Ben a partir du moment où les connexions nerveuses sont reliés au cerveau évidemment que tout est lié
Et l'orgasme mammaire on en parle ?
La stimulation des seins active la même zone du cerveau que la stimulation du clitoris ou du col de l'utérus. Autrement dit, l'orgasme mammaire existe.
La Sex-ion
- goelandfou
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Bon ça manque de phallus ici.
La vie privée des goélands
Il arrive aux mâles goélands de fuir après avoir laissé trois petits souvenirs à leur conquête d’un soir. Les femelles s’organisent alors, pour le meilleur... et pour le pire.
Quand la femelle goéland pond, c’est en général par lots de trois œufs. Aurait-elle trop lu Madame Figaro pour enfanter aussi systématiquement des triplés ? On ne sait pas bien, mais c’est ainsi que ça se passe. Sauf que les ornithologues marins ont remarqué que quelques rares nids de goélands (1 % environ) se retrouvaient garnis, eux, de six futurs poussins. Comment se fait-ce ?
Eh bien, comme l’explique Bernard Cadiou, de l’association Bretagne Vivante, à Brest, il arrive que deux dames goélands se mettent en ménage, faute de mâles disponibles pour couver avec elle – mâles qui, en revanche, avaient comme par hasard répondu à l’appel lors de la phase de la fécondation, quitte à être infidèles à leur officielle. Mathématiquement, ces couples de lesbiennes ailées pondent donc deux fois plus d’œufs que leurs camarades hétérosexuelles.
Le problème, c’est qu’il s’agit d’un très mauvais calcul. Tout simplement parce que l’incubation chez les oiseaux se déroule toujours selon un système de quarts, comme en mer : aucun couple, gay ou straight, n’a jamais été vu en train de couver à deux, simultanément – pendant que l’un veille sur la future progéniture, l’autre va chercher la becquée. Or, ce nid partagé accueille deux fois plus d’œufs, sans que ne double pour autant sa taille ou la capacité de ses propriétaires à couver. Ainsi, hélas, presque aucun bébé goéland ne pourra éclore des six coquilles, faute d’avoir été suffisamment cajolé.
C’est bien triste, mais c’est la loi d’un monde animal où, ne nous le cachons pas, la distinction queer entre sexe et genre n’a pas encore tout à fait pris. On a néanmoins observé que les deux femelles en couple entretenaient par ailleurs des rapports de séduction et d’intimité physique : ce que l’on a pu comprendre des mouvements de leur bec, de leur position sur le nid ou de leur façon de s’étreindre semble témoigner d’une forme d’érotisme à plumes reconnue par les éthologues. En somme, si la reproduction restera toujours, chez les goélands comme chez les autres, une banale histoire de « papa dans maman », la sexualité non reproductive est en revanche, elle, largement ouverte aux échanges saphiques – tant mieux ! Et après tout, vouloir faire des enfants lorsqu’on ne peut pas tous les couver, lesbien raisonnable ?
La vie privée des goélands
Il arrive aux mâles goélands de fuir après avoir laissé trois petits souvenirs à leur conquête d’un soir. Les femelles s’organisent alors, pour le meilleur... et pour le pire.
Quand la femelle goéland pond, c’est en général par lots de trois œufs. Aurait-elle trop lu Madame Figaro pour enfanter aussi systématiquement des triplés ? On ne sait pas bien, mais c’est ainsi que ça se passe. Sauf que les ornithologues marins ont remarqué que quelques rares nids de goélands (1 % environ) se retrouvaient garnis, eux, de six futurs poussins. Comment se fait-ce ?
Eh bien, comme l’explique Bernard Cadiou, de l’association Bretagne Vivante, à Brest, il arrive que deux dames goélands se mettent en ménage, faute de mâles disponibles pour couver avec elle – mâles qui, en revanche, avaient comme par hasard répondu à l’appel lors de la phase de la fécondation, quitte à être infidèles à leur officielle. Mathématiquement, ces couples de lesbiennes ailées pondent donc deux fois plus d’œufs que leurs camarades hétérosexuelles.
Le problème, c’est qu’il s’agit d’un très mauvais calcul. Tout simplement parce que l’incubation chez les oiseaux se déroule toujours selon un système de quarts, comme en mer : aucun couple, gay ou straight, n’a jamais été vu en train de couver à deux, simultanément – pendant que l’un veille sur la future progéniture, l’autre va chercher la becquée. Or, ce nid partagé accueille deux fois plus d’œufs, sans que ne double pour autant sa taille ou la capacité de ses propriétaires à couver. Ainsi, hélas, presque aucun bébé goéland ne pourra éclore des six coquilles, faute d’avoir été suffisamment cajolé.
C’est bien triste, mais c’est la loi d’un monde animal où, ne nous le cachons pas, la distinction queer entre sexe et genre n’a pas encore tout à fait pris. On a néanmoins observé que les deux femelles en couple entretenaient par ailleurs des rapports de séduction et d’intimité physique : ce que l’on a pu comprendre des mouvements de leur bec, de leur position sur le nid ou de leur façon de s’étreindre semble témoigner d’une forme d’érotisme à plumes reconnue par les éthologues. En somme, si la reproduction restera toujours, chez les goélands comme chez les autres, une banale histoire de « papa dans maman », la sexualité non reproductive est en revanche, elle, largement ouverte aux échanges saphiques – tant mieux ! Et après tout, vouloir faire des enfants lorsqu’on ne peut pas tous les couver, lesbien raisonnable ?
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
T'as dû confondre avec mes tentacules
Les méduses vivent dans tous les océans et les mers du monde, de la surface jusqu’au fond, y compris dans les abysses ! Quelques espèces vivent dans les mangroves et les lacs salés, d’autres se sont adaptées aux eaux douces. Certaines sont transparentes, presque invisibles ; d’autres lancent de vrais feux d’artifice dès qu’on les effleure...
Reproduction des méduses :
Les méduses se reproduisent alternativement de façon sexuée, entre mâles et femelles, et de façon asexuée, par bourgeonnement. Pour compliquer le tout, selon qu'elles vivent près des côtes ou en pleine mer, leur reproduction a lieu de façon différente
- goelandfou
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- Inscription : 17 nov. 2019, 17:20
Ou les tribulations d'un anus sollicité.
T'es pas un animal comme nous tous ?
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
C'est vrai que j'ai le poil rude tu m'as eugoelandfou a écrit : ↑11 janv. 2020, 09:57Ou les tribulations d'un anus sollicité.
T'es pas un animal comme nous tous ?
Si tu me connaissais mieux tu saurais que j'accorde bien plus de valeur à être un sanglier qu'un humain
Mais comme tu voulais faire juste ta blague je te l'accorde j'ai failli me faire pipi dessus
- goelandfou
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- Inscription : 17 nov. 2019, 17:20
Oh le p'tit bout
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
- goelandfou
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- Inscription : 17 nov. 2019, 17:20
Je précise quand même que jparle d' @Alchimie.
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
- goelandfou
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https://www.google.com/amp/s/www.slate. ... ite%3famp
Sortons un peu du cadre, parlons relations D/s
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