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Koolseb
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Pr François Alla : « J'ai démissionné du Haut Conseil de la santé publique car les experts n’ont pas joué leur rôle durant la crise sanitaire »

Le 5 janvier, le journal officiel (JO) actait la démission du Pr François Alla du Haut conseil de la santé publique (HCSP). Ex vice-président de la commission « maladies chroniques » du HCSP, le praticien hospitalier, chef du service de soutien méthodologique et d'innovation en prévention au CHU de Bordeaux, confie au « Quotidien » les raisons de son départ. Il considère que le « Haut conseil » ne dispose pas des moyens suffisants pour mener à bien ses missions. Et juge que les expertises des scientifiques du HCSP sont dévoyées par les politiques.

LE QUOTIDIEN : Pourquoi avez-vous démissionné du Haut conseil de la santé publique ?

Pr FRANÇOIS ALLA : Je voulais tout d’abord dégager du temps pour remplir ma nouvelle mission à la présidence de la Conférence régionale de santé et de l’autonomie (CRSA) de Nouvelle Aquitaine. Mais j’ai également démissionné parce que les experts du HCSP et les agences (HAS, Santé publique France, etc.) n’ont pas joué leur rôle durant la crise sanitaire. Celui-ci consiste à élaborer de l’aide à la décision, y compris quand elle ne va pas dans le sens du décideur ! Or, cette aide à la décision s’est transformée en service après-vente de décisions qui étaient déjà prises en amont.

Dernier exemple en date, l'article récent sur l’impact du passe sanitaire sur le taux de vaccination, la santé et l'économie. Il ne s’agit pas véritablement d’une expertise, mais d’un « travail alibi ». Il a été porté par le Conseil d'analyse économique (CAE), qui est rattaché à Matignon et présidé par Philippe Martin, ancien conseiller économique d’Emmanuel Macron.

Parmi les signataires de ce papier, il y a aussi un membre du Conseil scientifique, le Pr Arnaud Fontanet, qui a milité pour le passe sanitaire. Donc, ce n’est pas un travail scientifique indépendant, au sens d’absence de conflits d’intérêts avec le pouvoir politique. D’autant plus que ce focus a été publié le 18 janvier, soit deux jours après le dépôt d'une saisine du Conseil constitutionnel sur le passe vaccinal.

En dehors du passe sanitaire ou vaccinal, en quoi l’expertise scientifique n’a pas joué son rôle depuis le début de la crise ?

Souvenez-vous des positions sur le masque au début 2020. Le HCSP, comme les autres instances d’ailleurs, a clairement suivi les positions publiques des politiques qui affirmaient que le masque ne servait à rien. Or, son rôle d’instance sanitaire aurait dû consister à dire : « Le masque est nécessaire, c’est un outil de réduction des risques ». Ce sont des choses que les experts savaient, mais ils se sont censurés pour "ne pas mettre le ministre de la Santé en difficulté", comme cela m'a été dit.

Macron avait dit : "On est en guerre". Donc, on ne pouvait pas contredire les affirmations du directeur général de la santé ou du ministre qui avaient dit que c’était inutile, voire dangereux. Sur le masque, même si on pensait autre chose, il ne fallait pas le dire. Dans l’avis que j’ai écrit en mars 2020, j’ai parlé du masque. Le ministère de la Santé m’a clairement fait remarquer que cela n’était pas politiquement correct d’en parler.

On assiste aujourd’hui à un processus de décrédibilisation de toute voix discordante. C’est devenu très dur pour un expert de dire : "Je ne suis pas tout à fait d’accord avec les politiques". Car on risque de nous faire entrer dans le camp des complotistes. Il est par exemple devenu difficile d’émettre le moindre doute sur la politique de vaccination. Les gens sont tétanisés, ils ont peur de passer pour des antivax ou des complotistes.

D’autres raisons vous ont-elles poussé à démissionner ?

