour, d'avoir osé goûter.

Mais j'ai aimé alors, oui, je peux bien mourir,
restera pour toujours avec moi, ton sourire.

Mon amour, à bientôt dans un autre pays,
mon amour, tout là-haut, oui, dans une autre vie.

Mon pays, triste terre, sii je te dis adieu,
oui, c'est que sur nos terres sont les soldats de Dieu.

De Kaboul au Texas, la femme toujours suplice
la femme assassinée au bûcher sacrifice.

De leur puritanisme, à l'Est ou à l'Ouest,
toujours la même histoire, choléra ou la peste ?

Oh mon pays à Dieu, que mon cœur aille au ciel
et que Dieu leur pardonne, et que Dieu leur pardonne.

Ne pleure pas pour moi et sauve toi au loin,
aussi loin que tu peux, sauve toi dès demain.

Ne viens pas, s'il te plaît à mon exécution,
sois déjà au pays des fleurs de l'horizon,

ne pleure pas pour moi et sauve toi au loin,
aussi loin que tu peux.


Aussi loin que tu peux.


Aussi loin...




[Pas compris]...peut crever, il y a des [nuits?] tu sais,
l'humanité entière, finir crucifié

Tu peux mourir avant, à l'instant dedans toi,
de mieux que mourir, perdue dans les bras,

cet amour plus fort, tous les verbes aimer,
cet amour plus fort, toute l'humanité,

puisqu'on passe ça vie, à chercher ça moitié
comme ont respire, perdue quand ont la trouvé

La terre orpheline, retrouver son ciel
quand les Marais Salines, plus besoin de ça,

de c'est sanglots qui tuent, tous les amours du monde,
si c'est toi que j'emporte, a jamais dans la tombe

Quand l'horizon de fleurs, qui fera les enfers
et même si nous deux, nous serons sous la terre

N'ai pas peur mon amour, quand ils jettent des pierres
puisque battra toujours, devant moi ta lumière

devant toi qui me guide, plaisir infinie,
c'est meilleur des loi, s'aimer d'interdits

jamais notre amour, finira au ...?
des mensonges religieux, vendent le ciel,

C'est l'enfer qui attend, si tous les cœurs pur
et non ne t'en fais pas, notre amour et l'armure

face à tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfers, tous les mondes entier,

je tenterai les dieux, les démons du temps
pour mon instant devient l'éternellement,

je serai ton épaule, fais parler vers
poésie sous terre, je ferez les lumières,

je t'aimerai, oui même, battant Lucifer,
si l'enfer est promis, oui à tous les censeurs

qui me brûlent, moi je garde, mon amour pour toi,
si seul les cœurs de pierre ...? ici bas,

alors je brûlerais plus fort que milles feu
plus fort que cette enfer, s'aimer sous les cieux

cette enfer de vivre, pour leur monde insipide
ou la loi de tout cœurs et de finir lipide

puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom,
puisque je n'ai que toi pour unique horizon

pousse tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfers, tous les mondes antiques,

puisque même ce bâton, il y aura ton prénom
puisque je n'ai que toi pour unique horizon

face à tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfants, tous les mondes entier


[Je trouve que c'est plus long à corriger qu'à faire soi-même... ^^]



À l'aube je partirai, mon amour ne pleure pas
S'il nous faut nous quitter, on se retrouvera
Un jour une autre terre, un autre ciel, tu sais
Qui saura nous ouvrir ses bras sans nous juger

Ne t'en fais pas, mon ange, de leur monde inutile
Si nous deux nous sommes là, à marier nos fragiles
Ils ne sont que violence, des vindictes de Dieu
Et nous deux, nous ne sommes que deux cœurs amoureux

Si condamnées à mort sont nos âmes d'enfants
Si par le mauvais sort, si sous le sceau du sang
Sont langés les berceaux de notre amour qui bat
Quels que soient leurs jugements et quelles que soient leurs lois

Et qu'ils veuillent nous pendre ou nous mettre au cachot
Puisqu'un battement de cils de tes yeux, de tes mots
Vaut bien tous les supplices et toutes les blessures
Qu’à nos corps pourront faire, oui, toutes ces pourritures

Leur monde est mort déjà, et nous sommes l'avenir
Et n'y changeront rien les lois de cet empire
Du mal qui veut tuer tous les cœurs qui s'unissent
À d'autres cœurs que leurs ignorances bénissent

