liob3384 a écrit : ↑15 févr. 2020, 10:09 Ok c le film de Woody Allen. Je me souviens pas du titre de tête donc j'ai cherché sur Gogol .
Un jour de pluie a NY

Oui À toi

J'adore les photos de ciel, tu peux en prendre 10 000 ce n'est jamais le même. Magnifique toute cette lumière
Pas contre c'est pas un peu dangereux de prendre des photos en conduisant

Hey les gars la référence c'est Humanité

Damien Saez a écrit :quand la terre s'éteindra
que mourir
que mourir avec toi

Je changerai pas le titre

CellarDoor a écrit : ↑14 févr. 2020, 19:09 Vous avez encore de la place ?

<3

Sous ses airs discrets @Lime elle a un autre visage

Je savais plus si il était Franco canadien ou Franco américain, j'ai donc été vérifier et il est Franco américain

Bon sinon ça se passe à New-York comme beaucoup de films de ce réalisateur

Je respire où tu palpites

Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?

A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?

Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.

Tu m'entoures d'Auréoles ;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.

Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche
Tu tiens ce sauvage oiseau.

Que veux-tu que je devienne
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne
Qui s'en va ? Je ne sais pas.

Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe
Qui vient boire au lac d'azur.

L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini

Sans toi, toute la nature
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.

Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.

Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
Ô fauvette de mon âme
Qui chantes dans mes rameaux !

De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie
Si tu n'es plus près de moi ?

Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.

Que dirai-je aux champs que voile
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?

Que dirai-je au bois morose
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose
Disant : « Où donc est ma soeur ? »

J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses
Qu'elle ne regarde plus ?

Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?

Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !

Victor Hugo

Oui on reconnait la lune style Méliès

Happy Valentine

--- a écrit : ↑14 févr. 2020, 16:03

goelandfou a écrit : ↑14 févr. 2020, 15:58

Charlotte a écrit : ↑14 févr. 2020, 15:51
Merci
Oui on peut dire ça

Vous acceptez les câlins collectifs

Une aile chacune ?

Moui

Meduse a écrit : ↑14 févr. 2020, 13:12 Câlin Charlotte
Ton tatouage est foiré ?

Merci
Oui on peut dire ça

Y'a un acteur Franco canadien/américain dedans

Nop
Le réalisateur est américain

"Les graines sont invisibles. Elles dorment dans le secret de la terre jusqu'à ce qu'il prenne fantasie à l'une d'elles de se réveiller."
Saint-Exupéry (Le Petit Prince)

--- a écrit : ↑13 févr. 2020, 19:36 vilain petit canard

Propos mal à propos

En même temps tu cherches...