Mon influenceuse
un vrai conte
Si bien écrite ! Trop belle cette chanson
J'ai surement fait beaucoup d'erreurs, n'hésitez pas à corriger
Mon influenceuse
À l'heure de nos réseaux,
À l'heure des connexions
Moi je cherche mon amour
Dans le fil des saisons
Dans un monde perdu,
Dans les constellations
Tu m'as laissé en vu
Comme un petit garçon
À l'heure où tout s'éteint,
Nos téléphones s'allument
Au fil des connexions,
Où sont passées nos plumes
Moi je cherche sur la toile
Mon amour de fortune
Est-ce que tu m'aimeras
Avec ou sans la tune ?
A l'heure des oiseaux bleus,
Des petits pouces en l’air
Je vais, Petit poucet,
Parsemer sur la terre
Quelques bouquets pour toi,
Mon amour, ma lumière
Toi qui as sombré mon cœur,
En milliards de poussières
Si pour toi mon whisky
Ne sait faire que pleurer
Entre nous deux sais-tu
Qui est le naufragé
Comme un navire perdu,
Toi tu fais que mouiller
La mare aux courtoisie,
De ceux qui t’ont liké
À l'heure de nos réseaux,
De nos prostitutions
Moi je cherche un amour
Dans les constellations
Virtuel tu étais,
Mais pourtant l'horizon
À fait battre mon cœur
Pour une contrefaçon
C’est pas toi, oui c'est moi,
Triste fleur orpheline
Je suis tombé amoureux
D’une illusion divine
Qui n'avait rien de divin,
Juste une gourmandine
Juste un jupon de plus
Dans la grande cantine
Je suis tombé amoureux
Je suis tombée amoureuse
J’ai fait pleurer mes yeux
Pour une influenceuse
Je suis tombé qui dit mieux
Pour une bonimenteuse
Je suis tombé dans le feu
D’une putain d'allumeuse
Qui a mis le feu à mon cœur
Qui a mis le feu à mon sud
Moi j'ai perdu le nord
J’avais l'âme trop prude
Moralité tu sais
Les coups de foudre sous l'orage
Finissent en terre brûlée
Naufragé sans naufrage
Je voudrais tellement te voir
Sans aucun maquillage
Sans aucun filtre, aucun ?
Comme un ciel sans nuage
Je voudrais tellement savoir
Pourquoi t’aimes tant l'orage
T'as les yeux du chagrin,
Comme une princesse en cage,
Dans un donjon de photos,
Le selfie des visages
Qui viendra te délivrer,
Toi tu serais capable,
Oui c'est sûr de nexter,
Le prince charmant dommage,
Tout ça pour te finir
Sûr avec un minable,
T'as bloqué l'infini,
Quand tu m'as disparu,
Et voilà qu'on se recroise,
Au détour de ta rue,
Tu détournes le regard,
Comme un ange sinistre.
Ta beauté s'est perdue
T’as la mine des plus tristes
Que c'est triste une étoile
Qui finit en fourmi
Comme on dit dans les fables
Qui finit paradis
Perdue dans les enfers,
Comment la vie punit
Ceux qui se croyaient capables
D’être mieux que la vie
Là dans la fourmilière,
Insecte dans la toile
Moi j'aurais tant voulu
Qui sait qu’on se dévoile
Un peu plus, un peu mieux,
Là que de tristes étoiles
Paumées dans les pixels
De cet empire du mal
Les IP se marient,
Mais les regards se fuient
Comme deux pétales défunts
Là dans le pot pourri
Pourquoi elle s’est barrée
La cigale est partie
Pour chanter tout l’été
Me laissant en fourmi
Pourquoi elle s’est barrée ?
La cigale est partie
Pour chanter tous l’ ‘été
Me laissant en fourmi
Là dans la fourmilière
Insecte dans la toile
Naufragé ! Naufragé !
J'suis tombé amoureux,
J'suis tombée amoureuse
J'ai fait pleurer mes yeux
Pour une influenceuse
J'suis tombé qui dit mieux,
Pour une bonimenteuse
J'suis tombé dans le feu,
D’une putain d'allumeuse
Qui a mis le feu à mon cœur,
Qui a mis le feu à mon sud
Moi j'ai perdu le nord,
J’avais l'âme trop prude
Moralité tu sais,
Coups de foudre sous l'orage
Finissent en terre brûlée,
Naufragé sans naufrage
Finissent en terre brûlée,
Naufragé sans naufrage
Naufragé ! Naufragé ! Naufragé !
Apocalypse - paroles
S.O.S
Puisqu'on part tous un jour
Cœurs naufragés
Poussières d'éternité
Dans les étoiles
Droit dans la nuit
Dans l'œil de l'ouragan
De cendres dans le vent
On met les voiles
Pour un ailleurs
Va savoir tout là-haut
On se retrouvera bientôt
Dans la nuit noire
Pour faire qui sait
De cette obscurité
Là dans les voies lactées
Une trajectoire
On est tout seul
Dans l'univers
En pointillés vont nos chemins
Se trace les lignes de nos mains
Dans les étoiles
On vit on meurt
Dans le sang les larmes et la sueur
On cherche une réponse un ailleurs
À nos destins qui mettent les voiles
Dans les ombres ou dans les lumières
On fait nos paix, on fait nos guerres
Avec des anges
On se fait du bien
On se fait du mal
On brûle nos chairs dans les ténèbres
Tous univers, les univers
Font les constellations perdues de nos poussières
Demain qui sait, le monde peut bien mourir
Un jour on doit partir pour un ailleurs
Main dans la main jusqu’à la fin des temps
Nous sommes les testamentaire de nos pleurs
On cherche tous un abri, une raison
D’être une destination, un idéal
Pour oublier nos tristesses, nos détresses
Nos sanglots. S.O.S Pourquoi j'ai mal?
La joie, le cœur, le sang tous orphelins
Finissent tous les destins
Eternelle nuit
Le paradis ou l'enfer à la fin
De nos passages dis qu'est ce qu'on laisse ici?
Tous ceux qu'on aime partent un jour
Tu cherches la sortie de secours
Tu cherches la dernière évasion
Vers l'autre monde
Etoile filante dans l'univers
Vers l'infini vont nos poussières
Qui s'envolent au loin de la terre
Vers des pénombres
Est-ce qu'au fin fond des voies lactées
Est-ce qu'on continue de briller
Est-ce que c’est nous les pointillés
Dans la nuit noire
Pourquoi la Vie?
Pourquoi la mort?
Dis moi y a quoi après tout ça?
L'argent l'amour
Toutes ces tristesses
Empires de gloire
Nos vieux qui meurent
Nos certitudes balayées comme des bancs de sable
Qui filent entre les doigts fragiles de l'existence
Qu'est ce qu'on en garde dans nos mémoires ?
Il y a tant de gens, tant de sourires qu'on oubliera
Gorgés de nos impertinences
On finit dans un trou noir
Perdu on va tous vers la nuit
On fait route vers le ciel
Oui droit dans les ténèbres
Regarde un peu les pluies d'étoiles.
Non c'est pas le ciel qui s'effondre
Dans l'ouragan c'est l'univers qui nous célèbre
L'infini devant nous sera
L'infinité dedans nous c’est toi ???
La seule réponse à mes démons
Ma seule lumière
Si l'étincelle sent sa douceur,
Mon amour, oui, c'est toi et moi
Dans ces ténèbres, toi et moi
Ça fait des lumières,
Toi et moi, ça fait l'univers.
Toi et moi, ça fait l'univers.