Je serai lapidé(e) demain par les bouchers
Pour avoir commis, oui, le crime d'avoir aimé
D'avoir mêlé mon âme à la fleur liberté
Au nectar de l'amour, d'avoir osé goûter

Mais j'ai aimé, alors... oui, je peux bien mourir
Restera pour toujours avec moi ton sourire
Mon amour, à bientôt dans un autre pays
Mon amour, tout là-haut, oui, dans une autre vie

Mon pays, triste terre, si je te dis adieu
Oui, c'est que sur nos terres sont les soldats de Dieu
De Kaboul au Texas, la femme toujours supplice
La femme assassinée au bûcher sacrifice

De leur puritanisme, à l'Est ou à l'Ouest
Toujours la même histoire, choléra ou la peste
Oh mon pays, adieu, que mon cœur aille au ciel
Et que Dieu leur pardonne, et que Dieu leur pardonne

Ne pleure pas pour moi et sauve-toi au loin
Aussi loin que tu peux, sauve-toi dès demain
Ne viens pas, s'il te plaît, à mon exécution
Sois déjà au pays des fleurs de l'horizon

Ne pleure pas pour moi et sauve-toi au loin
Aussi loin que tu peux
Aussi loin que tu peux
Aussi loin


Leur monde peut crever, puis avec lui, tu sais
L'Humanité entière finir crucifiée
Je peux mourir avant (amour ?), à l'instant dedans toi
Quoi de mieux que mourir, oui, perdu(e) (ou "éperdu(e)" ?) dans les bras

De cet amour plus fort que tous les verbes aimer
Que cet amour plus fort que toute l'Humanité
Puisqu'on passe sa vie à chercher sa moitié
À quoi bon rester là, dis, quand on l’a trouvée

Quand la terre orpheline a retrouvé son ciel
Quand les marais (marées ?) salines n’ont plus besoin de sel
De ces sanglots qui tuent tous les amours du monde
Si c'est toi que j'emporte à jamais dans la tombe

Quand l'horizon de feu sonnera les enfers
Et même si nous deux, nous serons sous la terre
N'aie pas peur, mon amour, quand ils jettent des pierres
Puisque battra toujours devant moi ta lumière

Dedans toi qui me guides au(x) plaisir(s) infini(s)
De s’aimer hors des lois, de s'aimer d'interdits
Non, jamais notre amour ne finira autel (?)
Des mensonges religieux qui vous vendent le ciel

C'est l'enfer qui attend ici tous les cœurs purs
Mais non, ne t'en fais pas, notre amour est l'armure (?)
Face à tous les jugements, du premier au dernier
Face à tous les enfers de tous les mondes entiers

Je dompterai les diables et les démons du temps
Comme un instant devient, oui, l'éternellement
Je serai ton épaule, même bouffé(e) par les vers
Ma poésie sous terre, j’en ferai des lumières

Je t'aimerai, oui même combattant Lucifer
Si l'enfer est promis, oui, à tous les sincères
Qu'ils me brûlent, moi je garde mes mots d’amour pour toi
Si seuls les cœurs de pierre ne brûlent pas ici-bas

Alors je brûlerai plus fort que mille feux
Plus fort que cet enfer de s'aimer sous les cieux
De cet enfer de vivre dans leur monde insipide
la loi de tout cœur est de finir cupide

Puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom
Puisque je n'ai que toi pour unique horizon
Face à tous les jugements, du premier au dernier
Face à tous les enfers de tous les mondes entiers

Puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom
Puisque je n'ai que toi pour unique horizon
Face à tous les jugements, du premier au dernier
Face à tous les enfers de tous les mondes entiers
Dernière modification par Luna le 13 mars 2025, 04:58, modifié 3 fois.
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om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19
C'est toi :


au non moi jamais,
Oh non.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 D'exister, ma seule raison, de vivre, porter ton prénom.
Porte.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Même si taillade le cœur
Tailladent.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Ça sert à quoi, les ? trouver l'Amérique ?
J'entends : Ça sert à quoi les Indes quand t'as trouvé l'Amérique.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Navire foutant l'ouragan
Navire fou dans l'ouragan.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Qui trouve pas son aura
Aurore.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 La destinée du néant
S'est trouvée l'infini.
C'est d'trouver l'infini.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Tous dans la même poussière
Vers.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 De pas m'foutre en l'air
Ouais, de pas m'foutre en l'air.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Comme une une auré dans la nuit
J'entends : "Harley" (la moto).
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Tu sais, l'amour, ça s'écris
S'écrit.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 Hirondelles dans l'épuisette
"Hirondelle", je pense.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:19 La Voie lactée dont le ciel t'a vu
Dans.
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om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20
NANA :