Le HCSP manque cruellement de moyens. À titre d’exemple, j’ai piloté un avis complexe, relatif aux bénéfices-risques de la cigarette électronique, publié en novembre dernier. 6 000 articles sont sortis ces dernières années sur le sujet, j’ai dû me charger moi-même de la revue de la littérature, le soir et le week-end ! Pire, pour nous accompagner, nous avons un seul chargé de projet salarié du Haut conseil, mais il est mobilisé sur dix avis à la fois…

On ne peut pas s’appuyer uniquement sur du bénévolat sur des sujets aussi complexes qui nécessitent de faire la revue de la littérature, des entretiens, de rédiger, de communiquer sur l’avis. Durant la crise sanitaire, le HCSP a fourni un travail exceptionnel. Les experts ont travaillé jour et nuit sur leur temps personnel, n’ont pas pris de vacances. Cela n’est même pas reconnu par le recrutement de deux à trois chargés de projet… Je pense aussi que le HCSP doit se donner les moyens au niveau de la prévention et de la promotion de la santé.

C’est-à-dire ?

Un peu avant mon départ du HCSP, j’ai milité pour que l’on se dote à nouveau d’une commission dédiée à la prévention. La France a des performances médiocres dans le domaine : mortalité prématurée extrêmement forte, inégalités sociales et territoriales importantes. Tout le monde est d’accord pour faire ce virage préventif qui nécessite une expertise sur la prévention. Or, ce champ est aujourd’hui complètement vierge, car le HCSP et les agences sanitaires ne s’emparent pas du sujet. C’est dramatique.

Pourquoi affirmez-vous que le HCSP ne s’empare pas du sujet de la prévention ?

Parce que l’expertise en prévention dérange les décideurs. Par exemple, sur le sujet de la couverture vaccinale, on sait que la moitié des non vaccinés ne sont pas des antivax, mais des personnes âgées isolées qui vivent loin des centres de vaccination, des SDF, des migrants qui parlent mal le français, des personnes qui n’ont pas accès à internet… Une politique de prévention efficace, c’est aussi s’intéresser à ces déterminants structuraux : l’aménagement du territoire, les inégalités socio-économiques. Mais tout cela dérange, car cela remet en question les politiques.

Durant la crise sanitaire, le HCSP a émis de nombreux avis techniques mais aucun avis stratégique. Il a pourtant, normalement, une mission stratégique mais c’est le Conseil scientifique qui a fixé les axes stratégiques importants durant la crise : confinement, couvre-feu, stratégie de vaccination, etc. Le HCSP se contente d’émettre des avis techniques de mise en application. On assiste à un dévoiement complet de l’expertise.


https://www.lequotidiendumedecin.fr/act ... t-pas-joue
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Alchimie
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Koolseb a écrit : 25 janv. 2022, 21:53 Alchimie, toi qui est camionneur, tu devrais apprécier ce qui se passe en ce moment au Canada ou des milliers de camionneurs convergent pour faire un blocus contre l'obligation vaccinale. Toutes les explications dans cette vidéo et cet article!

Ça fait plaisir de voir qu'il y en a qui se remuent contre la tyrannie sanitaire!

https://cruciforme.net/plus-de-100-000- ... le-canada/

C'est beau ce qu'ils font au Canada.

En France, le problème est que les cammioneurs n'ont plus le droit de manifester sur la voie publique, sous peine de se voir retiré le permis. Une lois de sarkozy...

C'est la raison pour laquelle il n'y a pratiquement plus aucune manifestation massifs des routiers.
Nous sommes la somme de toutes nos pensée, et nous avons pourtant tous une unicité à nous reco-naître...
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Koolseb
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Merci pour l'info Alchimie!
C'est toujours bien d'avoir les éclaircissements des initiés! ;)

Il n'empêche, je suis un peu déçu par l'attitude lâche et indolente des français face à l'oppression. Cette façon de céder au chantage, de troquer ses droits citoyen contre des piquouses, d'avoir conscience pour la plupart de l'aberration et de l'inutilité de cette vaccination en population générale, mais de ne pas se révolter et se mobiliser face à cette mascarade. Quand je vois la mobilisation massive qui s'est déroulée à Bruxelles samedi dernier, ou ces images du Canada, je suis envieux.

