Voila qui devrait apaiser tes scroll...
Memento mori
*NDNM*
Je rayonne. Au diable simples mortels, dans mon petit monde à moi, je rayonne. Je prétends, je pourfends, et regardez moi, regardez moi bien, parce que moi je m'regarde, croyez moi, et je ne saurais m'en lasser, je me plais, regardez, n'en loupez rien, pas une miette, pas une lettre, je rayonne et c'est bon.
J'en goute plus que de raison, du moi je, du toi tu pourquoi pas, par des fois, mais surtout du moi je. Je rayonne, mon arbitre bien posé pas plus haut que mon centre de gravité. Je me vois et je m'cache toutes ces choses là, celles là par derrière moi, qui ne sont pas grands choses tant que je n'y sieds pas mon train.
Ahah que je suis remarquable, tout à fait digne d'en être remarqué, je parade, je pavane, bien occupé d'observer le petit bout d'mon nez, sans forcer croyez le je sais rester naturel, les pieds bien encrés dans cette terre qui ne sait pas sa chance d'avoir à me porter.
J'en goute plus que de raison, du moi je, du toi tu pourquoi pas, par des fois, mais surtout du moi je. Je rayonne, mon arbitre bien posé pas plus haut que mon centre de gravité. Je me vois et je m'cache toutes ces choses là, celles là par derrière moi, qui ne sont pas grands choses tant que je n'y sieds pas mon train.
Ahah que je suis remarquable, tout à fait digne d'en être remarqué, je parade, je pavane, bien occupé d'observer le petit bout d'mon nez, sans forcer croyez le je sais rester naturel, les pieds bien encrés dans cette terre qui ne sait pas sa chance d'avoir à me porter.
*NDNM*
Bêtement, une mutation. Un battement d'allèle, un brin de rien. Sufffisant, décisif. Altération définitive de la copie de la copie de l'origine. Amas de globules, prolifération de cellules sans que plus rien ne la régule.
Anomalie. Tumeur des mondes inopérable. Trop près du coeur, et des artères, trop peur de tailler dans la chair.
La guérison n'est qu'un sursis, une évasion sans but précis. À qui l'dis tu. La Maladie c'est aujourd'hui une certitude bien établie.
Comme on chantait au bout d'la nuit on compte les lits jusqu'à l'oubli. Y pas d'répis pour qui n'aura pas faire l'effort d'être compris.
Anomalie. Tumeur des mondes inopérable. Trop près du coeur, et des artères, trop peur de tailler dans la chair.
La guérison n'est qu'un sursis, une évasion sans but précis. À qui l'dis tu. La Maladie c'est aujourd'hui une certitude bien établie.
Comme on chantait au bout d'la nuit on compte les lits jusqu'à l'oubli. Y pas d'répis pour qui n'aura pas faire l'effort d'être compris.
*NDNM*
Souvenons nous des années folles
La frénésie des années vingt
Le temps d'un siècle d'autres refrains
Nous laisse à d'autres farandoles
Mondialisée l'économie
Et toutes sortes de maladies
Centralisé à tous profits
Des Jets-privés, des sans-abris
Toujours plus vite à l'horizon
Se répend l'information
Qu'une pétasse remue ses fesses
et sa poitrine pour quelques pièces
Défendre le droit d'étrangler
En toute légitimité
Si tuer c'est proportionné
Question mérite d'être posée
Souvenons nous des années folles
La frénésie des années vingt
Le temps d'un siècle d'autres refrains
Nous laisse à d'autres farandoles
La frénésie des années vingt
Le temps d'un siècle d'autres refrains
Nous laisse à d'autres farandoles
Mondialisée l'économie
Et toutes sortes de maladies
Centralisé à tous profits
Des Jets-privés, des sans-abris
Toujours plus vite à l'horizon
Se répend l'information
Qu'une pétasse remue ses fesses
et sa poitrine pour quelques pièces
Défendre le droit d'étrangler
En toute légitimité
Si tuer c'est proportionné
Question mérite d'être posée
Souvenons nous des années folles
La frénésie des années vingt
Le temps d'un siècle d'autres refrains
Nous laisse à d'autres farandoles
*NDNM*
Le poids des mots. La masse d'un corps. La lourdeur d'un regard. L'empreinte du passé. La trace d'un vécu. L'instant fossilisé. La marque d'un coup. Le souvenir du geste. Le gout de la douleur. L'image de la faiblesse. La souffrance de l'être. L'agonie tatouée. Le son qu'on entend pas. Le cri du trop tard. L'assourdissement de circonstance. La distraction bienvenue. Le mal, le mal, le mal, et on regarde ailleurs. La menace équivoque et la crainte inaudible. L'appêtit de la bête et le sang nonchalent. La force du muscle et l'innocence de l'âme. Pleurons tristes enfants la honte d'être nés hommes, simple monstre de nuit soumis à ses hormones, d'une queue la fierté ne dépend que la somme des pudeurs qu'il soumet à son membre dressé. La nature implaccable puisse un jour ramenée notre orgueil à la norme d'être civilisé, à la vie à la mort et à la survie, et pourquoi pas un jour, au bonheur pour autrui avant de jouir pour soi.
*NDNM*
Allez crève l'insecte. Meurt de ta suffisance. Petit moucheron minable. Ma lumière t'attire mais tu n'm'f'ras pas d'ombre. Tout juste bon a mourir cramer à l'indécence, sans jamais non jamais ternir l'incadescente personnification que je suis à tes yeux, cherche la perfection petit con je te suis tellement différent que jamais tu n'auras le moindre trait de génie appelant comparaison, je suis ce que tu essayes, c'est ainsi, t'arrives après Mozart gardes tes inepties. Fallait naitre d'un temps ou je n'étais pas la, p'tit merdeux tu n'es rien tant que je le décide, j'suis l'étoile quand tu tentes de n'être que vers luisant.
*NDNM*
- goelandfou
- Messages : 2181
- Inscription : 17 nov. 2019, 17:20
T'as oublié de parler du sida
Spoiler
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
- goelandfou
- Messages : 2181
- Inscription : 17 nov. 2019, 17:20
Merde je savais pas. Balance ton adresse en mp je t'envoie des sacs de riz.
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
-
- Information
-
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 16 invités