Que quand elle découche, ma comète
Ouais.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Quand elle parle, c'est de la poésie, des PMU, des révoltés
C'est la poésie des PMU, des révoltés.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Y'a des petits woks, des petits hip-hop
Wokes.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Ou qu'il grogne quand je rentre dans le lit
Ou qu'ils m'grognent.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Jamais vu de coffre-fort, qui suive des corbillards.
Coffres-forts qui suivent.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Milieu de la nuit, faut qu'on cause
Il faut qu'on cause.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Comme sa branche, au petit rossignol
Tend.
om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20 Un tiers Poutine, un tiers Candy, puis un tiers Trump
Gandhi.




---------------------------------------------



om_the_best_39 a écrit : 09 mars 2025, 13:20
Lindsay :

Elle s’appelait Lindsay,
À tout jamais, martyr d’humanité.
Martyre.


Pour ce qui est du reste, j'entends globalement la même chose que toi. =)
Marcel
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Luna a écrit : 10 mars 2025, 00:13 Fleur Iranienne


Marcel a écrit : 08 mars 2025, 15:59 Fleur Iranienne

Transcription automatique réaliser avec Vegas 22 sur la première partie, et ensuite lorsqu'il été débordé dans la deuxième j'ai essayer de compléter. Il y a bien sur beaucoup d’erreurs à corriger, ainsi que la ponctuation sûrement :
Spoiler

À l'aube je partirai. Mon amour ne pleure pas.
S'il nous faut nous quitter, on se retrouvera.

Un jour une autre terre, un autre ciel, tu sais,
qui saura nous ouvrir ses bras sans nous juger.

Ne t'en fais pas mon ange de la remonte inutile,
si nous deux nous sommes là, à marier naufragé.

Ils ne sont que violence, des vindictes de Dieu
et nous deux nous ne sommes que deux cœurs amoureux.

Si condamné à mort sont nos âmes d'enfants,
si par le mauvais sort, si sous le sceau du sang
sont longés les berceaux de notre amour qui bât,
quel que soit leur jugement et quelle que soit leur loi.

Et qu'ils veuillent nous pendre, ou nous mettre au cachot,
puisqu'un battement de cil de tes yeux, de tes mots,
vaut bien tous les supplices et toutes les blessures
que nos corps pourront faire. Oui, toutes ces pourritures.

Leur monde est mort déjà, et nous sommes l'avenir.
Ils n'y changeront rien. Les lois de cet empire
du mal qui veut tuer tous les cœurs qui s'y unissent
à d'autres cœurs que leurs ignorances bénissent.

Je serais lapidé demain par les bouchers,
pour avoir commis, oui, le crime d'avoir aimé,
d'avoir mêlé mon âme à la fleur liberté
au nectar de l'amour, d'avoir osé goûter.

Mais j'ai aimé alors, oui, je peux bien mourir,
restera pour toujours avec moi, ton sourire.

Mon amour, à bientôt dans un autre pays,
mon amour, tout là-haut, oui, dans une autre vie.

Mon pays, triste terre, sii je te dis adieu,
oui, c'est que sur nos terres sont les soldats de Dieu.

De Kaboul au Texas, la femme toujours suplice
la femme assassinée au bûcher sacrifice.

De leur puritanisme, à l'Est ou à l'Ouest,
toujours la même histoire, choléra ou la peste ?

Oh mon pays à Dieu, que mon cœur aille au ciel
et que Dieu leur pardonne, et que Dieu leur pardonne.

Ne pleure pas pour moi et sauve toi au loin,
aussi loin que tu peux, sauve toi dès demain.

Ne viens pas, s'il te plaît à mon exécution,
sois déjà au pays des fleurs de l'horizon,

ne pleure pas pour moi et sauve toi au loin,
aussi loin que tu peux.


Aussi loin que tu peux.


Aussi loin...