Puisqu'on part tous un jour
Cœurs naufragés
Poussières d'éternité
Dans les étoiles
Droit dans la nuit
Dans l'œil de l'ouragan
De cendres dans le vent
On met les voiles
Pour un ailleurs
Va savoir tout là-haut
On se retrouvera bientôt
Dans la nuit noire
Pour faire qui sait
De cette obscurité
Là dans les voies lactées
Une trajectoire
On est tout seul
Dans l'univers
En pointillés vont nos chemins
Se trace les lignes de nos mains
Dans les étoiles
On vit on meurt
Dans le sang les larmes et la sueur
On cherche une réponse un ailleurs
À nos destins qui mettent les voiles
Dans les ombres ou dans les lumières
On fait nos paix, on fait nos guerres
Avec des anges
On se fait du bien
On se fait du mal
On brûle nos chairs dans les ténèbres
Tous univers, les univers
Font les constellations perdues de nos poussières
Demain qui sait, le monde peut bien mourir
Un jour on doit partir pour un ailleurs
Main dans la main jusqu’à la fin des temps
Nous sommes les testamentaire de nos pleurs
On cherche tous un abri, une raison
D’être une destination, un idéal
Pour oublier nos tristesses, nos détresses
Nos sanglots. S.O.S Pourquoi j'ai mal?
La joie, le cœur, le sang tous orphelins
Finissent tous les destins
Eternelle nuit
Le paradis ou l'enfer à la fin
De nos passages dis qu'est ce qu'on laisse ici?
Tous ceux qu'on aime partent un jour
Tu cherches la sortie de secours
Tu cherches la dernière évasion
Vers l'autre monde
Etoile filante dans l'univers
Vers l'infini vont nos poussières
Qui s'envolent au loin de la terre
Vers des pénombres
Est-ce qu'au fin fond des voies lactées
Est-ce qu'on continue de briller
Est-ce que c’est nous les pointillés
Dans la nuit noire
Pourquoi la Vie?
Pourquoi la mort?
Dis moi y a quoi après tout ça?
L'argent l'amour
Toutes ces tristesses
Empires de gloire
Nos vieux qui meurent
Nos certitudes balayées comme des bancs de sable
Qui filent entre les doigts fragiles de l'existence
Qu'est ce qu'on en garde dans nos mémoires ?
Il y a tant de gens, tant de sourires qu'on oubliera
Gorgés de nos impertinences
On finit dans un trou noir
Perdu on va tous vers la nuit
On fait route vers le ciel
Oui droit dans les ténèbres
Regarde un peu les pluies d'étoiles.
Non c'est pas le ciel qui s'effondre
Dans l'ouragan c'est l'univers qui nous célèbre
L'infini devant nous sera
L'infinité dedans nous c’est toi ???
La seule réponse à mes démons
Ma seule lumière
Si l'étincelle sent sa douceur,
Mon amour, oui, c'est toi et moi
Dans ces ténèbres, toi et moi
Ça fait des lumières,
Toi et moi, ça fait l'univers.
Toi et moi, ça fait l'univers.
Oui. <3
Je vais essayer de t'aider...
En "vu".
Je vais, Petit Poucet.
Parsemer.
J'entends "sombré".
Milliards, je pense...
J'entends "la mare aux courtoisies".
Tombé.
J'ai fait.
Oui, c'est bien cela : "sans aucun filtre, aucun".
Ta.
Capables.
Bien qu'il ne fasse pas la liaison / ne prononce pas le "s", je me demande (vu le contexte) si ce n'est pas "de (ou deux) tristes étoiles" ...
Paumée(s).
J'entends "comme deux pétales 'défunts'".
"Ma" la seconde fois.
Le 21 mars en Provence sonne pour moi comme une belle synchronicité dans les falaises du coeur
Le voila le petit bouquet printanier
Nouveau printemps (avec 2 points d'interrogation en spoiler, à ceux qui auront mieux entendu)
Dis pourquoi tu veux fuir
pour un nouveau printemps
pourquoi tu veux partir
quand l'hiver approchant
nous ferait bien vieillir
près d'un feu reposant
Dans les poêles des amours
il faut prendre son temps
quand tous les feux tout flammes
quand les fruits des passions
ne sauront faire d'aimer
que le triste horizon
de ces incandescents
qui ne durent qu'une saison
Quand apprendre à vieillir
est la seule raison
d'être, ici-bas tu vois tous les deux nous pourrions
quelque soit le chemin faire de cette oraison
funèbre qu'est le temps
oui comme une chanson
ne s'éteint jamais quelque soit les saisons
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerai corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerais poussières
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerai l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde jusqu'à l'éternité
En amour on finit tous un jour religieux
oui de sa propre mort
je crois du propre pieu
qui nous fendra le coeur
qui coupera pour deux
la pomme ou la poire
qui déchirera les cieux
Un jour ou l'autre on conte
un jour ou l'autre on fait
les bilans puis les comptes
de tous les verbes aimer
Tu reprendras tes bibles
je reprends mes versets
quand le coeur de la cible
devient l'amour tu sais
Elle est tombé la flèche
Cupidon s'est barrée
nous voilà Notre Dame
face au ciel incendié
Quand on a trop brûlé
quand on a trop aimé
quand on a confondu le tout pour la moitié
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerais corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerai poussière
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerais l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde
jusqu'à l'éternité
J'ai dû mal à comprendre
pourquoi tu veux te barrer
pour un amour plus jeune
pour un soleil plus frais
Pourquoi tu veux tomber
dans ces banalités
qui font croire que jeunesse
saurait mieux faire brûler
les amours ici-bas
n'ont pas d'âge tu le sais
que celui qu'ont leur donne
que par la volonté
qu'à chaque jour qui lève
on est un nouveau né
si on a la sagesse de pouvoir oublier
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerais corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerai poussière
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerais l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde
jusqu'à l'éternité
Je t'aimerai sauvage
contre la société
je t'aimerai partage
contre cupidité
je t'aimerai naufrage
océan déchainé
il n'est que dans la cage
qu'on rêve de liberté
je t'aimerai libertaire
les menottes au poignets
comme une identitaire
où vient fraternité
je t'aimerai suicidaire
martyr du verbe aimer
je t'aimerai solitaire
et même contre une armée
je t'aimerai révolte
je t'aimerai révolté
je t'aimerai pirate
notre ciel épleuré
je t'aimerai en larmes
je t'aimerai alarmé
je t'aimerai les armes à la la main tu le sais
je t'aimerai futur
et coeur imparfait
et même si le présent
n'est jamais qu'un passé
composé des blessures
de tous nos verbes aimer
les liens se conjuguent
oui qu'à l'éternité
composé des blessures
notre verbe aimer
les Miens se conjuguent
oui qu'à l'éternité
oui qu'à l'éternité
oui qu'à l'éternité
Spoiler
Sextant de notre éternité
promontoire liberté
amoureuse théorie de la relativité
du temps
esquisse éternelle
tracé un peu flou
intemporel
promontoire liberté
amoureuse théorie de la relativité
du temps

esquisse éternelle
tracé un peu flou
intemporel

Nouveau printemps (avec 2 points d'interrogation en spoiler, à ceux qui auront mieux entendu)