Et pour commencer la journée par une franche rigolade, un petit article sarcastique sur la folie covidiste!

La journée de Gilbert, fanatique du passe vaccinal et covido-suprémaciste

https://www.causeur.fr/la-journee-de-gi ... ste-223029

Extrait:
Lundi 8h15. Gilbert accompagne sa fille (sept ans, triple-vaccinée) en cours. Devant l’école, il lui prodigue quelques conseils. « Surtout, tu n’enlèves pas ton masque, même pour déjeuner. Tu risques un Covid-long, et avec le variant Omicron les salles de réas sont remplies d’enfants. Allez ma fille, va en cours et profite de ta jeunesse ! Je viens te chercher à 16 heures et on ira se faire tester au labo. »

Il l’observe pénétrer dans le cluster géant et l’émotion l’envahit : la prochaine fois qu’il la verra, elle sera peut-être dans un coma artificiel.


.....
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goelandfou
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Koolseb a écrit : 23 nov. 2021, 10:28 L'intelligence c'est l'art de la nuance mon pauvre ami, et contrairement a moi qui essaye en toute occasion de faire la balance entre le pour et le contre, part ta vision binaire et caricaturale tu parais être ce qu'il y a de plus bas sur l'échelle de l'intelligence humaine...
Désolé mais je peux pas m’empêcher :laughing1: :laughing1: :laughing1:
Koolseb a écrit : 26 janv. 2022, 10:29
La journée de Gilbert, fanatique du passe vaccinal et covido-suprémaciste

https://www.causeur.fr/la-journee-de-gi ... ste-223029

Extrait:
Lundi 8h15. Gilbert accompagne sa fille (sept ans, triple-vaccinée) en cours. Devant l’école, il lui prodigue quelques conseils. « Surtout, tu n’enlèves pas ton masque, même pour déjeuner. Tu risques un Covid-long, et avec le variant Omicron les salles de réas sont remplies d’enfants. Allez ma fille, va en cours et profite de ta jeunesse ! Je viens te chercher à 16 heures et on ira se faire tester au labo. »

Il l’observe pénétrer dans le cluster géant et l’émotion l’envahit : la prochaine fois qu’il la verra, elle sera peut-être dans un coma artificiel.
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Alchimie
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Koolseb a écrit : 26 janv. 2022, 10:29 Merci pour l'info Alchimie!
C'est toujours bien d'avoir les éclaircissements des initiés! ;)

Il n'empêche, je suis un peu déçu par l'attitude lâche et indolente des français face à l'oppression. Cette façon de céder au chantage, de troquer ses droits citoyen contre des piquouses, d'avoir conscience pour la plupart de l'aberration et de l'inutilité de cette vaccination en population générale, mais de ne pas se révolter et se mobiliser face à cette mascarade. Quand je vois la mobilisation massive qui s'est déroulée à Bruxelles samedi dernier, ou ces images du Canada, je suis envieux.


Tu prêche un convaincu, qui a tout fait pendant 2 ans avec les gilets jaunes, pour réveiller les Français, face à la dictature entre autres.

Mais c'est toujours la même histoire, l'une des armes les plus puissantes du système, et de la finance, sont le contrôle des médias.

Et quand la propagande te rabâche 24/24 que "la seule solution, c'est la vaccination".

Quand cette même propagande te mets dans des cases "complotiste" toute opinion divergente de la pensée unique, et bien là masse de la population finie par croire aux mensonges d'état et à se soumettre à la dictature...

C'est triste mais c'est dans la nature humaine, ceci depuis des milliers d'années..
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Koolseb
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En effet Alchimie, charge a tous ceux qui sont lucides sur la situation de le communiquer autour d'eux pour faire basculer le rapport de force. On voit actuellement que de plus en plus de médecin arrivent à prendre la parole pour remettre en cause la gestion sanitaire, ça donne de l'espoir, on sent que l'on est plus très loin du point de bascule!



Je viens de découvrir la charte de Biderman, qui traite de la torture psychologique. C'est fascinant de voir comment le gouvernement a fait usage de ces ressorts pour asservir le peuple...