[Pas compris]...peut crever, il y a des [nuits?] tu sais,
l'humanité entière, finir crucifié

Tu peux mourir avant, à l'instant dedans toi,
de mieux que mourir, perdue dans les bras,

cet amour plus fort, tous les verbes aimer,
cet amour plus fort, toute l'humanité,

puisqu'on passe ça vie, à chercher ça moitié
comme ont respire, perdue quand ont la trouvé

La terre orpheline, retrouver son ciel
quand les Marais Salines, plus besoin de ça,

de c'est sanglots qui tuent, tous les amours du monde,
si c'est toi que j'emporte, a jamais dans la tombe

Quand l'horizon de fleurs, qui fera les enfers
et même si nous deux, nous serons sous la terre

N'ai pas peur mon amour, quand ils jettent des pierres
puisque battra toujours, devant moi ta lumière

devant toi qui me guide, plaisir infinie,
c'est meilleur des loi, s'aimer d'interdits

jamais notre amour, finira au ...?
des mensonges religieux, vendent le ciel,

C'est l'enfer qui attend, si tous les cœurs pur
et non ne t'en fais pas, notre amour et l'armure

face à tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfers, tous les mondes entier,

je tenterai les dieux, les démons du temps
pour mon instant devient l'éternellement,

je serai ton épaule, fais parler vers
poésie sous terre, je ferez les lumières,

je t'aimerai, oui même, battant Lucifer,
si l'enfer est promis, oui à tous les censeurs

qui me brûlent, moi je garde, mon amour pour toi,
si seul les cœurs de pierre ...? ici bas,

alors je brûlerais plus fort que milles feu
plus fort que cette enfer, s'aimer sous les cieux

cette enfer de vivre, pour leur monde insipide
ou la loi de tout cœurs et de finir lipide

puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom,
puisque je n'ai que toi pour unique horizon

pousse tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfers, tous les mondes antiques,

puisque même ce bâton, il y aura ton prénom
puisque je n'ai que toi pour unique horizon

face à tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfants, tous les mondes entier


[Je trouve que c'est plus long à corriger qu'à faire soi-même... ^^]



À l'aube je partirai, mon amour ne pleure pas
S'il nous faut nous quitter, on se retrouvera
Un jour une autre terre, un autre ciel, tu sais
Qui saura nous ouvrir ses bras sans nous juger

Ne t'en fais pas, mon ange, de leur monde inutile
Si nous deux nous sommes là, à marier nos fragiles
Ils ne sont que violence, des vindictes de Dieu
Et nous deux, nous ne sommes que deux cœurs amoureux

Si condamnées à mort sont nos âmes d'enfants
Si par le mauvais sort, si sous le sceau du sang
Sont langés les berceaux de notre amour qui bat
Quels que soient leurs jugements et quelles que soient leurs lois

Et qu'ils veuillent nous pendre ou nous mettre au cachot
Puisqu'un battement de cils de tes yeux, de tes mots
Vaut bien tous les supplices et toutes les blessures
Qu’à nos corps pourront faire, oui, toutes ces pourritures

Leur monde est mort déjà, et nous sommes l'avenir
Et n'y changeront rien les lois de cet empire
Du mal qui veut tuer tous les cœurs qui s'unissent
À d'autres cœurs que leurs ignorances bénissent

Je serai lapidé demain par les bouchers
Pour avoir commis, oui, le crime d'avoir aimé
D'avoir mêlé mon âme à la fleur liberté
Au nectar de l'amour, d'avoir osé goûter

Mais j'ai aimé, alors... oui, je peux bien mourir
Restera pour toujours avec moi ton sourire
Mon amour, à bientôt dans un autre pays
Mon amour, tout là-haut, oui, dans une autre vie

Mon pays, triste terre, si je te dis adieu
Oui, c'est que sur nos terres sont les soldats de Dieu
De Kaboul au Texas, la femme toujours supplice
La femme assassinée au bûcher sacrifice

De leur puritanisme, à l'Est ou à l'Ouest
Toujours la même histoire, choléra ou la peste
Oh mon pays, adieu, que mon cœur aille au ciel
Et que Dieu leur pardonne, et que Dieu leur pardonne

Ne pleure pas pour moi et sauve-toi au loin
Aussi loin que tu peux, sauve-toi dès demain
Ne viens pas, s'il te plaît, à mon exécution
Sois déjà au pays des fleurs de l'horizon