Dis pourquoi tu veux fuir
pour un nouveau printemps
pourquoi tu veux partir
quand l'hiver approchant
nous ferait bien vieillir
près d'un feu reposant
Dans les poêles des amours
il faut prendre son temps
quand tous les feux tout flammes
quand les fruits des passions
ne sauront faire d'aimer
que le triste horizon
de ces incandescents
qui ne durent qu'une saison
Quand apprendre à vieillir
est la seule raison
d'être, ici-bas tu vois tous les deux nous pourrions
quelque soit le chemin faire de cette oraison
funèbre qu'est le temps
oui comme une chanson
ne s'éteint jamais quelque soit les saisons
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerai corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerais poussières
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerai l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde jusqu'à l'éternité
En amour on finit tous un jour religieux
oui de sa propre mort
je crois du propre pieu
qui nous fendra le coeur
qui coupera pour deux
la pomme ou la poire
qui déchirera les cieux
Un jour ou l'autre on conte
un jour ou l'autre on fait
les bilans puis les comptes
de tous les verbes aimer
Tu reprendras tes bibles
je reprends mes versets
quand le coeur de la cible
devient l'amour tu sais
Elle est tombé la flèche
Cupidon s'est barrée
nous voilà Notre Dame
face au ciel incendié
Quand on a trop brûlé
quand on a trop aimé
quand on a confondu le tout pour la moitié
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerais corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerai poussière
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerais l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde
jusqu'à l'éternité
J'ai dû mal à comprendre
pourquoi tu veux te barrer
pour un amour plus jeune
pour un soleil plus frais
Pourquoi tu veux tomber
dans ces banalités
qui font croire que jeunesse
saurait mieux faire brûler
les amours ici-bas
n'ont pas d'âge tu le sais
que celui qu'ont leur donne
que par la volonté
qu'à chaque jour qui lève
on est un nouveau né
si on a la sagesse de pouvoir oublier
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerais corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerai poussière
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerais l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde
jusqu'à l'éternité
Je t'aimerai sauvage
contre la société
je t'aimerai partage
contre cupidité
je t'aimerai naufrage
océan déchainé
il n'est que dans la cage
qu'on rêve de liberté
je t'aimerai libertaire
les menottes au poignets
comme une identitaire
où vient fraternité
je t'aimerai suicidaire
martyr du verbe aimer
je t'aimerai solitaire
et même contre une armée
je t'aimerai révolte
je t'aimerai révolté
je t'aimerai pirate
notre ciel épleuré
je t'aimerai en larmes
je t'aimerai alarmé
je t'aimerai les armes à la la main tu le sais
je t'aimerai futur
et coeur imparfait
et même si le présent
n'est jamais qu'un passé
composé des blessures
de tous nos verbes aimer
les liens se conjuguent
oui qu'à l'éternité
composé des blessures
notre verbe aimer
les Miens se conjuguent
oui qu'à l'éternité
oui qu'à l'éternité
oui qu'à l'éternité
Dernière modification par audrey83 le 08 mars 2025, 18:57, modifié 3 fois.
Comme une bougie dans le vent
On est tous perdu sur la terre
Comme un sanglot dans l'océan
Puisqu'au milieu, y’a nos lumières
Gouttes de pluie dans l'ouragan
À chercher au fond des poussières
Des étincelles dans le néant
On rêve de châteaux, de lumières
On rêve de cercueils en argent
Il faudra lutter sur la route
Contre la vie, contre le temps
Passer au travers de ses gouttes
Comme une bougie dans le vent
On passe sa vie à retenir
Nos sanglots font des sourires
Planquées au fond de nos paupières
On garde des millions de lumières
De tous ces gens partis trop tôt
Ces amours qui nous ont quittés
La vie, c'est juste prendre un bateau
Ou bien rester sur le quai
À chercher l'air dans les torrents
De l'oxygène gorgé de sang
On s'étouffe autant qu'on respire
Sans toi, je pourrais pas tenir
Au devant les apocalypses
Nos étincelles face aux ténèbres
Comme une étoile contre l'éclipse
Si pour se trouver faut se perdre
Apocalypse vont nos sourires
Infinité dans le néant
Y’a pas de meilleur ou de pire
Que l'éternel recommencement
Tous ces amis qu'on voit partir
Ces choses emportées par le temps
Au gré des larmes et des sourires
Nos progénitures, nos parents.
Nos rêves ont des ailes de cire
Gouttes de pluie dans l'ouragan
Autant en emporte la vie
Comme une bougie dans le vent
On jette nos bouteilles à la mer
Nos mots d'amour dans les courants
Nos cœurs de soufre, nos cœurs de pierre
A mains nues contre l'ouragan
Tu sais, il faut lutter toujours
Comme une poussière dans un torrent
Faut pas garder ces mots d'amour
Faut pas voir petit, faut voir grand
Pour faire le tour d'un univers
D’un infini, juste un moment
Pour faire cracher le feu des terres
Faire cracher la vie du volcan
Sur du sable ou sur des rivières
De cailloux, ou bien de diamant
Entre les ombres et la lumière
Entre le sang et le sentiment
Jour après jour, jour après nuit
Comme une étoile dans l'ouragan
Tous les mots d'amour qu'on se dit
Gouttes de pluie dans l'océan
Entre le vide et l'infini
Comme un sanglot contre le temps
Et si nous deux c'était écrit
Comme une bougie dans le vent
Jour après jour, nuit après nuit
Comme une étoile dans l'ouragan
Tous les mots d'amour qu'on se dit
Gouttes de pluie dans l'océan
Et si nous deux c'était écrit
Infinité, contre néant
Entre chaque goutte de pluie
Comme une bougie dans le vent
Apocalypse
Oh mon amour
Comme une bougie
Dans le vent
On est tous perdu sur la terre
Comme un sanglot dans l'océan
Puisqu'au milieu, y’a nos lumières
Gouttes de pluie dans l'ouragan
À chercher au fond des poussières
Des étincelles dans le néant
On rêve de châteaux, de lumières
On rêve de cercueils en argent
Il faudra lutter sur la route
Contre la vie, contre le temps
Passer au travers de ses gouttes
Comme une bougie dans le vent
On passe sa vie à retenir
Nos sanglots font des sourires
Planquées au fond de nos paupières
On garde des millions de lumières
De tous ces gens partis trop tôt
Ces amours qui nous ont quittés
La vie, c'est juste prendre un bateau
Ou bien rester sur le quai
À chercher l'air dans les torrents
De l'oxygène gorgé de sang
On s'étouffe autant qu'on respire
Sans toi, je pourrais pas tenir
Au devant les apocalypses
Nos étincelles face aux ténèbres
Comme une étoile contre l'éclipse
Si pour se trouver faut se perdre
Apocalypse vont nos sourires
Infinité dans le néant
Y’a pas de meilleur ou de pire
Que l'éternel recommencement
Tous ces amis qu'on voit partir
Ces choses emportées par le temps
Au gré des larmes et des sourires
Nos progénitures, nos parents.
