La recherche a retourné 595 résultats
Aller sur la recherche avancée
- 20 avr. 2021, 19:05
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Tjurunga
- Réponses : 174
- Vues : 90090
- 19 avr. 2021, 11:29
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Tjurunga
- Réponses : 174
- Vues : 90090
- 18 avr. 2021, 22:15
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Tjurunga
- Réponses : 174
- Vues : 90090
- 17 avr. 2021, 23:50
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Tjurunga
- Réponses : 174
- Vues : 90090
- 17 avr. 2021, 14:04
- Forum : L'actualité de Saez
- Sujet : Culture contre Culture
- Réponses : 1835
- Vues : 593224
Re: Culture contre Culture
On est tous le bâtard de quelqu'un d'autre. Non ?
- 17 avr. 2021, 11:44
- Forum : 4ème Art
- Sujet : La playlist Magnifiques
- Réponses : 1616
- Vues : 670240
- 17 avr. 2021, 11:41
- Forum : L'actualité de Saez
- Sujet : Culture contre Culture
- Réponses : 1835
- Vues : 593224
Re: Culture contre Culture
C'est triste.
Enfin, ça ne change pas quoi.
Critiquer c'est un premier pas. On attends toujours tes solutions hein.
Enfin, ça ne change pas quoi.
Critiquer c'est un premier pas. On attends toujours tes solutions hein.
Spoiler
Si tu brûles le système comme tes graisses on est pas rendu.
- 07 avr. 2021, 12:42
- Forum : L'actualité de Saez
- Sujet : Culture contre Culture
- Réponses : 1835
- Vues : 593224
Re: Culture contre Culture
EN AVRIL NE TE DÉCOUVRES PAS D'UN FIL
- 20 mars 2021, 01:43
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Tjurunga
- Réponses : 174
- Vues : 90090
Re: Tjurunga
Le niveau de la mer monte
Toujours les démons en surnombres
J'm'étonne plus de voir qu'eux
Le niveau de la mer monte
Toujours les démons en surnombres
J'm'étonne plus de voir que
De la merde sur les réseaux, chacun a ses raisons
Chaque âme a ses démons, j'suis désolé de trop dire "déso"
De parler mal des autres quand ils ne font que ce que je fais
J'les juge de mal faire car moi-même j'y suis pas arrivé Sur la ligne de départ j'suis en retard
Mais j'ai des parts de ouam qui tracent qui prennent de l'avance
Tolosa la nuit j'suivais sa ligne de tramway
Sur la piste de la trame de mon futur qui m'attendait
A trop chercher l'alchimie j'l'ai pas trouvé
Y'a pas de trésor sous mes pieds à revenir sur mes pas
C'est surtout mes pompes que j'ai troué
j'fais des efforts même si j'sais bien que rien ne durera
je t'haïssais hier aujourd'hui j't'apprécie , l'rap
Comme quoi tout est possible, demain encore j'te gratter
Faut parfois mûrir pour comprendre que c'était pas l'heure de ceuillir sa vie,
Mais sur la branche faut pas s'laisser pourrir
Immobile la bile grossit, pendant qu'leurs beaux habits nous mentent
Que l'Argent détruit l'monde, des cris d'détresse qui nous hantent
et à force de l'dire sortirons-nous du cycle ?
Si j'écris ce ne sont qu'des prières pour l'avenir
A part produire du son et cultiver mes songes
J'vise pas le blé mais le frisson ouais de trouver le sens
Comme un art de vivre
quand je narre mes rimes
C'est souvent que me nargue mes signes
Qu'y'a plus d'amarre dans l'navire
Pendant qu'l'amer stagne crois-tu qu'nos cœurs chavirent ?
Moi j'entends la nouvelle vague venir
En périple j'trouve de l'espoir sur des milliers d'visages / On manque d'arrêté de péril, regarde la rue d'Aubagne
J'vois qu'des bouchons sur le périph' d'une société malade
si la santé c'est l'travail,
On attends tous l'arrêt des usines
Avant qu'nos habitudes nous fonde dans un moule
Qu'à défaut d'humains on nous résume être à une foule
qui ne pense plus
- 18 mars 2021, 12:32
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : Spiritualité contre matéralisme, tout ce qui n'est pas matière est lumière
- Réponses : 16
- Vues : 10249
Re: Spiritualité contre matéralisme, tout ce qui n'est pas matière est lumière
Comment ça dieu n'existe pas ?