Ne pleure pas pour moi et sauve-toi au loin
Aussi loin que tu peux
Aussi loin que tu peux
Aussi loin


Leur monde peut crever, puis avec lui, tu sais
L'Humanité entière finir crucifiée
Je peux mourir avant, à l'instant dedans toi
Quoi de mieux que mourir, oui, perdu dans les bras

De cet amour plus fort que tous les verbes aimer
Que cet amour plus fort que toute l'Humanité
Puisqu'on passe sa vie à chercher sa moitié
À quoi bon rester là, dis, quand on l’a trouvée

Quand la terre orpheline a retrouvé son ciel
Quand les marais (marées ?) salines n’ont plus besoin de sel
De ces sanglots qui tuent tous les amours du monde
Si c'est toi que j'emporte à jamais dans la tombe

Quand l'horizon de feu sonnera les enfers
Et même si nous deux, nous serons sous la terre
N'aie pas peur, mon amour, quand ils jettent des pierres
Puisque battra toujours devant moi ta lumière

Dedans toi qui me guides au(x) plaisir(s) infini(s)
De s’aimer hors des lois, de s'aimer d'interdits
Non, jamais notre amour ne finira autel (?)
Des mensonges religieux qui vous vendent le ciel

C'est l'enfer qui attend ici tous les cœurs purs
Mais non, ne t'en fais pas, notre amour est l'armure (?)
Face à tous les jugements, du premier au dernier
Face à tous les enfers de tous les mondes entiers

Je dompterai les diables et les démons du temps
Comme un instant devient, oui, l'éternellement
Je serai ton épaule, même bouffé par les vers
Ma poésie sous terre, j’en ferai des lumières

Je t'aimerai, oui même combattant Lucifer
Si l'enfer est promis, oui, à tous les sincères
Qui me brûlent, moi je garde mes mots d’amour pour toi
Si seuls les cœurs de pierre ne brûlent pas ici-bas

Alors je brûlerai plus fort que mille feux
Plus fort que cet enfer de s'aimer sous les cieux
De cet enfer de vivre dans leur monde insipide
la loi de tout cœur est de finir cupide

Puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom
Puisque je n'ai que toi pour unique horizon
Face à tous les jugements, du premier au dernier
Face à tous les enfers de tous les mondes entiers

Puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom
Puisque je n'ai que toi pour unique horizon
Face à tous les jugements, du premier au dernier
Face à tous les enfers de tous les mondes entiers
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Le Requin


C’est comme un requin blanc amoureux d’une sardine
C’est comme un rail de coke amoureux d’une narine
C’est comme le clown Pierrot qui a largué Colombine
Pour s’mettre avec Nono de la salle de gym

C’est comme un avion d’ligne qui aurait pas d’horizon
Un capitaine de navire trop chargé au Picon
Comme un chasseur qui tombe amoureux d’un pinson
Comme un rappeur qui rêve d’savoir faire des chansons

Hé hé hey
Hé hé hey

C’est comme une grosse (godage, gaudage, goudage, good age ?) qui aimerait trop la quéquette
C’est comme un mal de mer amoureux d’une tempête
Comme un Marseillais qui aurait pas ses claquettes
Comme un manteau de fourrure amoureux d’une belette

C’est comme un gros crapaud sans la putain d’princesse
C’est comme un vertigo amoureux d’une hôtesse
Comme un putain d’prolo qui trouverait plus sa laisse
C’est comme quand ta CB doit passer à la caisse

Hé hé hey
Hé hé hey

C’est comme les nuits sans toi, comme une teuf sans ecsta
C’est comme une teuf sans meufs, comme une meuf sans teucha
Comme une pute sans trottoir, comme un bar sans comptoir
Où les nuits chez ta sœur, à plusieurs dans l’plumard

C’est comme un gros pétard qui aurait pas d’allumette
Comme si les cons à vélo, ouais, sauvaient la planète
C’est comme une gueule de bois qui trouve plus la cuvette
Comme le bar de Nono qui aurait plus d’anisette

Hé hé hey
Hé hé hey

C’est comme le chat Bébert amoureux d’une étoile
C’est comme un punk à chien devant un 5 étoiles
Une étoile d’Amérique qui aurait trop l’visage pâle
Comme une femme qui a la trique, une baise sans l’animal