Nos rêves ont des ailes de cire
Gouttes de pluie dans l'ouragan
Autant en emporte la vie
Comme une bougie dans le vent
On jette nos bouteilles à la mer
Nos mots d'amour dans les courants
Nos cœurs de soufre, nos cœurs de pierre
A mains nues contre l'ouragan
Tu sais, il faut lutter toujours
Comme une poussière dans un torrent
Faut pas garder ces mots d'amour
Faut pas voir petit, faut voir grand
Pour faire le tour d'un univers
D’un infini, juste un moment
Pour faire cracher le feu des terres
Faire cracher la vie du volcan
Sur du sable ou sur des rivières
De cailloux, ou bien de diamant
Entre les ombres et la lumière
Entre le sang et le sentiment
Jour après jour, jour après nuit
Comme une étoile dans l'ouragan
Tous les mots d'amour qu'on se dit
Gouttes de pluie dans l'océan
Entre le vide et l'infini
Comme un sanglot contre le temps
Et si nous deux c'était écrit
Comme une bougie dans le vent
Jour après jour, nuit après nuit
Comme une étoile dans l'ouragan
Tous les mots d'amour qu'on se dit
Gouttes de pluie dans l'océan
Et si nous deux c'était écrit
Infinité, contre néant
Entre chaque goutte de pluie
Comme une bougie dans le vent
Apocalypse
Oh mon amour
Comme une bougie
Dans le vent
Jessie
J’habitais à New York, Tribeca mon amour
Étouffé de buildings et de peur du vide
J’avais quelques amis de Brooklyn et du Queens
Qui venaient sur le toit pour chanter du Zeppelin
Il y avait ce soir-là un jeune homme avec eux
Que je connaissais pas, qui s’appelait Jessie
Moi qui sais lire l’humain, j’avais vu dans ses yeux
La rébellion de ceux qui deviennent mes amis
Quand tombait la nuit noire, on traînait les parkings
Avec quelques gonzesses, juste histoire que ça swingue
À regarder les gangs de la Sud Amérique
À tirer sur des bangs d’herbe de Jamaïque
À souffler des pétards au gré des gyrophares
On regardait New York qui posait son regard
Mon ami le plus cher à mes yeux était là
Il avait les yeux clairs qui font voir au-delà
De la mélancolie des ruisseaux d’Arkansas
Des putains d’Hollywood aux chevaux du Texas
Jessie, il avait fait de la taule à Rikers
Jessie, à dix-huit ans, il avait pris deux ans
Parce qu’il avait tapé l’animalerie du coin
Pour remettre à la mer des poissons combattants
Dans le feu des bidons qui réchauffaient nos mains
Jessie, il savait lire dans les cendres du vent
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Dans des bars à burgers où on draguait les filles
Qui sortaient des night-clubs, nous ne rentrions pas
Jessie, il arrivait à faire les yeux qui brillent
Aux plus belles de New York ou bien de l’Illinois
Alors on traînait là, sur les rooftops du monde
Bras d’honneur aux gratte-ciels, je te tiens si tu tombes
Toi, t’avais l’air indien ; moi, j’avais l’air de rien
Rien de plus que ton ombre, oui, mais ça m’allait bien
De voir ta poésie, Rusty James sur les toits
Dans New York agonie, toi tu volais, je crois
Ta gueule d’ange est filée (ou ‘effilée’ ?) aux reflets des lumières
Faufilée(s) dans les ombres trajectoires du lointain
Quand il m’jouait ses sons aussi peu tunés que lui
J’entendais l’horizon qui naissait dans un cri
J’lui disais qu’on pourrait tourner à deux en France
Il m’disait qu’il était trop libre pour les Français
On parlait de partir là où vont les rivières
On rêvait de s’enfuir pour tout laisser derrière
On allait faire le tour des États unifiés
En stop ou en traileur dès qu’on aurait le blé
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Au-dessus du pont, dans l’appartement
Où je dors à présent, y’a des pigeons
Ils me parlent de toi, ils disent « je te ressemble (ou ‘ressens’ ?) »
On s’dit que tu vas bien, que tu n’es pas très loin
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
J’habitais à New York, Tribeca mon amour
Étouffé de buildings et de peur du vide
J’avais quelques amis de Brooklyn et du Queens
Qui venaient sur le toit pour chanter du Zeppelin
Il y avait ce soir-là un jeune homme avec eux
Que je connaissais pas, qui s’appelait Jessie
Moi qui sais lire l’humain, j’avais vu dans ses yeux
La rébellion de ceux qui deviennent mes amis
Quand tombait la nuit noire, on traînait les parkings
Avec quelques gonzesses, juste histoire que ça swingue
À regarder les gangs de la Sud Amérique
À tirer sur des bangs d’herbe de Jamaïque
À souffler des pétards au gré des gyrophares
On regardait New York qui posait son regard
Mon ami le plus cher à mes yeux était là
Il avait les yeux clairs qui font voir au-delà
De la mélancolie des ruisseaux d’Arkansas
Des putains d’Hollywood aux chevaux du Texas
Jessie, il avait fait de la taule à Rikers
Jessie, à dix-huit ans, il avait pris deux ans
Parce qu’il avait tapé l’animalerie du coin
Pour remettre à la mer des poissons combattants
Dans le feu des bidons qui réchauffaient nos mains
Jessie, il savait lire dans les cendres du vent
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Dans des bars à burgers où on draguait les filles
Qui sortaient des night-clubs, nous ne rentrions pas
Jessie, il arrivait à faire les yeux qui brillent
Aux plus belles de New York ou bien de l’Illinois
Alors on traînait là, sur les rooftops du monde
Bras d’honneur aux gratte-ciels, je te tiens si tu tombes
Toi, t’avais l’air indien ; moi, j’avais l’air de rien
Rien de plus que ton ombre, oui, mais ça m’allait bien
De voir ta poésie, Rusty James sur les toits
Dans New York agonie, toi tu volais, je crois
Ta gueule d’ange est filée (ou ‘effilée’ ?) aux reflets des lumières
Faufilée(s) dans les ombres trajectoires du lointain
Quand il m’jouait ses sons aussi peu tunés que lui
J’entendais l’horizon qui naissait dans un cri
J’lui disais qu’on pourrait tourner à deux en France
Il m’disait qu’il était trop libre pour les Français
On parlait de partir là où vont les rivières
On rêvait de s’enfuir pour tout laisser derrière
On allait faire le tour des États unifiés
En stop ou en traileur dès qu’on aurait le blé
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Au-dessus du pont, dans l’appartement
Où je dors à présent, y’a des pigeons
Ils me parlent de toi, ils disent « je te ressemble (ou ‘ressens’ ?) »
On s’dit que tu vas bien, que tu n’es pas très loin
Putain, t’es où Jessie
New York a froid et moi aussi
Sur les toits je traîne la nuit sur mon dos
Le silence des villes, le bruit du train
Si tu t'en vas
Y’a tous ces gens, tous ces modernes, non, qui ne riment plus à grand-chose
Dans ma tête, si tu savais comme c’est l’overdose
Je marche la nuit, je vais seul comme un fantôme
Et peuvent prier les lumières de leurs téléphones
Peuvent bien sonner l’enfer du monde, moi je n’entends
Que le silence de ton absence ; j’ai mal au sang
Sans toi, dis-moi, que deviendrais-je ? J’ai plus la force
De continuer le chemin, j’voudrais partir
Quelque part loin du bruit des villes pour un ailleurs
Puisqu’ici ne sait plus comment battre mon cœur
Trouver la paix ou la folie, moi, peu m’importe
Tant que tu restes auprès de moi
Si ton sourire est la seule chose qui m’donne encore l’envie de vivre
Regarde-les, tous ces gens qui ne font que suivre
Le chemin de leur propre fin ; moi, je sais plus
Si je t’ai trouvé(e) ou perdu(e)
J’voudrais m’enfuir, alors je vais tous les pays, même l’Alaska
N’est pas assez loin pour t’oublier, moi je crois
Que même après ma vie, je penserai à toi
Toi mon amour, toi la seule chose de bien en moi
Leur monde peut brûler avec lui qui vit dessus
Moi je m’en fous, tu sais, puisque je t’ai perdu(e)
J’ai qu’une raison de vivre, et c’est toi devant moi
Si tu t’en vas loin de ce monde devenu fou
Si tu t’en vas, tu sais je tiendrai plus le coup
Si tu t’en vas, crois-moi y’a pas de lumière ‘pour’ (?)