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Charte_ ... chologique

La charte de Biderman de la torture psychologique, également appelé principes de Biderman, est un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman en 1957 pour illustrer les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre de Corée. Ce tableau répertorie huit principes généraux et chronologiques de torture qui peuvent briser psychologiquement un individu. [...]

Après des entretiens approfondis avec des prisonniers renvoyés aux Etats-Unis, Biderman conclut qu'il y a trois éléments principaux constitutifs du contrôle coercitif utilisé par les interrogateurs communistes : « la dépendance, la débilité et la terreur ». [...]

Le tableau comprend les méthodes de coercition suivantes :


isoler la victime : priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister. Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité ;

monopoliser la perception : fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection. Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité. Punir toutes les actions d'insoumission ;

induire l'épuisement : affaiblir la volonté de résistance, qu'elle soit physique ou mentale ;

présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir ;

montrer des indulgences occasionnelles : procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher également ainsi à l’accoutumance aux privations imposées ;

démontrer la toute-puissance du pouvoir : suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l'autorité ;

dégrader la victime : faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale ;

exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l'autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.



Sur ce dernier point difficile de ne pas penser à tout ces gens qui portent le masque en extérieur...
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Koolseb a écrit : 26 janv. 2022, 12:52
exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l'autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.



Sur ce dernier point difficile de ne pas penser à tout ces gens qui portent le masque en extérieur...
Quand on voit certaines personnes au milieu d'une manif, sans masque, positif au covid et tout fier, on comprend mieux la stupidité des autorités, qui s'adaptent aux gens :happy6:
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Après l'Espagne, l'Angleterre, la République Tchèque, l'Ecosse et l'Irlande, un nouveau pays Européen à réalisé qu'il n'y avait aucune cohérence entre la réalité sanitaire et la gestion politique hors-sol et liberticide. Bravo au Danemark pour cet effort intellectuel!

Covid : le Danemark s'apprête à lever toutes les restrictions sanitaires

https://www.lindependant.fr/2022/01/25/ ... 067777.php

EXTRAIT:

Le journal danois rapporte que ce changement se fonde sur les recommandations d'un groupe d'experts qui conseille en outre de supprimer la classification du COVID-19 comme maladie constituant une menace critique pour la société.
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A priori ça se mobilise côté camionneur!

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Graphique representant les risques de décès hospitaliers et provenant de l'organisme officiel de statistiques françaises, la DRESS.

On y voit clairement comment omicron est bénin. Comment la vaccination réduit le risque de décès chez les plus de 60 ans, et surtout les plus de 80 ans. Comment la vaccination chez les moins de 60 ans est inutile. Évidemment.
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Koolseb a écrit : 30 janv. 2022, 21:45 Image

Graphique representant les risques de décès hospitaliers et provenant de l'organisme officiel de statistiques françaises, la DRESS.

On y voit clairement comment omicron est bénin. Comment la vaccination réduit le risque de décès chez les plus de 60 ans, et surtout les plus de 80 ans. Comment la vaccination chez les moins de 60 ans est inutile. Évidemment.
C'est bien connu que le vaccin est fait pour omicron :happy1:
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Covidisme : les libertés conditionnelles préparent le transhumanisme

https://reseauinternational.net/covidis ... humanisme/

La civilisation européenne est indissociable de la conquête des libertés individuelles. C’est elle, cette civilisation, qui glorifie Prométhée, Spartacus ou Mandrin, qui interdit l’esclavage, qui invente l’Habeas Corpus et qui sacralise les droits fondamentaux des personnes.

Dans cette civilisation, les droits fondamentaux des personnes sont considérés comme absolus. La liberté de circulation, la liberté d’entreprendre, la liberté de réunion et de manifestation, la liberté d’expression, le droit au respect de la vie privée, le droit à la sécurité, le droit à l’égalité font partie de ces droits fondamentaux. Ces droits sont « absolus » dans la mesure où la personne en bénéficie absolument, par nature et en tant que citoyen. Ils ne peuvent lui être ôtés, sauf si celle-ci enfreint la loi… à condition toutefois que la loi ne soit ni arbitraire ni tyrannique, auquel cas le citoyen disposera d’un autre droit fondamental : celui de « résister à l’oppression ».

