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allez au boulot bande de branleurs 

L'informatique, c'est comme le bricolage, il faut avoir les bons outils
au top le bricoleur--- a écrit : ↑08 mars 2025, 15:19L'informatique, c'est comme le bricolage, il faut avoir les bons outils
Bon trêve de plaisanteries, j'ai ouvert un pad collaboratif où j'ai listé les chansons (ou pourra même y rajouter les inédites de la tournées, genre urticaire)
J'y ai copié les transcriptions déjà faite, et je viens de faire Oppression![]()
![]()
(d'alleurs, y'a un bout que j'arrive pas à comprendre)
https://pad.futuretic.fr/p/apocalypse
Petite aide technique, mais c'est pas miraculeux non plus
- 1. isoler le vocal de la chanson https://vocalremover.org/
2. trancrire automatiquement l'audio en texte https://scribe.cemea.org/ (pas terrible, faudrait trouver un meilleur outil)
Ah ça y est, j'essaie d'organiser un peu le boudin et y'en a déjà un qui met le whyMarcel a écrit : ↑08 mars 2025, 15:59 Fleur Iranienne
Transcription automatique réaliser avec Vegas 22 sur la première partie, et ensuite lorsqu'il été débordé dans la deuxième j'ai essayer de compléter. Il y a bien sur beaucoup d’erreurs à corriger, ainsi que la ponctuation sûrement :
À l'aube je partirai. Mon amour ne pleure pas.
S'il nous faut nous quitter, on se retrouvera.
Un jour une autre terre, un autre ciel, tu sais,
qui saura nous ouvrir ses bras sans nous juger.
Ne t'en fais pas mon ange de la remonte inutile,
si nous deux nous sommes là, à marier naufragé.
Ils ne sont que violence, des vindictes de Dieu
et nous deux nous ne sommes que deux cœurs amoureux.
Si condamné à mort sont nos âmes d'enfants,
si par le mauvais sort, si sous le sceau du sang
sont longés les berceaux de notre amour qui bât,
quel que soit leur jugement et quelle que soit leur loi.
Et qu'ils veuillent nous pendre, ou nous mettre au cachot,
puisqu'un battement de cil de tes yeux, de tes mots,
vaut bien tous les supplices et toutes les blessures
que nos corps pourront faire. Oui, toutes ces pourritures.
Leur monde est mort déjà, et nous sommes l'avenir.
Ils n'y changeront rien. Les lois de cet empire
du mal qui veut tuer tous les cœurs qui s'y unissent
à d'autres cœurs que leurs ignorances bénissent.
Je serais lapidé demain par les bouchers,
pour avoir commis, oui, le crime d'avoir aimé,
d'avoir mêlé mon âme à la fleur liberté
au nectar de l'amour, d'avoir osé goûter.
Mais j'ai aimé alors, oui, je peux bien mourir,
restera pour toujours avec moi, ton sourire.
Mon amour, à bientôt dans un autre pays,
mon amour, tout là-haut, oui, dans une autre vie.
Mon pays, triste terre, sii je te dis adieu,
oui, c'est que sur nos terres sont les soldats de Dieu.
De Kaboul au Texas, la femme toujours suplice
la femme assassinée au bûcher sacrifice.
De leur puritanisme, à l'Est ou à l'Ouest,
toujours la même histoire, choléra ou la peste ?
Oh mon pays à Dieu, que mon cœur aille au ciel
et que Dieu leur pardonne, et que Dieu leur pardonne.
Ne pleure pas pour moi et sauve toi au loin,
aussi loin que tu peux, sauve toi dès demain.
Ne viens pas, s'il te plaît à mon exécution,
sois déjà au pays des fleurs de l'horizon,
ne pleure pas pour moi et sauve toi au loin,
aussi loin que tu peux.
Aussi loin que tu peux.
Aussi loin...
