Il semblerait qu'il y ait deux petits titres quelque part sur la toile.
'J'vous laisse chercher (après tout on a le temps...)
Les murmures d'Ana Moreau
- __Marine__
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"Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Vous semble être une amie dont on se passerait"
- suffragettes AB
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merci Marine__Marine__ a écrit : ↑10 avr. 2020, 12:26 Il semblerait qu'il y ait deux petits titres quelque part sur la toile.
'J'vous laisse chercher (après tout on a le temps...)
J'ai enquêté .
<3 Florence et les lieux du crime
De la belle ouvrage ou du bel ouvrage, j'ignore quelle est la bonne formulation . Perso j'attends la suite de l'album avec impatience et nul doute que cela sera le cas pour tout le monde car ça le fait! Ceux qui ont bien aimé ANAtoline vont bien apprécier le chant d'ANA Moreau .
"je finirai au fond des bras,
oui des rivières de l'au-delà"
Pour ceux qui n'ont pas trouvé :
J'aime bien. Il y a clairement une grosse influence Saez , que cela soit dans la recherche et la diversité instrumental, la richesse des textes et les rhymes qui nous emènes en voyage.
Du Saez version féminine , sympa, à voir la suite
Merçi Marine pour l'info
J'aime bien. Il y a clairement une grosse influence Saez , que cela soit dans la recherche et la diversité instrumental, la richesse des textes et les rhymes qui nous emènes en voyage.
Du Saez version féminine , sympa, à voir la suite
Merçi Marine pour l'info
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
- __Marine__
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Merci aussi à gavroche aussi d'avoir trouvé les pépites
Que des jolis murmures de la part d'Ana en tout cas !
Que des jolis murmures de la part d'Ana en tout cas !
"Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Vous semble être une amie dont on se passerait"
C'est très sympa. L'air du premier est calqué sur Les anarchitectures ou une autre, j'sais plus.
Et la deuxième est bien langoureuse, ça colle bien à la chanson.
Et la deuxième est bien langoureuse, ça colle bien à la chanson.
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
- __Marine__
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Florence ? ça a un côté VLP/Messina, quelle chanson précisément j'sais pas trop. Mais faut s'enlever de la tête les origines j'crois ^^
"Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Oui tu as raison, je n'arrivais pas à trouver laquelle, ça m'a titillé un bon moment !__Marine__ a écrit : ↑10 avr. 2020, 20:02 Florence ? ça a un côté VLP/Messina, quelle chanson précisément j'sais pas trop.
En tout cas, merci pour le partage
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
- CellarDoor
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Les meurtrières / les fils d'Artaud.__Marine__ a écrit : ↑10 avr. 2020, 20:02Florence ? ça a un côté VLP/Messina, quelle chanson précisément j'sais pas trop. Mais faut s'enlever de la tête les origines j'crois ^^
Tellement de références qu'on s'enlise à déchiffrer qui s'est inspiré de l'autre.
J'y vois une porte de sortie pour la double voix...
Superbe
Merci pour l'info et pour les liens aussi !
Le texte de Florence (à fignoler) :
Tu peux me dire des mots d’amours tu peux m’emmener à Florence
Tu peux me prendre par la main tu peux jouer les arrogances
Tu peux me faire pleurer d’amour dans les soupirs ou le silence
Tu peux me faire battre en tambour le cœur comme une appartenance
Tu peux me jouer Roméo tu peux jouer l’extravagance
Tu peux me faire les yeux Bardot les « je crois » comme une insolence
Tu peux faire chagriner mes fleurs tu peux jouer l’indifférence
Tu peux me laisser cœur en pleurs me prisonnier de ton absence
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes ne me fais pas couler la pluie
Si l’amour c’est toujours la même qu’il s’efface autant qu’il s’écrit
Tu peux me faire des Traviata des Butterfly sur Barbara
Tu peux me faire des opéras en dessous du balcon tu vois
Tu peux me faire Reine Margot tu peux me peindre des châteaux
Sous le pinceau ou le couteau tu peux me sculpter la Milo
Tu peux me chanter du Verdi tu peux perler tes yeux de pluies
Tu peux me faire des tragédies de nos racines des comédies
De l’art ouais jusqu’au pont des Arts tu peux me raconter l’histoire
De ceux-là qui par leur regard savent faire faire de la fin le départ
Tu peux m’emmener en Toscane tu peux me refaire Caravage
Tu peux m’emmener comme une gitane dans un flamenco à Carthage
Tu peux bien me chanter la messe sur des gondoles qui nous confessent
Que la fin de notre histoire restera dans nos mémoires
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes, ne me fais pas couler la pluie
Si l’amour c’est toujours la même qu’il s’efface autant qu’il s’écrit
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes
Non ne me dis pas que tu m’aimes
Non ne me dis pas que tu m’aimes
Merci pour l'info et pour les liens aussi !
