Un idiot à Paris.
Suite
Nous sommes allés dans un camp pour vacciner les enfants. Nous avons quitté le camp après avoir vacciné les enfants contre la polio, et ce vieil homme a couru après nous et il pleurait. Il ne pouvait pas voir. Nous y sommes retournés et ils étaient venus et avaient coupé tous les bras inoculés. Ils étaient là, empilés. Une pile de petits bras. Et je me souviens... Je... Je... J'ai pleuré. Je pleurais comme une grand-mère. Je voulais m'arracher les dents. Je ne savais pas ce que je voulais faire. Et je veux m'en souvenir. Je ne veux jamais l'oublier. Je ne veux jamais oublier. Et puis j'ai réalisé... comme si on m'avait tiré dessus... comme si on m'avait tiré dessus avec un diamant... une balle en diamant en plein dans le front. Et j'ai pensé : Mon Dieu... c'était génial. Le génie. La volonté de faire ça. Parfait, authentique, complet, cristallin, pur. Et puis j'ai réalisé qu'ils étaient plus forts que nous. Parce qu'ils pouvaient supporter que ce n'était pas des monstres. C'étaient des hommes... des cadres entraînés. Ces hommes qui se battaient avec leur coeur, qui avaient des familles, qui avaient des enfants, qui étaient remplis d'amour... mais ils avaient la force... la force... de faire ça.
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Blind test répliques de films
Allez, deuxième chance :
"Ils apprennent à ces mômes à balancer du feu sur des gens mais ne les laisserait pas écrire « enculés » sur leur avions parce qu’ils trouvent ça obscène."
Et encore
"Et si je dis qu’y a aucun danger à surfer sur cette plage capitaine, y a aucun danger à surfer sur cette plage… et puis merde j’vais en faire du surf moi ! J’vais en faire du surf sur cette plage de merde !"
"Ils apprennent à ces mômes à balancer du feu sur des gens mais ne les laisserait pas écrire « enculés » sur leur avions parce qu’ils trouvent ça obscène."
Et encore
"Et si je dis qu’y a aucun danger à surfer sur cette plage capitaine, y a aucun danger à surfer sur cette plage… et puis merde j’vais en faire du surf moi ! J’vais en faire du surf sur cette plage de merde !"
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
La première franchement ça m'est pas revenu, par contre les deux dernières, surtout celle du surf ça m'est revenu direct !
“Avant, je me disais que ma vie était une tragédie. Je me rends compte que c’est une comédie.”
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