Il est à la bourre, dieu ?
On est illuminé parce-que la lumière passe
Puis dieu c'est aussi le diable, ceux qui savent que la lumière touche savent aussi qu'en s'en éloignant les pénombres peuvent surgir des profondeurs.
Il est à la bourre, dieu ?
On est illuminé parce-que la lumière passe
Puis dieu c'est aussi le diable, ceux qui savent que la lumière touche savent aussi qu'en s'en éloignant les pénombres peuvent surgir des profondeurs.
- 16 mars 2021, 21:51
- Forum : Mes libertés
- Sujet : L'anorexie des jours ou boulimie des nuits
- Réponses : 69
- Vues : 39298
Re: L'anorexie des jours ou boulimie des nuits
Et pendant ce temps Peb a obtenu son code.
- 15 mars 2021, 17:41
- Forum : L'actualité de Saez
- Sujet : Culture contre Culture
- Réponses : 1835
- Vues : 593224
Re: Culture contre Culture
Tousse ensemble!
- 15 mars 2021, 13:07
- Forum : 4ème Art
- Sujet : La playlist Magnifiques
- Réponses : 1616
- Vues : 670240
- 15 mars 2021, 12:44
- Forum : L'actualité de Saez
- Sujet : Culture contre Culture
- Réponses : 1835
- Vues : 593224
Re: Culture contre Culture
J'adorerais y apporter mon doigté hein
- 14 mars 2021, 12:20
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?
- Réponses : 89
- Vues : 36961
Re: Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?
Bah j'avais commencé aussi y'a deux ans j'crois et je l'avais lâché ! et je suis replongé dedanssuffragettes AB a écrit : ↑14 mars 2021, 11:13Le maitre et marguerite je l'ai lâché à la page 252 y a 4/5 ans, il a rejoint ma collection de livres délaissés et inachevés..
je continue l'anomalie, j'en suis à la page 256, et je trouve que la tournure que prend le livre est vraiment existentielle et philosophique, quasi-sûre à 100 pour cent que l'auteur a puisé son inspiration dans la série Dark. Et j'ai fini l'introduction captivante du livre plébiscitée par méduse, "chanter au-dessus des os", la suite du programme chapitre un "hurler avec les loups, résurrection de la femme sauvage, la loba, la louve" ...non non je ne lis pas vite. Etant donné la chronologie que je me suis fixée je ne suis pas prête de lire le livre tibétain avant un certain temps, je dois finir " l'anomalie", continuer à me reconnecter en même temps à ma féminité sauvage avec le livre de Clarissa Pinkola Estès et pas que (c'est chronophage l'instinct sauvage ), pour trouver "la paix des profondeurs" en "contrepoint" et ensuite je serai parée pour me plonger dans "le livre de la vie et de la mort" , Eve recevra alors l'absolution dans des contrées plus spirituelles, moins instinctives haha.
Mon copain lit 1984, livre que je lui ai offert pour son anniversaire car il est né en "1984", il le lit pour la 2ème fois, il a réussi le test . 1984, la base quoi .
Que de lectures
Toujours pas pour ma part le 1984
J'suis un peu lent aussi dans mes lectures
Puis là j'suis sur le code, on peut pas être partout à la fois !
- 14 mars 2021, 12:18
- Forum : Mes libertés
- Sujet : L'anorexie des jours ou boulimie des nuits
- Réponses : 69
- Vues : 39298
Re: L'anorexie des jours ou boulimie des nuits
Spoiler
( J'ai déserté les réseaux )
Y'avait une odeur de renaissance, dès le réveil.
Qui m'avait visité dans la nuit pour me souffler toutes ces pensées ?
C'était une belle journée d'été, sous un soleil radieux.
Aller voir les copains dans leur vallée.
Préparer son sac pour partir vers de nouvelles aventures.
