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- 29 févr. 2024, 11:43
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Alors la Poésie est venue
- Réponses : 187
- Vues : 123141
- 28 févr. 2024, 04:41
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : Les joies et les peines de votre journée
- Réponses : 1403
- Vues : 443344
Re: Les joies et les peines de votre journée
@Luame Oh la la les préjugés, je les visais juste pour l'âge mais t'as pas vu les vieilles groupies de FF en concert c'est la folie, j'ai vu un reportage un jour je m'en souviens encore
Bon voilà il est 4h40 du matin, ça fait 1h que je suis réveillée et que j'arrive pas à me rendormir, y'a la Java dans mon ventre et j'ai faim, faut que je me motive pour aller nourrir la bête...
Bon voilà il est 4h40 du matin, ça fait 1h que je suis réveillée et que j'arrive pas à me rendormir, y'a la Java dans mon ventre et j'ai faim, faut que je me motive pour aller nourrir la bête...
- 22 févr. 2024, 18:24
- Forum : 4ème Art
- Sujet : La playlist Magnifiques
- Réponses : 1619
- Vues : 686477
Re: La playlist Magnifiques
Sympa, merci pour la découverte
- 22 févr. 2024, 18:11
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : Les joies et les peines de votre journée
- Réponses : 1403
- Vues : 443344
Re: Les joies et les peines de votre journée
Oh ça va je le prends bien, c'est beaucoup plus confortable de pas avoir à dire "hein ?" tout le temps.
Pour les yeux ça ça fait bien longtemps que je suis miro, il me manque que la canne et la panoplie sera complète
Mais ça reste logique, les années passent, bientôt le public saezien ressemblera à celui de Frédéric François
- 21 févr. 2024, 21:56
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Alors la Poésie est venue
- Réponses : 187
- Vues : 123141
Re: Alors la Poésie est venue
À défaut du silence ~ Paul Eluard
Je me suis enfermé dans mon amour, je rêve.
Qui de nous deux inventa l’autre ?
Visage perceur de murailles.
Ta chevelure d’oranges dans le vide du monde
Dans le vide des vitres lourdes de silence
Et d’ombre où mes mains nues cherchent tous tes reflets.
La forme de ton cœur est chimérique
Et ton amour ressemble à mon désir perdu.
Ô soupirs d’ambre, rêves, regards.
Mais tu n’as pas toujours été avec moi. Ma mémoire
Est encore obscurcie de t’avoir vue venir
Et partir. Le temps se sert de mots comme l’amour.
Elle m’aimait pour m’oublier, elle vivait pour mourir.
Dans les plus sombres yeux se ferment les plus clairs.
Les lumières dictées à la lumière constante et pauvre passent avec moi toutes les écluses de la vie. Je reconnais les femmes à fleur de leurs cheveux, de leur poitrine et de leurs mains. Elles ont oublié le printemps, elles pâlissent à perte d’haleine.
Et toi, tu te dissimulais comme une épée dans la
déroute, tu t’immobilisais, orgueil, sur le large visage de quelque déesse méprisante et masquée. Toute brillante d’amour, tu fascinais l’univers ignorant.
Je t’ai saisie et depuis, ivre de larmes, je baise partout pour toi l’espace abandonné.
Amour, ô mon amour, j’ai fait vœu de te perdre.
Grimace, petite fille de naissance.
La forme de tes yeux ne m’apprend pas à vivre.
Et si je suis à d’autres, souviens-toi.
Ta bouche aux lèvres d’or n’est pas en moi pour rire
Et tes mots d’auréole ont un sens si parfait
Que dans mes nuits d’années, de jeunesse et de mort
J’entends vibrer ta voix dans tous les bruits du monde.
Dans cette aube de soie où végète le froid
La luxure en péril regrette le sommeil,
Dans les mains du soleil tous les corps qui s’éveillent
Grelottent à l’idée de retrouver leur cœur
Souvenirs de bois vert, brouillard où je m’enfonce,
J’ai refermé les yeux sur moi, je suis à toi,
Toute ma vie t’écoute et je ne peux détruire
Les terribles loisirs que ton amour me crée.
Pleure, les larmes sont les pétales du cœur.
Où es-tu ? Tournes-tu le soleil de l’oubli dans mon
cœur ?
Donne-toi, que tes mains s’ouvrent comme des yeux.
Folle, évadée, tes seins sont à l’avant.
À maquiller la démone, elle pâlit.
Elle est – mais elle n’est qu’à minuit quand tous les oiseaux blancs ont refermé leurs ailes sur l’ignorance des ténèbres, quand la sœur des myriades de perles a caché ses deux mains dans sa chevelure morte, quand le triomphateur se plaît à sangloter, las de ses dévotions à la curiosité, mâle et brillante armure de luxure. Elle est si douce qu’elle a transformé mon cœur. J’avais peur des grandes ombres qui tissent les tapis du jeu et les toilettes, j’avais peur des contorsions du soleil le soir, des incassables branches qui purifient les fenêtres de tous les confessionnaux où des femmes endormies nous attendent.
