Elie a écrit : ↑17 nov. 2022, 11:43 Attendez, c'est pas dit que ce soit en vente pour tout le monde.

Moi je comprends que :
- ceux qui veulent pourront acheter en NFT à partir de vendredi
- le 9 décembre, l'EP sort de façon classique (donc éventuellement gratuitement sur CCC)

Oui ça doit être ça...
L'acheter à partir du 18 novembre pour pas attendre jusqu'au 9 décembre...

Alors un petit bonus des ramoneurs avec les anarchistes de Nestor Makhno communiste LIBERTAIRE

En attendant Paris en décembre, vitrolles en novembre vendredi avec les ramoneurs et bob, comme une première partie

ça y est les billets de train pour la rue de la soif en décembre sont achetés , restait plus que trois places avant la flambée, toujours sur le gong, y a plus qu'à trouver un logement pas trop cher, et y a plus qu'à revecoir le QR code des billets de concerts ....mais au fait

C'est toujours bon pour le 29 Damien?

Bon alors Damien, sans vouloir te brusquer...le recueil de l'été, l'amour d'automne; l'album, où tout cela en est-il? Les manifestants s'interrogent et c'est l'hiver dans leurs coeurs .
Au plaisir ou à l'espoir de te voir te manifester prochainement.

des parov stelar, des styles différents

Je vois avec enthousiasme que Yann Tiersen donne un concert à une heure et demi de chez moi samedi prochain, je découvre non sans scepticisme quelques morceaux du dernier album, bien m'en a pris



Vite le gps pour retourner à la rue des cascades , c'est par ici

Digitalis a écrit : ↑17 sept. 2022, 08:51 Tiens bon la vague et tiens bon le vent

et droit devant Damien
Qu'à cela ne tienne "la coque et le bateau traverseront les époques"

retour Demago en classique rock, la musique du coeur

ça fleure de plus en plus le procédurier, mais il faut bien l'avouer l'impatience commence à être légitime...

Il est vrai qu'il n'y a pas un seul témoignage des remboursements, ce qui est quand même bizarre, car si certains s'étaient déjà fait rembourser ils auraient fait suivre les infos, si les remboursements avaient commencé à être effectué, y en aurait bien eu un pour dire "halte au ton procédurier, je me suis fait remboursé, donc vous inquiétez pas ça va être votre tour", mais personne n'a obtenu gain de cause, tout cela est curieux...on peut subodorer que même avec une petite équipe, depuis juillet, y en aurait bien eu au moins un qui ait été remboursé effectivement et qui puisse apaiser les inquiétudes du portefeuille de l'auditeur saezien...ça commence à craindre. Perso je vais pas commencer à réserver le billet de train et l'hôtel pour Paris etc, on a pas reçu le billet donc bon...Toujours la première pour monter au créneau mais là quand même ça commence à craindre...

everything everywhere all at once

Film catharsis de barje à ne pas louper, une hallucination complète; où l'espoir triomphe sur le nihilisme, l'absurdité et le sens de la vie. Pas du déjà vu mais du jamais vu...



La scène culte



Une bonne critique du film

Éos a écrit : ↑25 août 2022, 17:04 Alors que l’Ours se mure dans le silence, Ana donne sa première interview :

https://www.aficia.info/interview/le-gr ... hal/232701

merci du partage eos

Ultime référence cinématographique: Cléo de 5 à 7, de l'imagerie de Lulu à celle de la mort des icônes, la séquence surprise chapitre 10 chez raoul.



La diction des tableaux cinématographiques de l'époque Lulu au chapitre 12 et puis bien sûr le passage cité gentiment par Ana Moreau; Marilyn qui enlève sa perruque; c'est Corrine Marchand dans Cléo de 5 à 7 à 42 min 20



Bon visionnage aux curieux, un film aux allures de chef d'oeuvre, plan séquences, décors naturels de la nouvelle vague ("macadam atlantique")... Comme des notes envolées d'un piano; on arpente l'élégante ville de Paris comme une géographie de l'âme humaine, une succession de tableaux où on sillonne les rues de la vie; où on se retrouve coincé dans des impasses miroir brisé (maladie et peur de la mort), une sortie au jardin et à la cascade comme une brèche, de l'eau et du vert saupoudré de limérence comme pour conjurer le châtiment qui attend tout mortel. Existence tarot éphémère où on l'on finit toujours par perdre, qu'importe; l'important c'est de jouer quand même... en profitant de l'instant présent, aussi fugace soit-il à l'échelle de l'éternité, voilà pour le synopsis .

"la vie est courte"