Si tu t’en vas
Si tu t’en vas
Si loin de moi, si loin de nous, si loin de toi
J’sais pas pourquoi, j’te vois partout ; ouais, t’es pas là
Sans toi, oui, moi je deviens fou si tu t’en vas
Si tu t’en vas
Moi je leur rendrai coup pour coup ; j’irai, crois-moi
Mieux vaut mourir qu’être à genoux, qu’être sans toi
J’me sens seul au milieu de tout si tu t’en vas
Si tu t’en vas
Si loin de moi, si loin de nous, si loin de toi
J’sais pas pourquoi, j’te vois partout quand t’es pas là
Sans toi, oui, moi je deviens fou si tu t’en vas
Y’a tous ces gens, tous ces modernes, non, qui ne riment plus à grand-chose
Dans ma tête, si tu savais comme c’est l’overdose
Je marche la nuit, je vais seul comme un fantôme
Et peuvent prier les lumières de leurs téléphones
Peuvent bien sonner l’enfer du monde, moi je n’entends
Que le silence de ton absence ; j’ai mal au sang
Sans toi, dis-moi, que deviendrais-je ? J’ai plus la force
De continuer le chemin, j’voudrais partir
Quelque part loin du bruit des villes pour un ailleurs
Puisqu’ici ne sait plus comment battre mon cœur
Trouver la paix ou la folie, moi, peu m’importe
Tant que tu restes auprès de moi
Si ton sourire est la seule chose qui m’donne encore l’envie de vivre
Regarde-les, tous ces gens qui ne font que suivre
Le chemin de leur propre fin ; moi, je sais plus
Si je t’ai trouvé(e) ou perdu(e)
J’voudrais m’enfuir, alors je vais tous les pays, même l’Alaska
N’est pas assez loin pour t’oublier, moi je crois
Que même après ma vie, je penserai à toi
Toi mon amour, toi la seule chose de bien en moi
Leur monde peut brûler avec lui qui vit dessus
Moi je m’en fous, tu sais, puisque je t’ai perdu(e)
J’ai qu’une raison de vivre, et c’est toi devant moi
Si tu t’en vas loin de ce monde devenu fou
Si tu t’en vas, tu sais je tiendrai plus le coup
Si tu t’en vas, crois-moi y’a pas de lumière ‘pour’ (?)
Si tu t’en vas
Si tu t’en vas
Si loin de moi, si loin de nous, si loin de toi
J’sais pas pourquoi, j’te vois partout ; ouais, t’es pas là
Sans toi, oui, moi je deviens fou si tu t’en vas
Si tu t’en vas
Moi je leur rendrai coup pour coup ; j’irai, crois-moi
Mieux vaut mourir qu’être à genoux, qu’être sans toi
J’me sens seul au milieu de tout si tu t’en vas
Si tu t’en vas
Si loin de moi, si loin de nous, si loin de toi
J’sais pas pourquoi, j’te vois partout quand t’es pas là
Sans toi, oui, moi je deviens fou si tu t’en vas
Anticommunautaire
J'ai la banane quand chantent les connes,
Les putes à grammes, les 35 tonnes,
Grossophobie, rien à branler,
T'as vu mon bide, petit enculé,
À quand la brigade culturelle ?
Tu m'avais pas cru, ouais, ma vieille,
Va falloir faire un gros ménage,
Ouais, va falloir faire un carnage,
Si tu veux pas que ton gosse finisse
Un gode dans le cul à chanter Gims,
Entre deux prières aux mosquées,
Va falloir changer de cap, tu sais,
Et la petite province qu'est perdue,
Qui imite Paris, pauvres trous du cul,
Qui troquent leur terrine pour du tofu,
Putain, ce monde est devenu fou,
Leurs enfants deviennent tous pédés,
Sous propagande LGBT,
Entre muslims et peuple gay,
Le Français cherche l'identité,
Et ça parle et ça tweete, mon vieux,
Et ça story sa petite misère,
Pour vendre au peuple prolétaire,
En crème de nuit ses somnifères,
Je suis pas macho, pas misogyne,
Je dis juste : les femmes à la cuisine,
Allez, ma grosse, tire pas la gueule,
Va juste me chercher une bibine,
Paraît qu'il faut être fier d'être gay,
Être fier d'être blanc, être fier d'être noir,
Salut à toi la société,
Salut le peuple d'enculés,
Quand la démocratie est morte,
Il faut tuer le président,
La République des enculés,
Faut la pendre, la mettre au bûcher,
Toutes les petites putes des ministères,
Sûr, faut les prendre par derrière,
Guillotiner tous les apôtres
Du dieu l'argent, qui tue la Terre,
Moi, je dis que Mozart est dieu, tu vois,
Et que ton rap à bobo, c'est quoi ?
Des blancs suceurs de banlieusards,
Des p'tits babtous qui rêvent d'être noirs,
Non, bien sûr, pas d'être Luther King,
Ni Mandela, ni B.B. King,
Juste un vomi capitaliste,
Maillot du Qatar sur la piste,
Une plume dans le cul, un auto-tune,
Torse nul, qui montre sa fortune,
La honte, la gerbe, y'a plus de mots,
Faut sauver tes enfants, prolo,
Et s'il n'y a que la violence,
Je crois, pour sauver notre France,
La Marseillaise l'avait prédit,
Que coule le sang de l'ennemi,
Va vraiment falloir que ça pète,
Nettoyer les analphabètes,
Sauver ton gosse de l'influence,
Influenceurs, balle dans la tête,
Millionnaires, les putes du système,
Pendant que crève le peuple à la rue,
Putain, toujours la même rengaine,
Toujours le même peuple cocu,
Faut qu'on s'arrache, y'a plus la place,
À part foutre le feu à leur monde,
Une chose est sûre, c'est pas ce pays
Un jour qui repeindra la Joconde,
Ici, y'a plus que l'odeur du soufre,
L'espoir est mort au fond du gouffre,
49-3 dans ta teucha,
Il faut couper la tête du roi,
Tout le pays est devenu faf,
Tout le pays est devenu flic,
Pour réussir, faut être lesbienne,
Pour avoir sa place dans la chaîne,
La gloire est au dealer de came,
Au règne des analphabètes,
La France est morte, oui, Madame,
Aux faits divers de la quéquette,
Quand la démocratie est morte,
Le peuple est le seul président,
La République des enculés,
Faut la pendre, la mettre au bûcher,
Toutes les petites putes des ministères,
Sûr, faut les prendre par derrière,
Guillotiner tous les apôtres
Du dieu l'argent, qui tue la Terre,
C'est pas ta faute, t'es juste une pute,
T'es aussi engagée qu'une moule,
Tu montres ton cul sur Instagram,
Les droits des femmes, les droits des poules,
Tu dénonces comme au IIIᵉ Reich,
Toi pour trouver bouc émissaire,
La foule aime tuer l'innocent
Pour trouver un coupable, mon frère,
T'es qu'un produit préfabriqué,
Qui a la plume d'une école primaire,
T'es qu'une salope qui a trop sucé,
Y'a plus que du sperme dans tes artères,
T'es qu'une collabo sans figure,
Que ta sale gueule sur les plateaux,
T'es qu'une putain de pourriture,
Qu'il faudrait mettre à l'échafaud,
Tu vends les luttes des femmes violées
Pour faire du stream à tes albums,
Tu vends toutes les minorités,
En porte-drapeau pour des chewing-gums,
À 5 millions d'euros par an,
Pour faire la pub Coco Chanel,
À 5 millions d'euros par an,
Vont les égéries des poubelles,
Oublie l'idée qu'on soit jaloux,
Ou qu'on ait la rancœur au cœur,
C'est juste se dire que des gamines
Te suivent en millions de followers,
Sans savoir qu'elles se font baiser,
L'argent du pauvre et puis leurs rêves,