Beaucoup l’ont noté : le covidisme substitue des droits conditionnels aux droits absolus. Désormais, les droits fondamentaux ne sont plus des libertés absolues découlant naturellement de notre citoyenneté et de notre humanité mais des libertés conditionnelles octroyées par l’Etat « à condition de » : à condition de porter un masque, à condition de respecter les distances sociales, à condition d’avoir un passe sanitaire ou vaccinal, à condition de se faire injecter…

Vous pouvez aller au restaurant, « à condition de »…

Vous pouvez vous déplacer librement, « à condition de »….

Vous pouvez exercer telle ou telle profession, « à condition de »…

Vous pouvez accéder aux hôpitaux, « à condition de »…

Vous pouvez vous réunir ou manifester, « à condition de »…

Vous pouvez vous exprimer sans être censuré, « à condition de »…

Et bientôt vous pourrez avoir une vie privée, « à condition de »…

L’exercice de nos libertés les plus fondamentales, comme celle de se déplacer ou de se réunir, est subordonné à un acte d’obéissance et de soumission : se faire injecter dans le corps une substance expérimentale. Ces pseudo-libertés sont donc des avantages discriminatoires concédés à certains par une autorité supérieure, gouvernementale en l’occurrence. Si les mots ont un sens, ces “libertés“ octroyées par l’Etat sont donc des « privilèges » !

Les privilégiés disposent de certaines prérogatives qui les autorisent par exemple à visiter un proche à l’hôpital, ou à boire un café à la terrasse d’un bar. Mais les privilèges qui leur sont accordés sont des privilèges temporaires que dureront autant que durera leur soumission. D’autre part, les privilèges en question peuvent être ôtés à tout moment, par simple décision gouvernementale, et sans même que le privilégié ait failli à son devoir d’obéissance. Un privilégié est donc dans une aléatoire « liberté conditionnelle ». C’est une sorte de détenu qui accepterait, pour quelques miettes de pseudo-liberté, de se conformer aux conditions qu’on lui impose, et de vivre en permanence sous le regard sévère d’un juge d’application des peines. La contrainte par corps, c’est-à-dire le renvoi brutal du détenu en détention ou du privilégié en assignation à domicile, est une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête de tous ceux qui acceptent cette vie en « liberté conditionnelle ».

Selon le discours d’Etat, l’injection est un dû de l’individu envers la collectivité. Par devoir, celui-ci, qui aurait une sorte de dette sanitaire envers tous, devrait confier son corps à un injecteur payé par le gouvernement. Par cette opération, l’Etat s’octroie d’une part un droit incroyable sur notre corps, puisqu’il s’autorise à en modifier la machinerie génétique, mais il signifie aussi d’autre part que cette machinerie fait l’objet d’une dépossession et d’un changement de propriétaire.

Posons-nous en effet la question : qui est propriétaire de mon corps si l’Etat a le droit d’en disposer et de modifier comme bon lui semble son fonctionnement génétique ? Qui est propriétaire de mon corps si l’Etat est en mesure de le couper de toute interaction sociale, de le mettre anthropologiquement hors service, bref, en quelque sorte de le « mettre à l’arrêt » comme on met à l’arrêt un appareil qui dysfonctionne ?

Usufruit : « droit d’utiliser un bien sans en être propriétaire ».

L’obligation de me faire injecter un produit nocif pour obtenir des libertés relatives et « à condition de », signifie concrètement que je ne m’appartiens plus, que mon âme n’est que l’usufruitière d’un corps qui appartient en fait à l’Etat, puisque celui-ci en dispose comme il l’entend.

