Votre citation de l'instant

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Meduse
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Nobody a écrit : 11 mai 2021, 10:37 "Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris."

George Bernard Shaw
Pas d'accord. Le silence est salvateur.
L'indifférence en revanche ...

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Nobody
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"Mais mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais
Je t'aime"

Brel
Pfff

"Un couple sans enfants n'a que le présent, mais l'avenir ne lui appartient pas."
Alice Parizeau
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Nobody
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Pfff a écrit : 14 mai 2021, 11:47 "Un couple sans enfants n'a que le présent, mais l'avenir ne lui appartient pas."
Alice Parizeau
J'aime pas du tout.
Pfff

“Les conneries c’est comme les impôts, on finit toujours par les payer.”
Michel Audiard

Les impôts ou les factures... :/
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Meduse
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"Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. Et le cœur vierge de tout passé nous ouvrirons les yeux sur un nouveau monde..."

ptitboutdepoesie
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Kaio
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Nobody a écrit : 14 mai 2021, 12:23
Pfff a écrit : 14 mai 2021, 11:47 "Un couple sans enfants n'a que le présent, mais l'avenir ne lui appartient pas."
Alice Parizeau
J'aime pas du tout.
non plus.
*NDNM*
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Meduse
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Qu'est ce que la jeunesse ?
Un rêve.
Qu'est ce que l'amour ?
Le contenu du rêve.

Søren Kierkegaard
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Alchimie
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Sans aucune ambiguité, l'antisionisme c'est de l'antisémitisme
o_O

Michel Onfray ( sur Bfm avec Appoline de Malherbe le 12.06.21 )
Dernière modification par Alchimie le 13 juin 2021, 02:08, modifié 1 fois.
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
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Kaio
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on s'en branle des juifs, des wahabits ou des scientologues.

Serieusement, l'ennemi c'est nous même.
*NDNM*
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goelandfou
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Kaio a écrit : 12 juin 2021, 22:04 on s'en branle des juifs, des wahabits ou des scientologues.

Serieusement, l'ennemi c'est nous même.
Qu'est-ce que je disais, toujours le bâton à la main celui là :eek1:
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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Alchimie
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Kaio a écrit : 12 juin 2021, 22:04 on s'en branle des juifs, des wahabits ou des scientologues.
Exact, je parle de Michel Onfray et de son sionisme assumé, pas de tés élucubrations !
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
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goelandfou
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La patrie d'un cochon se trouve partout où il y a du gland.
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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Chapitre X : L’obéissance comme seconde nature

« À force d’obéir, on obtient des réflexes de soumission. »

Anonyme



Le meilleur de sa vie lui échappe mais il continue car il a l’habitude d’obéir depuis toujours. L’obéissance est devenue sa seconde nature. Il obéit sans savoir pourquoi, simplement parce qu’il sait qu’il doit obéir. Obéir, produire et consommer, voilà le triptyque qui domine sa vie. Il obéit à ses parents, à ses professeurs, à ses patrons, à ses propriétaires, à ses marchands. Il obéit à la loi et aux forces de l’ordre. Il obéit à tous les pouvoirs car il ne sait rien faire d’autre. La désobéissance l’effraie plus que tout car la désobéissance, c’est le risque, l’aventure, le changement. Mais de même que l’enfant panique lorsqu’il perd de vue ses parents, l’esclave moderne est perdu sans le pouvoir qui l’a créé. Alors ils continuent d’obéir.

C’est la peur qui a fait de nous des esclaves et qui nous maintient dans cette condition. Nous nous courbons devant les maîtres du monde, nous acceptons cette vie d’humiliation et de misère par crainte.
Nous disposons pourtant de la force du nombre face à cette minorité qui gouverne. Leur force à eux, ils ne la retirent pas de leur police mais bien de notre consentement. Nous justifions notre lâcheté devant l’affrontement légitime contre les forces qui nous oppriment par un discours plein d’humanisme moralisateur. Le refus de la violence révolutionnaire est ancré dans les esprits de ceux qui s’opposent au système au nom des valeurs que ce système nous a lui-même enseignés.
Mais le pouvoir, lui, n’hésite jamais à utiliser la violence quand il s’agit de conserver son hégémonie.

http://delaservitudemoderne.org/francais1.html
La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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goelandfou
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Chapitre X : La paresse comme seconde nature

« À force de citer, on obtient des réflexes de citation. »

Acronyme

Le meilleur de sa vie lui échappe mais il continue car il a l’habitude de citer depuis toujours. La citation est devenue sa seconde nature. Il cite sans savoir pourquoi, simplement parce qu’il sait qu’il doit citer. Citer, produire et désapprouver, voilà le triptyque qui domine sa vie. Il cite ses parents, ses professeurs, ses patrons, ses propriétaires, ses chanteurs. Il cite la loi et les groupes facebook. Il cite n'importe quoi car il ne sait rien faire d’autre. L'improvisation l’effraie plus que tout car l'improvisation, c’est le risque, l’aventure, le changement. Mais de même que l’enfant panique lorsqu’il perd de vue ses parents, l’esclave moderne est perdu sans l'auteur qu'il a cité. Alors ils continuent de citer.

C’est la paresse qui a fait de nous des esclaves et qui nous maintient dans cette condition. Nous nous courbons devant les auteurs du monde, nous acceptons cette vie d’humiliation et de misère par fainéantise.
:thinking1:
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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goelandfou a écrit : 13 juil. 2021, 20:33 Chapitre X : La paresse comme seconde nature

« À force de citer, on obtient des réflexes de citation. »

Acronyme

Le meilleur de sa vie lui échappe mais il continue car il a l’habitude de citer depuis toujours. La citation est devenue sa seconde nature. Il cite sans savoir pourquoi, simplement parce qu’il sait qu’il doit citer. Citer, produire et désapprouver, voilà le triptyque qui domine sa vie. Il cite ses parents, ses professeurs, ses patrons, ses propriétaires, ses chanteurs. Il cite la loi et les groupes facebook. Il cite n'importe quoi car il ne sait rien faire d’autre. L'improvisation l’effraie plus que tout car l'improvisation, c’est le risque, l’aventure, le changement. Mais de même que l’enfant panique lorsqu’il perd de vue ses parents, l’esclave moderne est perdu sans l'auteur qu'il a cité. Alors ils continuent de citer.

C’est la paresse qui a fait de nous des esclaves et qui nous maintient dans cette condition. Nous nous courbons devant les auteurs du monde, nous acceptons cette vie d’humiliation et de misère par fainéantise.
:thinking1:
《Citer, j'ai le droit de citer》
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La lutte elle-même suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux.
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