Sortie de garde à vue
Damoclès comme une épée
Je n'ai rien fait de l'accusation qu'on me porte
Le juge a voulu m'enfermer
Merci madame la juge
D'avoir acté que je puisse respirer loin des bâtiments sans horloge.
Février, celui qui vole la vie des gens que tu aimes et ôtes ta liberté
J'espère que vous ça va
On attend l'apocalypse, ici
Chacun sa pénitentiaire
On essaye de vivre et de rire
C'est ce qui reste dans l'âme
L'amour la famille l'amitié
Les années passent où naît l'amnésie
L'anorexie des jours ou boulimie des nuits
Mon corps est amoindri
Brèche ouverte
Je le ressens de plus en plus, avec force
Comme un souffle faible qui s'installe
Entendre l'irrégularité de la respiration
Insuffler cette certitude de l'esprit
Appétit en sommeil
Sommeil sans repos
Repos sans quiétude
J'entends autour de moi des milliers de bruits
Le calme de la forêt a été remplacé par mon regard vide, noyé du silence bruyant
Mes yeux figés sur le chemin dans l'attente de revoir
L'enfer se dessiner
Brèche ouverte
Je le ressens de plus en plus, avec force
Comme un souffle faible qui s'installe
Entendre l'irrégularité de la respiration
Insuffler cette certitude de l'esprit
Appétit en sommeil
Sommeil sans repos
Repos sans quiétude
J'entends autour de moi des milliers de bruits
Le calme de la forêt a été remplacé par mon regard vide, noyé du silence bruyant
Mes yeux figés sur le chemin dans l'attente de revoir
L'enfer se dessiner
La tempête est passée
La température est basse
L'air frais ça vivifie le corps.
A l'accoutumé, clope en bouche.
J'écoute le passé s'accrocher au présent, ça fait vieillir l'ouïe, j'ai mal de nous voir tourner vinaigre parfois.
On s'habitue à tout, paraît que le poids s'allège quant on l'oubli, comme un futur maligne.
C'est toujours aussi compliqué de faire des phrases, on ne sait plus quoi dire, jouer avec des rimes ce n'est pas pour combler le vide, c'est faire naître du plein l'inutile du silence.
L'âme derrière ces lettres prend de l'âge mais des minutes d'amours j'ai trouvé l'éther contre le malheur
Une distillation de nous en perfusion permanente
Le rêve d'un ventre plein
Des espoirs l'écho
La température est basse
L'air frais ça vivifie le corps.
A l'accoutumé, clope en bouche.
J'écoute le passé s'accrocher au présent, ça fait vieillir l'ouïe, j'ai mal de nous voir tourner vinaigre parfois.
On s'habitue à tout, paraît que le poids s'allège quant on l'oubli, comme un futur maligne.
C'est toujours aussi compliqué de faire des phrases, on ne sait plus quoi dire, jouer avec des rimes ce n'est pas pour combler le vide, c'est faire naître du plein l'inutile du silence.
L'âme derrière ces lettres prend de l'âge mais des minutes d'amours j'ai trouvé l'éther contre le malheur
Une distillation de nous en perfusion permanente
Le rêve d'un ventre plein
Des espoirs l'écho
Y'a tous les projets musicaux en route
J'ai tellement hâte de retrouver mon matos
D'avoir le temps de créer
J'ai plein de choses à t'écrire, de la poésie à mettre en berne
Y'a deux EPs, deux albums
Le poto se forme au mixage, pour que la mayonnaise prenne encore plus
Mille choses à faire
0 vente en cours
Le mécénat c'est pour ceux qui ont le train de vie des rois
J'ai tellement hâte de retrouver mon matos
D'avoir le temps de créer
J'ai plein de choses à t'écrire, de la poésie à mettre en berne
Y'a deux EPs, deux albums
Le poto se forme au mixage, pour que la mayonnaise prenne encore plus
Mille choses à faire
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Le mécénat c'est pour ceux qui ont le train de vie des rois
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