C’est comme un colla-bobo qui r’trouverait son cerveau
Comme un putain de Boeing amoureux d’un métro
C’est comme un nine one one sans la sortie d’secours
C’est comme un Titanic qui voudrait faire demi-tour

Hé hé hey
Hé hé hey

Comme un TikTok sans putes, comme une pute sans Insta
Comme le Che sans Guevara, comme le peuple (pub ?) sans RSA
C’est comme un HLM qui aurait plus d’auto-tune
Ou Massilia sans la mer, comme la Terre sans la Lune

C’est comme un musulman amoureux d’un mouton
C’est comme un catholique qui aime pas les p’tits garçons
C’est comme la Maréchal baisée par un gaucho
C’est comme un Damien Saez qui passe à la radio

C’est comme un flic facho qui embrasserait un arabe
C’est comme un fils de flic, ouais, qui crierait « A.C.A.B ! »
Comme un crocodile en haut en haut d’un baobab
Comme une étoile Michelin paumée dans un kébab

C’est comme un politique qui s’prend pas son bourre-pif
C’est comme Bob Marley sans splif, comme un samedi sans manif(s)
Comme un jour qui s’lève, comme une banque sans la Suisse
Comme un idéal, comme un rêve, comme la France sans police

Hé hé hey

Antifa
Antifasciste
Antifa
Antifasciste
Antifa
Antifasciste
Antifa
Antifasciste

Comme un junkie sans la came, un tuning sans la tire
Comme une influenceuse soudain qui apprend à lire
Un banquier rock’n’roll, ta sœur qui a viré folle
Un pornstar en demi-molle, un fou sans camisole

Un concert sans whisky, comme une bière sans concert
Un prolo sans crédit(s), un chien sans lampadaire
Comme Lola sans sa balle, comme une femme sans cuisine
Comme un shoot sans aiguille, un dodo sans la pipe

Comme Elvis sans le King, comme une teuf sans alcool
Une moto sans béquille, ta sœur à la casserole
C’est comme notre président sans des tartes dans sa gueule
C’est comme rouler un splif, oui, quand t’as pas les feuilles

C’est comme voir son banquier sans emmener sa kalash
C’est ce monde d’enculés qui a tué les Apaches
Comme une putain d’baston, comme une baise sans vaseline
Après 5-6 Riflon quand j’envoie les pralines

Hé hé hé
Antifasciste
Moi j’envoie les pralines
Hé hé hé

Antifasciste
Moi j’envoie les pralines
Antifasciste
Moi j’envoie les pralines

Antifasciste
Antifasciste
Antifasciste
Antifasciste
Antifasciste
Antifasciste
Antifasciste
Dernière modification par Luna le 13 mars 2025, 03:53, modifié 6 fois.
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Barbie


Te laisse pas faire, ma belle : crochet du gauche, droite, uppercut
Si un branleur fait qu’ton rimmel coule un peu trop, qu’un sanglot chute
Faut que j’m’arrache, j’ai jamais su faire les adieux, les longs discours
J’ai toujours été bien meilleur pour prendre l’escalier de secours

On se retrouvera p’t-êt’ au hasard, un soir de teuf, un matin blême
Ou au hasard d’une gueule de bois, au hasard d’un mauvais « je t’aime »
Qui aura fini en eau de boudin avec un boudin ou une belle
Quel que soit l’arche du chemin, à la fin c’est toujours la même

Barbie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop d’étoiles qui meurent
La nuit, sans toi je deviens fou
Moi j’ai le cœur qui pleure

J’me retrouve dans des bars, tu sais pas ; laisse tomber, j’ose même pas t’le dire
Faudrait les chutes du Niagara pour laver c’que j’ai pu m’salir
Le nombre de meufs, oublie, c’est mort ; c’est par milliers que j’compte la viande
J’crois pas qu’ce soit une fierté, c’est juste le corps qui en redemande

Pour de faux j’aime faire des bébés ; pour de vrai, y’a qu’ça qui transcende
Ils ont beau raconter tout ce qu’ils veulent, pour qu’il y ait d’la vie faut qu’un mec bande
Sorry ma belle, c’que j’t’ai fait vivre, mon mal de vivre et mes tortures
Si moi y’a qu’le mal qui m’enivre, j’y peux rien, j’suis qu’une pourriture

Barbie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop d’étoiles qui meurent
La nuit, sans toi je deviens fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Moi j’ai le cœur qui pleure