Le Système a détruit les peuples. Aujourd’hui, il dissocie l’individu, il le fractionne littéralement. L’Etat s’empare des corps et les réinitialise à sa guise. La conscience et l’âme ne sont plus que les usufruitières d’un amas de chair, d’os et bientôt de “technologies embarquées“. L’injection ouvre ainsi la voie à une séparation du corps et de l’âme. A l’Etat les corps devenus objets, aux âmes la vaine recherche de leur corps égaré dans l’artefact. Zombies et fantômes, voilà les entités du monde d’après imaginé par Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates.

L’individu injecté est réduit à l’état de machinerie biologique dont l’Etat règle désormais le fonctionnement interne. Le moindre dysfonctionnement et c’est la mise à l’arrêt immédiat. Pas de troisième dose ? Alors plus de passe vaccinal, plus de travail, plus de loisirs, plus de vie sociale ! Mais les ingénieurs sociaux vont s’occuper de vous. Un petit réglage ici, une petite contrainte là, un coup de marteau à l’occasion… et voilà votre machinerie qui repart, plus tout à fait la même cependant.

Nos libertés fondamentales deviennent relatives dans le même temps où il est attendu que notre obéissance soit absolue. Or, dans notre civilisation, l’obéissance à l’Autorité ne se conçoit que du point de vue de la légitimité. L’obéissance est donc par nature “relative“ : à l’illégitime, nul n’est censé obéir, tous ont un devoir de résistance. Au contraire, les libertés fondamentales ont toujours eu un caractère absolu : l’autorité qui ne les respecte pas semble injuste et s’expose aux révoltes. Une obéissance absolue et inconditionnelle associée à des libertés fondamentales conçues comme relatives et conditionnelles exprime une inversion des valeurs qui relève d’une approche qui n’appartient pas à la civilisation européenne. Autrement dit, ce chassé-croisé traduit un changement de civilisation.

Et donc, dans quelle civilisation entrons-nous ? A l’évidence, dans une civilisation qui n’en est plus véritablement une, puisqu’elle ne se détermine pas en fonction d’une grille culturelle, mais d’une hyper-rationalité mécaniciste qui réduit le vivant à des choses. Ici les hommes ne sont plus ni des êtres de culture, ni des êtres de nature, mais de plus en plus des objets et des mécanismes connectés. A terme, ces mécanismes possédés par le Système n’auront pas plus d’âme qu’une machine à laver ou un ordinateur. L’ensemble des ces mécanismes ne formera plus ni un peuple, ni une civilisation, même pas une usine de production, puisque l’intelligence artificielle concentrera toutes les tâches de production. Cet ensemble ne sera plus qu’un résidu d’humanité amoindrie, sans véritable conscience, abruti par des capteurs et des puces RFID qui diront quoi faire et quoi penser.

Il faut en être conscient dès aujourd’hui, avant qu’il ne soit trop tard : quand on accepte d’aliéner son libre-arbitre, quand on accepte de confier son corps et de n’en être plus vraiment le maître, on prend le risque d’être traité comme une chose et d’être ravalé au rang d’objet.

Et aucune âme ne trouvera sa place dans un objet !

Le combat qui commence est un combat métaphysique. Il dépasse tout ce que nous avons pu imaginer jusqu’à présent.
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Koolseb a écrit : 01 févr. 2022, 07:15 Covidisme : les libertés conditionnelles préparent le transhumanisme

https://reseauinternational.net/covidis ... humanisme/

La civilisation européenne est indissociable de la conquête des libertés individuelles. C’est elle, cette civilisation, qui glorifie Prométhée, Spartacus ou Mandrin, qui interdit l’esclavage, qui invente l’Habeas Corpus et qui sacralise les droits fondamentaux des personnes.

Dans cette civilisation, les droits fondamentaux des personnes sont considérés comme absolus. La liberté de circulation, la liberté d’entreprendre, la liberté de réunion et de manifestation, la liberté d’expression, le droit au respect de la vie privée, le droit à la sécurité, le droit à l’égalité font partie de ces droits fondamentaux. Ces droits sont « absolus » dans la mesure où la personne en bénéficie absolument, par nature et en tant que citoyen. Ils ne peuvent lui être ôtés, sauf si celle-ci enfreint la loi… à condition toutefois que la loi ne soit ni arbitraire ni tyrannique, auquel cas le citoyen disposera d’un autre droit fondamental : celui de « résister à l’oppression ».