[Pas compris]...peut crever, il y a des [nuits?] tu sais,
l'humanité entière, finir crucifié
Tu peux mourir avant, à l'instant dedans toi,
de mieux que mourir, perdue dans les bras,
cet amour plus fort, tous les verbes aimer,
cet amour plus fort, toute l'humanité,
puisqu'on passe ça vie, à chercher ça moitié
comme ont respire, perdue quand ont la trouvé
La terre orpheline, retrouver son ciel
quand les Marais Salines, plus besoin de ça,
de c'est sanglots qui tuent, tous les amours du monde,
si c'est toi que j'emporte, a jamais dans la tombe
Quand l'horizon de fleurs, qui fera les enfers
et même si nous deux, nous serons sous la terre
N'ai pas peur mon amour, quand ils jettent des pierres
puisque battra toujours, devant moi ta lumière
devant toi qui me guide, plaisir infinie,
c'est meilleur des loi, s'aimer d'interdits
jamais notre amour, finira au ...?
des mensonges religieux, vendent le ciel,
C'est l'enfer qui attend, si tous les cœurs pur
et non ne t'en fais pas, notre amour et l'armure
face à tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfers, tous les mondes entier,
je tenterai les dieux, les démons du temps
pour mon instant devient l'éternellement,
je serai ton épaule, fais parler vers
poésie sous terre, je ferez les lumières,
je t'aimerai, oui même, battant Lucifer,
si l'enfer est promis, oui à tous les censeurs
qui me brûlent, moi je garde, mon amour pour toi,
si seul les cœurs de pierre ...? ici bas,
alors je brûlerais plus fort que milles feu
plus fort que cette enfer, s'aimer sous les cieux
cette enfer de vivre, pour leur monde insipide
ou la loi de tout cœurs et de finir lipide
puisque même sur ma tombe, il y aura ton prénom,
puisque je n'ai que toi pour unique horizon
pousse tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfers, tous les mondes antiques,
puisque même ce bâton, il y aura ton prénom
puisque je n'ai que toi pour unique horizon
face à tous les jugements, du premier au dernier
face à tous les enfants, tous les mondes entier
encore une modif que je n avais pas entendu
ça y est j'ai maté rusty james, cité dans JessieLuna a écrit : ↑05 mars 2025, 00:10 Jessie
J’habitais à New York, Tribeca mon amour
Étouffé de buildings et de peur du vide
J’avais quelques amis de Brooklyn et du Queens
Qui venaient sur le toit pour chanter du Zeppelin
Il y avait ce soir-là un jeune homme avec eux
Que je connaissais pas, qui s’appelait Jessie
Moi qui sais lire l’humain, j’avais vu dans ses yeux
La rébellion de ceux qui deviennent mes amis
Quand tombait la nuit noire, on traînait les parkings
Avec quelques gonzesses, juste histoire que ça swingue
À regarder les gangs de la Sud Amérique
À tirer sur des bangs d’herbe de Jamaïque
À souffler des pétards au gré des gyrophares
On regardait New York qui posait son regard
Mon ami le plus cher à mes yeux était là
Il avait les yeux clairs qui font voir au-delà
De la mélancolie des ruisseaux d’Arkansas
Des putains d’Hollywood aux chevaux du Texas
Jessie, il avait fait de la taule à Rikers
Jessie, à dix-huit ans, il avait pris deux ans
Parce qu’il avait tapé l’animalerie du coin
Pour remettre à la mer des poissons combattants
Dans le feu des bidons qui réchauffaient nos mains
Jessie, il savait lire dans les cendres du vent
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Dans des bars à burgers où on draguait les filles
Qui sortaient des night-clubs, nous ne rentrions pas
Jessie, il arrivait à faire les yeux qui brillent
Aux plus belles de New York ou bien de l’Illinois
Alors on traînait là, sur les rooftops du monde
Bras d’honneur aux gratte-ciels, je te tiens si tu tombes
Toi, t’avais l’air indien ; moi, j’avais l’air de rien
Rien de plus que ton ombre, oui, mais ça m’allait bien
De voir ta poésie, Rusty James sur les toits
Dans New York agonie, toi tu volais, je crois
Ta gueule d’ange est filée (ou ‘effilée’ ?) aux reflets des lumières
Faufilée(s) dans les ombres trajectoires du lointain
Quand il m’jouait ses sons aussi peu tunés que lui
J’entendais l’horizon qui naissait dans un cri
J’lui disais qu’on pourrait tourner à deux en France
Il m’disait qu’il était trop libre pour les Français
On parlait de partir là où vont les rivières
On rêvait de s’enfuir pour tout laisser derrière
On allait faire le tour des États unifiés
En stop ou en traileur dès qu’on aurait le blé
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Au-dessus du pont, dans l’appartement
Où je dors à présent, y’a des pigeons
Ils me parlent de toi, ils disent « je te ressemble (ou ‘ressens’ ?) »
On s’dit que tu vas bien, que tu n’es pas très loin
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
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