Barbie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop de temps qui meurt
La nuit, c’est fait pour devenir fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Pour s’faire péter le cœur

J’aime pas les femmes, elles me font chier ; j’aime pas les hommes, tous des tocards
Avec leur bite et puis leur flingue, les meufs qui parlent comme des taulards
Tu sais, c’est pas qu’j’sois misogyne, et même si j’sais qu’la femme est Dieu
C’est pas ma faute, tu sais gamine, j’ai jamais été religieux

Pour moi, les hommes et les belettes, c’est les mêmes putain d’arrivistes
Ils baissent leur froc ou sucent une quéquette dès qu’il y a un dollar, un pénis
Les hommes sont tous menteurs et laids, les femmes sont viles et machiavelles
Les hommes sont dangereux et chiens ; les femmes, beh ouais, sont toutes des chiennes

Faut faire confiance à aucun d’eux, que d’la merde dans l’Humanité
Alors pourquoi j’vois dans tes yeux la laideur qui fait la beauté
La laideur qui fait la beauté
La laideur qui fait la beauté
La laideur qui fait la beauté
Hééééééééééééééééééééé

Barbie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop d’étoiles qui meurent
La nuit, sans toi je deviens fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Moi j’ai le cœur qui pleure

Barbiiiiiie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop de temps qui meurt
La viiiiie, c’est fait pour devenir fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Pour s’faire péter le cœur

Barbiiiiiie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop d’étoiles qui meurent
La nuiiiiiit, sans toi je deviens fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Moi j’ai le cœur qui pleure

Barbiiiiie, y’a trop d’ciels entre nous
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Y’a trop d’étoiles qui meurent
La nuiiiit, sans toi je deviens fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Sans toi je deviens fou

Sans toi je deviens fooouuuu
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Sans toi je deviens fou
Sans toi je deviens fou
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Ouais, ouais, ouais

Barbie
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Barbie
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Barbie
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Barbie
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
Barbie
(Ouh ouhouh ouh, ouh ouhouh ouh)
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Frères d’armes


Si nous pleurons dans des jardins de cendres
Nos sanglots sur le feu
Ces choses qu’on ne dit pas, de peur de les entendre
Soudain qui viennent couler des yeux

Comme un océan vient pour vous surprendre
Comme un ouragan dans les yeux
Comme on entend au loin, sans jamais les comprendre
Comme une étoile va vers les cieux

On s’en va tous d’une manière ou d’une autre
De l’autre côté des ténèbres
Comme un navire plongeant dans la pénombre
Si pour se trouver faut se perdre

Au loin des plaines, au loin de nos montagnes
De tous ces horizons en guerre
Et si, oui, si toujours le sombre gagne
Tu sais, jamais le cœur ne perd

C’est une chanson pour tous nos frères d’armes
Pour nos amis partis trop tôt
Trinquons, mes frères, à la santé des femmes
De nos défunts, de nos héros

Vont nos bougies posées sur l’océan
Chantent nos cœurs à la mémoire
De tous ces gens partis pour l’autre monde
Pour ces étoiles qui brillent le soir

À tous mes compagnons de triste route
Aux frères marins, courage au cœur
Au combat quel que soit ce que ça coûte
N’est rien de plus cher que notre honneur

Tu peux pleurer, tu peux pleurer, mon frère
Mon épaule sera toujours là
Pour te tenir, même contre la lumière
Pour te ramener de l’au-delà

À la mémoire de nos amis partis
Par un soir d’été ou d’orage
Aux disparus perdus dans l’infini
À nos navires dans le naufrage

Au chant des morts, au chant du large
Au chant, au chant de nos amours perdues
Que chantent encore par-delà l’océan
Les mémoires de nos disparus
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Apocalypse Baby


Chez moi y’a jamais d’réponse(s) aux questions
Faut toujours deux inconnues pour faire l’équation
De tant de magie noire sont faits nos horizons
On s’allume, on se brûle, on finit charbon

Dans les songes, les mensonges, dans tant d’autres danses
On cherche dans les autres à trouver ce qu’on pense
La solution de nos existences

La vie vous prend autant qu’elle vous retourne
Comme une poupée de Chine dans l’ouragan
On finit tous par se dire un jour
Qu’on passe sa vie à chercher le bon moment

On est plein de théories, toujours
Plein de discours, de bons sentiments
Ce qu’on donne, on n’le donne jamais vraiment