Pour un monde meilleur, triste à dire,
Moi, je crois qu'il faudrait que tu crèves,
Toi, puis tes sœurs, mec ou nana,
Toutes les propagandes du pognon,
Ont bien compris qu'il fallait du string,
Les maîtres des champs de coton,
LVMH, au fond de ton cul,
C'est quand que revient la guillotine,
Dans ce peuple de trous du cul,
Qui aime bien laisser violer ses filles,
J'aime pas les blancs, j'aime pas les noirs,
Ni les purs sangs, ni les bâtards,
J'aime pas les pauvres, ni les taulards,
Je crache à la gueule de tous les pouvoirs,
J'aime pas les bis, ni les homos,
J'aime pas les trans, toutes les nymphos,
J'aime pas les mecs, j'aime pas les gros,
Ni les branchés, ni les prolos,
J'aime pas les riches, les milliardaires,
Je voudrais qu'ils crèvent tous en enfer,
J'aime pas le peuple, ni les pouvoirs,
C'est tous la même viande à taulard,
J'aime pas ce monde, je lui pisse dessus,
Je crache à la gueule des trous du cul,
Salut à toi, tu peux crever,
Toi et toute ta communauté,
J'aime pas les flics, ni les racailles,
J'aime pas la campagne, ni Paname,
J'aime pas les CRS SS,
J'aime pas les mosquées, ni la messe,
J'aime pas le berger, ni le bétail,
J'aime pas ce qui est bien,
Je préfère ce qui est mal,
J'aime pas les gentils, les enfants,
Moi, je préfère tout ce qui est méchant,
J'aime pas les noirs, j'aime pas les blancs,
Les cathos, les musulmans,
J'aime pas les pauvres, j'aime pas l'argent,
J'aime pas les petits, j'aime pas les grands,
J'aime pas les bis, ni les homos,
J'aime pas les trans, toutes les nymphos,
J'aime pas les mecs, les gros,
Ni les branchés, ni les prolos,
J'aime pas les riches, les milliardaires,
Je voudrais qu'ils crèvent tous en enfer,
J'aime pas le peuple, ni les pouvoirs,
C'est tous la même viande à taulard,
J'aime pas ce monde, je lui pisse dessus,
Je crache à la gueule des trous du cul,
Salut à toi, tu peux crever,
Toi et toute ta communauté.
J'ai la banane quand chantent les connes,
Les putes à grammes, les 35 tonnes,
Grossophobie, rien à branler,
T'as vu mon bide, petit enculé,
À quand la brigade culturelle ?
Tu m'avais pas cru, ouais, ma vieille,
Va falloir faire un gros ménage,
Ouais, va falloir faire un carnage,
Si tu veux pas que ton gosse finisse
Un gode dans le cul à chanter Gims,
Entre deux prières aux mosquées,
Va falloir changer de cap, tu sais,
Et la petite province qu'est perdue,
Qui imite Paris, pauvres trous du cul,
Qui troquent leur terrine pour du tofu,
Putain, ce monde est devenu fou,
Leurs enfants deviennent tous pédés,
Sous propagande LGBT,
Entre muslims et peuple gay,
Le Français cherche l'identité,
Et ça parle et ça tweete, mon vieux,
Et ça story sa petite misère,
Pour vendre au peuple prolétaire,
En crème de nuit ses somnifères,
Je suis pas macho, pas misogyne,
Je dis juste : les femmes à la cuisine,
Allez, ma grosse, tire pas la gueule,
Va juste me chercher une bibine,
Paraît qu'il faut être fier d'être gay,
Être fier d'être blanc, être fier d'être noir,
Salut à toi la société,
Salut le peuple d'enculés,
Quand la démocratie est morte,
Il faut tuer le président,
La République des enculés,
Faut la pendre, la mettre au bûcher,
Toutes les petites putes des ministères,
Sûr, faut les prendre par derrière,
Guillotiner tous les apôtres
Du dieu l'argent, qui tue la Terre,
Moi, je dis que Mozart est dieu, tu vois,
Et que ton rap à bobo, c'est quoi ?
Des blancs suceurs de banlieusards,
Des p'tits babtous qui rêvent d'être noirs,
Non, bien sûr, pas d'être Luther King,
Ni Mandela, ni B.B. King,
Juste un vomi capitaliste,
Maillot du Qatar sur la piste,
Une plume dans le cul, un auto-tune,
Torse nul, qui montre sa fortune,
La honte, la gerbe, y'a plus de mots,
Faut sauver tes enfants, prolo,
Et s'il n'y a que la violence,
Je crois, pour sauver notre France,
La Marseillaise l'avait prédit,
Que coule le sang de l'ennemi,
Va vraiment falloir que ça pète,
Nettoyer les analphabètes,
Sauver ton gosse de l'influence,
Influenceurs, balle dans la tête,
Millionnaires, les putes du système,
Pendant que crève le peuple à la rue,
Putain, toujours la même rengaine,
Toujours le même peuple cocu,
Faut qu'on s'arrache, y'a plus la place,
À part foutre le feu à leur monde,
Une chose est sûre, c'est pas ce pays
Un jour qui repeindra la Joconde,
Ici, y'a plus que l'odeur du soufre,
L'espoir est mort au fond du gouffre,
49-3 dans ta teucha,
Il faut couper la tête du roi,
Tout le pays est devenu faf,
Tout le pays est devenu flic,
Pour réussir, faut être lesbienne,
Pour avoir sa place dans la chaîne,
La gloire est au dealer de came,
Au règne des analphabètes,
La France est morte, oui, Madame,
Aux faits divers de la quéquette,
Quand la démocratie est morte,
Le peuple est le seul président,
La République des enculés,
Faut la pendre, la mettre au bûcher,
Toutes les petites putes des ministères,
Sûr, faut les prendre par derrière,
Guillotiner tous les apôtres
Du dieu l'argent, qui tue la Terre,
C'est pas ta faute, t'es juste une pute,
T'es aussi engagée qu'une moule,
Tu montres ton cul sur Instagram,
Les droits des femmes, les droits des poules,
Tu dénonces comme au IIIᵉ Reich,
Toi pour trouver bouc émissaire,
La foule aime tuer l'innocent
Pour trouver un coupable, mon frère,
T'es qu'un produit préfabriqué,
Qui a la plume d'une école primaire,
T'es qu'une salope qui a trop sucé,
Y'a plus que du sperme dans tes artères,
T'es qu'une collabo sans figure,
Que ta sale gueule sur les plateaux,
T'es qu'une putain de pourriture,
Qu'il faudrait mettre à l'échafaud,
Tu vends les luttes des femmes violées
Pour faire du stream à tes albums,
Tu vends toutes les minorités,
En porte-drapeau pour des chewing-gums,
À 5 millions d'euros par an,
Pour faire la pub Coco Chanel,
À 5 millions d'euros par an,
Vont les égéries des poubelles,
Oublie l'idée qu'on soit jaloux,
Ou qu'on ait la rancœur au cœur,
C'est juste se dire que des gamines
Te suivent en millions de followers,
Sans savoir qu'elles se font baiser,
L'argent du pauvre et puis leurs rêves,
Pour un monde meilleur, triste à dire,
Moi, je crois qu'il faudrait que tu crèves,
Toi, puis tes sœurs, mec ou nana,
Toutes les propagandes du pognon,
Ont bien compris qu'il fallait du string,
Les maîtres des champs de coton,
LVMH, au fond de ton cul,
C'est quand que revient la guillotine,
Dans ce peuple de trous du cul,
Qui aime bien laisser violer ses filles,
J'aime pas les blancs, j'aime pas les noirs,
Ni les purs sangs, ni les bâtards,
J'aime pas les pauvres, ni les taulards,
Je crache à la gueule de tous les pouvoirs,