Le texte de Florence (à fignoler) :
Tu peux me dire des mots d’amours tu peux m’emmener à Florence
Tu peux me prendre par la main tu peux jouer les arrogances
Tu peux me faire pleurer d’amour dans les soupirs ou le silence
Tu peux me faire battre en tambour le cœur comme une appartenance
Tu peux me jouer Roméo tu peux jouer l’extravagance
Tu peux me faire les yeux Bardot les « je crois » comme une insolence
Tu peux faire chagriner mes fleurs tu peux jouer l’indifférence
Tu peux me laisser cœur en pleurs me prisonnier de ton absence
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes ne me fais pas couler la pluie
Si l’amour c’est toujours la même qu’il s’efface autant qu’il s’écrit
Tu peux me faire des Traviata des Butterfly sur Barbara
Tu peux me faire des opéras en dessous du balcon tu vois
Tu peux me faire Reine Margot tu peux me peindre des châteaux
Sous le pinceau ou le couteau tu peux me sculpter la Milo
Tu peux me chanter du Verdi tu peux perler tes yeux de pluies
Tu peux me faire des tragédies de nos racines des comédies
De l’art ouais jusqu’au pont des Arts tu peux me raconter l’histoire
De ceux-là qui par leur regard savent faire faire de la fin le départ
Tu peux m’emmener en Toscane tu peux me refaire Caravage
Tu peux m’emmener comme une gitane dans un flamenco à Carthage
Tu peux bien me chanter la messe sur des gondoles qui nous confessent
Que la fin de notre histoire restera dans nos mémoires
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes, ne me fais pas couler la pluie
Si l’amour c’est toujours la même qu’il s’efface autant qu’il s’écrit
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes
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Dernière modification par Alain57 le 10 avr. 2020, 22:55, modifié 1 fois.
- __Marine__
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Sur (Sous ?) le pinceau ou le couteau tu peux me sculpter la Milo (vénus de Milo)
Tu peux m'emmener en Toscane tu peux me refaire Caravage (source éventuelle : http://www.culture.fr/Ressources/Moteur ... /(theme)/1)
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Vous semble être une amie dont on se passerait"
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Alain57 a écrit : ↑10 avr. 2020, 22:17
Le texte de Florence :
Tu peux me dire des mots d’amours tu peux m’emmener à Florence
Tu peux me prendre par la main tu peux jouer les arrogances
Tu peux me faire pleurer d’amour dans les soupirs ou le silence
Tu peux me faire battre en tambour le cœur comme une appartenance
Tu peux me jouer Roméo tu peux jouer l’extravagance
Tu peux me faire les yeux Bardot les « je crois » comme une insolence
Tu peux faire chagriner mes fleurs tu peux jouer l’indifférence
Tu peux me laisser cœur en pleurs me prisonnier de ton absence
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes ne me fais pas couler la pluie
Si l’amour c’est toujours la même qu’il s’efface autant qu’il s’écrit
Tu peux me faire des Traviata des Butterfly sur Barbara
Tu peux me faire des opéras en dessous du balcon tu vois
Tu peux me faire Reine Margot tu peux me peindre des châteaux
Sur le pinceau ou le couteau tu peux me sculpter la milo (de Venus)
Tu peux me chanter du Verdi tu peux perler tes yeux de pluies
Tu peux me faire des tragédies de nos racines des comédies
De l’art ouais jusqu’au pont des Arts tu peux me raconter l’histoire
De ceux-là qui par leur regard savent faire faire de la fin le départ
Tu peux m’emmener en Toscane tu peux me refaire Caravage (= peintre reconnu pour ses clairs / obscurs)
Tu peux m’emmener comme une gitane dans un flamenco à Carthage
Tu peux bien me chanter la messe sur des gondoles qui nous confessent
Que la fin de notre histoire restera dans nos mémoires
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes, ne me fais pas couler la pluie
Si l’amour c’est toujours la même qu’il s’efface autant qu’il s’écrit
Non ne me dis pas que tu m’aimes puisque toujours l’amour s’enfuit
Si les mots sont toujours les mêmes qu’ils se disent autant qu’ils s’oublient
Non ne me dis pas que tu m’aimes
Non ne me dis pas que tu m’aimes
Non ne me dis pas que tu m’aimes
Merci à vous !
Je ne connaissais pas du tout la Vénus de Milo ! Direction le Louvre lors de mon prochain passage à Paris
Je ne connaissais pas du tout la Vénus de Milo ! Direction le Louvre lors de mon prochain passage à Paris
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Merci les livres à lire en français de 5è / 4è
"Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Vous semble être une amie dont on se passerait"
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Hm, justement je vois le second titre un peu comme une rupture... Y a un petit côté théâtrale.
Sinon pour l'instrument, du saxo non ? où tu parles d'un autre ?
Sinon pour l'instrument, du saxo non ? où tu parles d'un autre ?
"Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait"
Vous semble être une amie dont on se passerait"
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