Beaucoup l’ont noté : le covidisme substitue des droits conditionnels aux droits absolus. Désormais, les droits fondamentaux ne sont plus des libertés absolues découlant naturellement de notre citoyenneté et de notre humanité mais des libertés conditionnelles octroyées par l’Etat « à condition de » : à condition de porter un masque, à condition de respecter les distances sociales, à condition d’avoir un passe sanitaire ou vaccinal, à condition de se faire injecter…

Vous pouvez aller au restaurant, « à condition de »…

Vous pouvez vous déplacer librement, « à condition de »….

Vous pouvez exercer telle ou telle profession, « à condition de »…

Vous pouvez accéder aux hôpitaux, « à condition de »…

Vous pouvez vous réunir ou manifester, « à condition de »…

Vous pouvez vous exprimer sans être censuré, « à condition de »…

Et bientôt vous pourrez avoir une vie privée, « à condition de »…

L’exercice de nos libertés les plus fondamentales, comme celle de se déplacer ou de se réunir, est subordonné à un acte d’obéissance et de soumission : se faire injecter dans le corps une substance expérimentale. Ces pseudo-libertés sont donc des avantages discriminatoires concédés à certains par une autorité supérieure, gouvernementale en l’occurrence. Si les mots ont un sens, ces “libertés“ octroyées par l’Etat sont donc des « privilèges » !

Les privilégiés disposent de certaines prérogatives qui les autorisent par exemple à visiter un proche à l’hôpital, ou à boire un café à la terrasse d’un bar. Mais les privilèges qui leur sont accordés sont des privilèges temporaires que dureront autant que durera leur soumission. D’autre part, les privilèges en question peuvent être ôtés à tout moment, par simple décision gouvernementale, et sans même que le privilégié ait failli à son devoir d’obéissance. Un privilégié est donc dans une aléatoire « liberté conditionnelle ». C’est une sorte de détenu qui accepterait, pour quelques miettes de pseudo-liberté, de se conformer aux conditions qu’on lui impose, et de vivre en permanence sous le regard sévère d’un juge d’application des peines. La contrainte par corps, c’est-à-dire le renvoi brutal du détenu en détention ou du privilégié en assignation à domicile, est une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête de tous ceux qui acceptent cette vie en « liberté conditionnelle ».

Selon le discours d’Etat, l’injection est un dû de l’individu envers la collectivité. Par devoir, celui-ci, qui aurait une sorte de dette sanitaire envers tous, devrait confier son corps à un injecteur payé par le gouvernement. Par cette opération, l’Etat s’octroie d’une part un droit incroyable sur notre corps, puisqu’il s’autorise à en modifier la machinerie génétique, mais il signifie aussi d’autre part que cette machinerie fait l’objet d’une dépossession et d’un changement de propriétaire.

Posons-nous en effet la question : qui est propriétaire de mon corps si l’Etat a le droit d’en disposer et de modifier comme bon lui semble son fonctionnement génétique ? Qui est propriétaire de mon corps si l’Etat est en mesure de le couper de toute interaction sociale, de le mettre anthropologiquement hors service, bref, en quelque sorte de le « mettre à l’arrêt » comme on met à l’arrêt un appareil qui dysfonctionne ?

Usufruit : « droit d’utiliser un bien sans en être propriétaire ».

L’obligation de me faire injecter un produit nocif pour obtenir des libertés relatives et « à condition de », signifie concrètement que je ne m’appartiens plus, que mon âme n’est que l’usufruitière d’un corps qui appartient en fait à l’Etat, puisque celui-ci en dispose comme il l’entend.

Le Système a détruit les peuples. Aujourd’hui, il dissocie l’individu, il le fractionne littéralement. L’Etat s’empare des corps et les réinitialise à sa guise. La conscience et l’âme ne sont plus que les usufruitières d’un amas de chair, d’os et bientôt de “technologies embarquées“. L’injection ouvre ainsi la voie à une séparation du corps et de l’âme. A l’Etat les corps devenus objets, aux âmes la vaine recherche de leur corps égaré dans l’artefact. Zombies et fantômes, voilà les entités du monde d’après imaginé par Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates.