J'aime pas les bis, ni les homos,
J'aime pas les trans, toutes les nymphos,
J'aime pas les mecs, j'aime pas les gros,
Ni les branchés, ni les prolos,
J'aime pas les riches, les milliardaires,
Je voudrais qu'ils crèvent tous en enfer,
J'aime pas le peuple, ni les pouvoirs,
C'est tous la même viande à taulard,
J'aime pas ce monde, je lui pisse dessus,
Je crache à la gueule des trous du cul,
Salut à toi, tu peux crever,
Toi et toute ta communauté,
J'aime pas les flics, ni les racailles,
J'aime pas la campagne, ni Paname,
J'aime pas les CRS SS,
J'aime pas les mosquées, ni la messe,
J'aime pas le berger, ni le bétail,
J'aime pas ce qui est bien,
Je préfère ce qui est mal,
J'aime pas les gentils, les enfants,
Moi, je préfère tout ce qui est méchant,
J'aime pas les noirs, j'aime pas les blancs,
Les cathos, les musulmans,
J'aime pas les pauvres, j'aime pas l'argent,
J'aime pas les petits, j'aime pas les grands,
J'aime pas les bis, ni les homos,
J'aime pas les trans, toutes les nymphos,
J'aime pas les mecs, les gros,
Ni les branchés, ni les prolos,
J'aime pas les riches, les milliardaires,
Je voudrais qu'ils crèvent tous en enfer,
J'aime pas le peuple, ni les pouvoirs,
C'est tous la même viande à taulard,
J'aime pas ce monde, je lui pisse dessus,
Je crache à la gueule des trous du cul,
Salut à toi, tu peux crever,
Toi et toute ta communauté.
Aimer c'est se battre pour perdre
Aimer c'est se battre pour perdre
se perdre à en mourir d'aimer
finir le coeur dans la ténèbre
oui dans les ténèbres oui mais
pour un homme ou pour une femme
pour un adieu pour un bonjour
aimer c'est se battre sans armes
oui sans armes que son amour
aimer c'est se battre pour l'autre
aimer c'est se battre pour ceux
qui n'ont que l'amour pour apôtre
aimer non c'est pas croire en Dieu
c'est croire en toi ou lui qu'importe
c'est croire en bien plus grand que tout
même quand la mort frappe à la porte
s'aimer à en devenir fou
aimer c'est partager la pomme
dans le plus beau pays du monde
pour une femme ou pour un homme
pour faire d'un pinceau la joconde
aimer c'est faire de l'inutile
des symphonies de l'essentiel
aimer c'est faire de ces futiles
infinité sous les rimmels
aimer c'est savoir pardonner
pardonner à son propre deuil
jusqu'à la tombe jusqu'à marcher
soudain votre coeur qui s'effeuille
de littérature en poème
puis de poème en cinéma
aux opéras de nos je t'aime
aux chants de ne me quitte pas
aimer c'est toujours se méprendre
prendre vessie pour la lanterne
aimer c'est jamais rien apprendre
des millions de drapeaux en berne
aimer non c'est pas croire en Dieu
oui mais c'est faire sa religion
de son amour et de ses yeux
faire de chaque jour un horizon
aimer c'est faire son propre temple
pour savoir faire de chaque église
la cathédrale que l'on contemple
n'avoir que l'amour pour valise
comme un bras d'honneur aux adultes
aimer c'est rester un enfant
et même quand l'amour vous insulte
aimer c'est rester innocent
contre leur monde en sacrifice
offrir sa vie pour l'autre coeur
pour faire la vertu de nos vices
même au bourreau offrir des fleurs
pour voir son coeur soudain qui tremble
qui sent ses yeux faire des ruisseaux
jusqu'à la mer oui pour la prendre
aimer c'est prendre le bateau
aimer c'est même laisser partir
quand on sait plus aimer pour deux
oui mais c'est savoir retenir
l'autre jusqu'à devenir vieux
aimer c'est finir comme un chien
qui pleure la laisse du tendre maître
aimer c'est vouer au destin
la fatalité de son être
prendre son cou à sa propre corde
embrassant la main du bourreau
qu'importe les fous ou bien les hordes
aimer oui jusqu'à l'échafaud
aimer c'est se battre pour vivre
à chaque heure faire vibrer le coeur
faire de sa vie le plus beau livre
faire de son coeur en bouton de fleur
aimer c'est se battre pour faire
plus la terre plus bel le monde
à quoi ressemblerait l'univers
s'il n'avait pas peint la joconde
aimer c'est bien plus que mille ciels
aimer c'est bien plus que mille cieux
aimer c'est plus que l'éternel
aimer mon amour c'est nous deux
pour qui sait en faire un berceau
aimer c'est savoir créer Dieu
n'est jamais seul dans son tombeau
celui qui a aimé pour deux
de tous les coeurs passés sur terre
ou de se noyer dans les flots
de Venise ou de Saint Nazaire
aimer on ne peut jamais trop
se dire je t'aime, se dire je t'aime
se bouffer d'amour chaque seconde
faire de cette terre de chrysanthèmes
la rose qui sort des pénombres
aimer c'est se battre pour perdre
perdre la vie ou la raison
quite à finir dans les ténèbres
aimer c'est la grande évasion
c'est s'évader loin de ce monde
pour s'enfuir dans les yeux de l'autre
mourir d'amour à en mourir
n'avoir que l'amour pour apôtre
n'avoir que l'amour pour apôtre
Aimer c'est se battre pour perdre
se perdre à en mourir d'aimer
finir le coeur dans la ténèbre
oui dans les ténèbres oui mais
pour un homme ou pour une femme
pour un adieu pour un bonjour
aimer c'est se battre sans armes
oui sans armes que son amour
aimer c'est se battre pour l'autre
aimer c'est se battre pour ceux
qui n'ont que l'amour pour apôtre
aimer non c'est pas croire en Dieu
c'est croire en toi ou lui qu'importe
c'est croire en bien plus grand que tout
même quand la mort frappe à la porte
s'aimer à en devenir fou
aimer c'est partager la pomme
dans le plus beau pays du monde
pour une femme ou pour un homme
pour faire d'un pinceau la joconde
aimer c'est faire de l'inutile
des symphonies de l'essentiel
aimer c'est faire de ces futiles
infinité sous les rimmels
aimer c'est savoir pardonner
pardonner à son propre deuil
jusqu'à la tombe jusqu'à marcher
soudain votre coeur qui s'effeuille
de littérature en poème
puis de poème en cinéma
aux opéras de nos je t'aime
aux chants de ne me quitte pas
aimer c'est toujours se méprendre
prendre vessie pour la lanterne
aimer c'est jamais rien apprendre
des millions de drapeaux en berne
aimer non c'est pas croire en Dieu
oui mais c'est faire sa religion
de son amour et de ses yeux
faire de chaque jour un horizon
aimer c'est faire son propre temple
pour savoir faire de chaque église
la cathédrale que l'on contemple
n'avoir que l'amour pour valise
comme un bras d'honneur aux adultes
aimer c'est rester un enfant
et même quand l'amour vous insulte
aimer c'est rester innocent
contre leur monde en sacrifice
offrir sa vie pour l'autre coeur
pour faire la vertu de nos vices
même au bourreau offrir des fleurs
pour voir son coeur soudain qui tremble
qui sent ses yeux faire des ruisseaux