Essuyer une heure et demie de route.
Toujours mon sac de voyage vert sur le dos depuis 2015, rempli comme à son habitude de vêtements en boules, de quelques vivres, de quelques livres, de quoi écrire et d'autres.
Démarrer le moteur, rester l’œil attentif dans le rétroviseur.
Entendre le moteur perdre sa cadence dans les montées, repartir de plus belle dans les descentes, succession de lieux-dits, de virages, de panneaux de signalisations.
Après avoir passé Aubusson, je sentais se lever en moi un vent nouveau.
J'ai parlé à l'invisible ou est-il venu me rencontrer ?
J'avais comme la présence chimérique d'un guide sur mon épaule.
Il m'a parlé de toi alors je lui ai demandé notre rencontre, il s'est tût et à rit.
Il m'a demandé ce que je faisais là et s'est tût.
Ce que je ne savais pas c'est que les plans de l'univers et ses synchronicités étaient déjà en place.
Spoiler
( Ça faisait un an que je la voyais passer sur les réseaux.
Un an que des algorithmes me proposait de l'ajouter.
Un an qu'elle était là, déjà dans mon horizon sans que je ne m'en aperçoive vraiment. )
Un an que des algorithmes me proposait de l'ajouter.
Un an qu'elle était là, déjà dans mon horizon sans que je ne m'en aperçoive vraiment. )
Et non je n'étais pas sous quelconque substance qui aurait pu modifier ma perception.
( Il arrive à beaucoup d'entendre des bruits et le commun du mortel tend à penser que c'est le fruit de l'imaginaire, que l'oreille fait des farces, mais non.
Ce n'est pas parce qu’on ignore l'origine d'un phénomène qu'il ne se produit pas, qu'il n'a pas de racine, qu'il n'existe pas.
Face à l'inconnu, on parle d'hallucination, de diableries, de divin, comme pour fuir ce qui nous est étranger, ou alors les cloisonner dans des termes abstraits car il nous refuse d'admettre la possible existence des invisibles . )
Seraient-ce les lois de l'attraction ?
Je n'ai jamais été autant sûr, aujourd'hui, d'être sur le chemin que je devais emprunter.
Je ne pense pas avoir eu vraiment le choix.
De la mythomanie sous alcool qui s'ignore, éclatant à coup de poing la porte de ma chambre jusqu'aux tentatives d'attenter à mes jours.
J’accueille à bras ouverts cette idée que nous sommes déjà déterminés d'avance.
J’accueille à bras ouverts cette idée que nous pouvons toujours nous déterminer.
J’accueille à bras ouverts cette idée que tout est possible et qu'il suffit parfois de sentir la brèche pour s'y engouffrer, bien qu'il arrive que la vie nous y pousse sans accord ou nous incite à rentrer.
Personne n'est en haut quand j'arrive. Je me gare à côté de chez E et C, les initiateurs de ce weekend camping/soirées et feux de bois.
Shaka, attaché, me regarde passer nonchalant dans sa niche métallique, semble sortir d'un ennui profond et se met à aboyer, annonçant mon arrivée.
J'imagine qu'en contre-bas, dans cette vallée féerique ils ont eu l'écho de mon moteur de plus.
Je me gare dans le cercle où la jument et l'ânesse demeurent parfois quand il faut entretenir leurs sabots, à côté de la bécane de E, toujours poussière et sale.
J'enlève mon casque, mes gants, fais le tri de mes affaires, histoire d'être sûr de ne pas remonter dans peu de temps, car la pente pour accéder à ce paradis terrestre est assez raide.
Je passe sur le chemin, devant Shaka, lui envoie quelques mots doux, l'appelant " mon gros ", lui demandant comment il va, il me répondit avec un sourire de chien, langue pendue par la chaleur écrasante.
J'observe les arbres sans tous les connaître.
Mes yeux se perdent dans les branchages et de là où mon regard se pose, je vois un oiseau s'envoler, multicolore, et un autre, du même gabarit le suivre de près.
Ils semblent danser dans l'air, l'un vers l'autre, lâchant quelques mélodies joyeuses.
****