Y’a tous ces gens qu’on croise sur nos chemins
On n’est que des passagers de nos destins
Entre nos mains tout n’est que de passage
Soit tu restes, soit tu restes (rêves ?), soit tu dégages

Entre ce qui nous pousse et ce qui repousse
Entre les caresses et les secousses
Puisque c’est toujours la mort à nos trousses

Nous marchons tous les deux dans ce monde à l’agonie
À marcher dans les rues de nos apocalypses, baby
Même si t’es pas là, toi t’es toujours avec moi
J’essaie d’changer, mais putain j’arrive pas

Chaque seconde, oui, moi je pense à toi
Chaque jour que Dieu fait, chaque jour qu’il fera
Faut pas se dire « pourquoi », faut se dire « pourquoi pas »

Leur monde peut bien péter, c’est qu’une question de temps
On aura tout foiré, voilà (ou "vois la") planète en sang (cendres ?)
Moi, j’en ai rien à foutre d’leur putain d’fin du monde
Tant qu’j’ai à mes côtés les yeux de ma blonde

J’préfère les laisser à leur insignifiance
Après tout, « partir », dis, quelle importance
S’il faut mourir pour la renaissance

J’entends partout « paraît qu’il faut sauver la planète »
Moi j’en ai rien à foutre, j’ai qu’toi dans ma tête
Et leur monde peut crier, sonner les alarmes
Faut pas compter sur moi pour sécher ma larme

Leur terre est morte et leur (la ?) planète est folle
Le monde entier a viré Babylone
Regarde-les, leur(s) gueule(s) dans l’téléphone

Je deviens fou, j’parle seul dans la rue
Ça tourne plus rond depuis qu’je t’ai perdu(e)
Au gré des fantômes, des vampires, des chimères
Ce qui nous hante vient toujours par derrière

Nos passé(e)s cicatrices qui restent à cœur ouvert
Nous sommes toujours complices de nos propres misères
Moi j’aimerais tant, ouais, tout laisser derrière

Qu’importe où les vents nous porterons
Dans l’ouragan ou droit dans le typhon
Dans les ténèbres j’écrirai ton nom
À l’encre de sang sur nos horizons

Ce qui nous tue pas nous rendra plus forts
Nous survivrons si tu m’aimes encore
Si c’est toi, toi ma seule équation

Qu’importe où les vents nous porterons
Vers la réponse ou vers la question
S’il faut se perdre pour trouver l’horizon
Devenir fou pour trouver la raison

Ce qui nous tue pas nous rendra plus forts
Mon amour, dis-moi que tu m’aimes encore
Si c’est toi, toi la seule solution

Qu’importe où les vents nous porterons
Dans l’ouragan ou droit dans le typhon
Dans les ténèbres j’écrirai ton nom
À l’encre de sang sur nos horizons

Ce qui nous tue pas nous rendra plus forts
Mon amour, dis-moi que tu m’aimes encore
Si c’est toi, toi la seule solution

Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution
Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution
Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution
Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution
Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution
Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution
Si c’est toi, si c’est toi, toi la seule solution



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Concernant « Jessie » : https://lesmagnifiques.fr/viewtopic.php?p=32630#p32630 :


Parce qu’il avait tapé l’animalerie du coin
Pour remettre à la mer des poissons combattants
Dans le feu des bidons qui réchauffaient nos mains
Jessie, il savait lire dans les cendres du vent
(vin ?)

[…]

Qui sortaient des night-clubs nous ne rentrions pas

[...]

De voir ta poésie, Rusty James sur les toits
Dans (d'un ?) New York agonie, toi tu volais, je crois
Dernière modification par Luna le 13 mars 2025, 05:03, modifié 4 fois.
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Luna
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https://pad.futuretic.fr/p/apocalypse


Bon, j’ai passé ma soirée et ma nuit là-dessus… J’y ai ajouté les paroles (celles que j’ai comprises, du moins) de « Barbie », « Le Requin », « Frères d’armes » et « Apocalypse Baby ». Je pense que le compte est bon maintenant.

J’ai également relu les transcriptions effectuées par autrui et j’ai essayé de rectifier certaines choses, mais bien qu’il ne reste plus beaucoup de choses à faire, il reste tout de même quelques points d’interrogation. À vous de jouer désormais ! ^^
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