jusqu'à la mer oui pour la prendre
aimer c'est prendre le bateau
aimer c'est même laisser partir
quand on sait plus aimer pour deux
oui mais c'est savoir retenir
l'autre jusqu'à devenir vieux
aimer c'est finir comme un chien
qui pleure la laisse du tendre maître
aimer c'est vouer au destin
la fatalité de son être
prendre son cou à sa propre corde
embrassant la main du bourreau
qu'importe les fous ou bien les hordes
aimer oui jusqu'à l'échafaud
aimer c'est se battre pour vivre
à chaque heure faire vibrer le coeur
faire de sa vie le plus beau livre
faire de son coeur en bouton de fleur
aimer c'est se battre pour faire
plus la terre plus bel le monde
à quoi ressemblerait l'univers
s'il n'avait pas peint la joconde
aimer c'est bien plus que mille ciels
aimer c'est bien plus que mille cieux
aimer c'est plus que l'éternel
aimer mon amour c'est nous deux
pour qui sait en faire un berceau
aimer c'est savoir créer Dieu
n'est jamais seul dans son tombeau
celui qui a aimé pour deux
de tous les coeurs passés sur terre
ou de se noyer dans les flots
de Venise ou de Saint Nazaire
aimer on ne peut jamais trop
se dire je t'aime, se dire je t'aime
se bouffer d'amour chaque seconde
faire de cette terre de chrysanthèmes
la rose qui sort des pénombres
aimer c'est se battre pour perdre
perdre la vie ou la raison
quite à finir dans les ténèbres
aimer c'est la grande évasion
c'est s'évader loin de ce monde
pour s'enfuir dans les yeux de l'autre
mourir d'amour à en mourir
n'avoir que l'amour pour apôtre
n'avoir que l'amour pour apôtre
Dernière modification par audrey83 le 08 mars 2025, 12:44, modifié 1 fois.
audrey83 a écrit : ↑04 mars 2025, 13:22 Le 21 mars en Provence sonne pour moi comme une belle synchronicité dans les falaises du coeur
Le voila le petit bouquet printanierSpoiler
Sextant de notre éternité
promontoire liberté
amoureuse théorie de la relativité
du temps
esquisse éternelle
tracé un peu flou
intemporel![]()
Nouveau printemps (avec 2 points d'interrogation en spoiler, à ceux qui auront mieux entendu)
Dis pourquoi tu veux fuir
pour un nouveau printemps
pourquoi tu veux partir
quand l'hiver approchant
nous ferait bien vieillir
près d'un feu reposant
Dans les poêles des amours
il faut prendre( le) SON temps
quand tous les feux tout flammes
quand les fruits des passions
ne sauront faire d'aimer
que le triste horizon
de ces incandescents
qui ne durent qu'une saison
Quand apprendre à vieillir
est la seule raison
d'être, ici-bas tu vois tous les deux nous pourrions
quelque soit le chemin faire de cette oraison
funèbre qu'est le temps
OUI comme une chanson
ne s'éteint jamais quelque soit les saisons
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerai corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerais poussières
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerai l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde jusqu'à l'éternité
En amour on finit tous un (peu) JOUR religieux
oui de sa propre mort
je crois du propre pieu
qui nous fendra le coeur
qui coupera pour deux
la pomme ou la poire
qui déchirera les cieux
Un jour ou l'autre on conte
un jour ou l'autre on fait
les bilans puis les comptes
de tous les verbes aimer
Tu reprendras tes bibles
je reprends mes versets
quand le coeur de la cible
devient l'amour tu sais
Elle est tombé la flèche
Cupidon s'est barrée
nous voilà Notre Dame
face au ciel incendié
Quand on a trop brûlé
quand on a trop aimé
quand on a confondu le tout pour la moitié
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerais corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerai poussière
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerais l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde
jusqu'à l'éternité
J'ai dû mal à comprendre
pourquoi tu veux te barrer
pour un amour plus jeune
pour un soleil plus frais
Pourquoi tu veux tomber
dans ces banalités
qui font croire que jeunesse
saurait mieux faire brûler
les amours ici-bas
n'ont pas d'âge tu le sais
que celui qu'ont leur donne
que par la volonté
qu'à chaque jour qui lève
on est un nouveau né
si L on a la sagesse de pouvoir oublier
Je t'aimerai l'hiver, je t'aimerai printemps
je t'aimerais corsaire
oui face aux ouragans
je t'aimerai poussière
et contre tous les vents
et du crépusculaire
jusqu'au soleil levant
je t'aimerais l'automne
je t'aimerai l'été
et si l'horizon sonne
les orages enflammés
je t'aimerai solaire
contre l'obscurité
de la première seconde
jusqu'à l'éternité
Je t'aimerai sauvage
contre (la) LEUR société
je t'aimerai partage
contre cupidité
je t'aimeraiOCEAN DECHAINéSpoiler
?NAUFRAGE
il n'est que dans la cage
qu'on rêve de liberté
je t'aimerai libertaire
les menottes au poignets
comme une identitaire
où vient fraternité
je t'aimerai suicidaire
martyr du verbe aimer
je t'aimerai solitaire
et mêmeCONTRE UNE ARMéESpoiler
?
je t'aimerai révolte
je t'aimerai révolté
je t'aimerai pirate
notre ciel épleuré
je t'aimerai en larmes
je t'aimerai alarmé
je t'aimerai les armes à la la main tu le sais
je t'aimerai futur
et coeur imparfait
et même si le présent
n'est jamais qu'un passé
composé dans les suds
de tous nos verbes aimer
les liens se conjuguent
oui qu'à l'éternité
composé des blessures
notre verbe aimer
les Miens se conjuguent
oui qu'à l'éternité
oui qu'à l'éternité
oui qu'à l'éternité
j ai corrigé en majuscules ce que j entends
merci pour le texte
cette chanson est vraiment magnifique
- CellarDoor
- Messages : 1717
- Inscription : 17 nov. 2019, 16:38
Merci aux courageux
Ca me remotivera peut être à mettre à jour la tanière https://taniere.lesmagnifiques.fr/.

Ca me remotivera peut être à mettre à jour la tanière https://taniere.lesmagnifiques.fr/.
Franchement , tu aurais pu faire un petit effort de quelques heures et nous sortir " Arizona Baby " , en même temps !
Mais j'avoue , " Thème frères d'armes est pas facile !

Partisan de l'Artisan , Artiste à l'Art Triste.
L'Art réalité comme un tableau , dans cette Lutte pour une meilleure Culture.
Le retour aux sources , la musique , sans fioriture.
Libre à nous de devenir , ou redevenir , Peuple Manifestant.
L'Art réalité comme un tableau , dans cette Lutte pour une meilleure Culture.
Le retour aux sources , la musique , sans fioriture.
Libre à nous de devenir , ou redevenir , Peuple Manifestant.
Je ne savais plus si la version instru, c'était Arizona ou Arizona baby
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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