L’individu injecté est réduit à l’état de machinerie biologique dont l’Etat règle désormais le fonctionnement interne. Le moindre dysfonctionnement et c’est la mise à l’arrêt immédiat. Pas de troisième dose ? Alors plus de passe vaccinal, plus de travail, plus de loisirs, plus de vie sociale ! Mais les ingénieurs sociaux vont s’occuper de vous. Un petit réglage ici, une petite contrainte là, un coup de marteau à l’occasion… et voilà votre machinerie qui repart, plus tout à fait la même cependant.

Nos libertés fondamentales deviennent relatives dans le même temps où il est attendu que notre obéissance soit absolue. Or, dans notre civilisation, l’obéissance à l’Autorité ne se conçoit que du point de vue de la légitimité. L’obéissance est donc par nature “relative“ : à l’illégitime, nul n’est censé obéir, tous ont un devoir de résistance. Au contraire, les libertés fondamentales ont toujours eu un caractère absolu : l’autorité qui ne les respecte pas semble injuste et s’expose aux révoltes. Une obéissance absolue et inconditionnelle associée à des libertés fondamentales conçues comme relatives et conditionnelles exprime une inversion des valeurs qui relève d’une approche qui n’appartient pas à la civilisation européenne. Autrement dit, ce chassé-croisé traduit un changement de civilisation.

Et donc, dans quelle civilisation entrons-nous ? A l’évidence, dans une civilisation qui n’en est plus véritablement une, puisqu’elle ne se détermine pas en fonction d’une grille culturelle, mais d’une hyper-rationalité mécaniciste qui réduit le vivant à des choses. Ici les hommes ne sont plus ni des êtres de culture, ni des êtres de nature, mais de plus en plus des objets et des mécanismes connectés. A terme, ces mécanismes possédés par le Système n’auront pas plus d’âme qu’une machine à laver ou un ordinateur. L’ensemble des ces mécanismes ne formera plus ni un peuple, ni une civilisation, même pas une usine de production, puisque l’intelligence artificielle concentrera toutes les tâches de production. Cet ensemble ne sera plus qu’un résidu d’humanité amoindrie, sans véritable conscience, abruti par des capteurs et des puces RFID qui diront quoi faire et quoi penser.

Il faut en être conscient dès aujourd’hui, avant qu’il ne soit trop tard : quand on accepte d’aliéner son libre-arbitre, quand on accepte de confier son corps et de n’en être plus vraiment le maître, on prend le risque d’être traité comme une chose et d’être ravalé au rang d’objet.

Et aucune âme ne trouvera sa place dans un objet !

Le combat qui commence est un combat métaphysique. Il dépasse tout ce que nous avons pu imaginer jusqu’à présent.
Parler de libertés individuelles quand on "pense"
« L’immigration de masse est-elle un fruit de l’arbre républicain, si bien qu’il ne serait pas possible de dénoncer la toxicité de ce fruit sans remettre en cause l’arbre qui le porte ? Cela voudrait dire que l’immigration de masse n’est pas un accident ou une dérive momentanée mais qu’elle se trouve déjà inscrite, depuis 1789, dans la composition génétique du régime en place. »
:laughing: :laughing:

Du coup pour répondre à sa question
"Vous pouvez vous déplacer librement, « à condition de »…." d'être français blanc de souche sur 5 générations :happy7:
L'ours en cage ne peut que satisfaire l'ambition aventureuse des faibles, tandis que le cerf sauvage évoque une liberté et une vigueur pénétrantes
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Conférence de presse "Liberons nos droits!"
Les soignants suspendus prennent la parole
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Un hôpital israélien révèle que 80% des cas de COVID sont parmi les vaccinés

https://americasfrontlinedoctors-org.tr ... x_tr_hl=en

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Tous vaccinés Tous protégés!!!! :laughing:
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Très bonne lecture de la situation de Gérald Kierzek, comme d'hab!

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