Ô buste de mémoire, erreur de forme, lignes absentes, flamme éteinte dans mes yeux clos, je suis devant ta grâce comme un enfant dans l’eau, comme un bouquet dans un grand bois. Nocturne, l’univers se meut dans ta chaleur et les villes d’hier ont des gestes de rue plus délicats que l’aubépine, plus saisissants que l’heure. La terre au loin se brise en sourires immobiles, le ciel enveloppe la vie : un nouvel astre de l’amour se lève de partout – fini, il n’y a plus de preuves de la nuit.
Je me suis enfermé dans mon amour, je rêve.
Qui de nous deux inventa l’autre ?
Visage perceur de murailles.
Ta chevelure d’oranges dans le vide du monde
Dans le vide des vitres lourdes de silence
Et d’ombre où mes mains nues cherchent tous tes reflets.
La forme de ton cœur est chimérique
Et ton amour ressemble à mon désir perdu.
Ô soupirs d’ambre, rêves, regards.
Mais tu n’as pas toujours été avec moi. Ma mémoire
Est encore obscurcie de t’avoir vue venir
Et partir. Le temps se sert de mots comme l’amour.
Elle m’aimait pour m’oublier, elle vivait pour mourir.
Dans les plus sombres yeux se ferment les plus clairs.
Les lumières dictées à la lumière constante et pauvre passent avec moi toutes les écluses de la vie. Je reconnais les femmes à fleur de leurs cheveux, de leur poitrine et de leurs mains. Elles ont oublié le printemps, elles pâlissent à perte d’haleine.
Et toi, tu te dissimulais comme une épée dans la
déroute, tu t’immobilisais, orgueil, sur le large visage de quelque déesse méprisante et masquée. Toute brillante d’amour, tu fascinais l’univers ignorant.
Je t’ai saisie et depuis, ivre de larmes, je baise partout pour toi l’espace abandonné.
Amour, ô mon amour, j’ai fait vœu de te perdre.
Grimace, petite fille de naissance.
La forme de tes yeux ne m’apprend pas à vivre.
Et si je suis à d’autres, souviens-toi.
Ta bouche aux lèvres d’or n’est pas en moi pour rire
Et tes mots d’auréole ont un sens si parfait
Que dans mes nuits d’années, de jeunesse et de mort
J’entends vibrer ta voix dans tous les bruits du monde.
Dans cette aube de soie où végète le froid
La luxure en péril regrette le sommeil,
Dans les mains du soleil tous les corps qui s’éveillent
Grelottent à l’idée de retrouver leur cœur
Souvenirs de bois vert, brouillard où je m’enfonce,
J’ai refermé les yeux sur moi, je suis à toi,
Toute ma vie t’écoute et je ne peux détruire
Les terribles loisirs que ton amour me crée.
Pleure, les larmes sont les pétales du cœur.
Où es-tu ? Tournes-tu le soleil de l’oubli dans mon
cœur ?
Donne-toi, que tes mains s’ouvrent comme des yeux.
Folle, évadée, tes seins sont à l’avant.
À maquiller la démone, elle pâlit.
Elle est – mais elle n’est qu’à minuit quand tous les oiseaux blancs ont refermé leurs ailes sur l’ignorance des ténèbres, quand la sœur des myriades de perles a caché ses deux mains dans sa chevelure morte, quand le triomphateur se plaît à sangloter, las de ses dévotions à la curiosité, mâle et brillante armure de luxure. Elle est si douce qu’elle a transformé mon cœur. J’avais peur des grandes ombres qui tissent les tapis du jeu et les toilettes, j’avais peur des contorsions du soleil le soir, des incassables branches qui purifient les fenêtres de tous les confessionnaux où des femmes endormies nous attendent.
Ô buste de mémoire, erreur de forme, lignes absentes, flamme éteinte dans mes yeux clos, je suis devant ta grâce comme un enfant dans l’eau, comme un bouquet dans un grand bois. Nocturne, l’univers se meut dans ta chaleur et les villes d’hier ont des gestes de rue plus délicats que l’aubépine, plus saisissants que l’heure. La terre au loin se brise en sourires immobiles, le ciel enveloppe la vie : un nouvel astre de l’amour se lève de partout – fini, il n’y a plus de preuves de la nuit.
- 20 févr. 2024, 07:39
- Forum : Nos utopies
- Sujet : Culturez-vous !
- Réponses : 87
- Vues : 41283
Re: Culturez-vous !
https://www.arte.tv/fr/videos/100842-00 ... -fantasme/
Ou comment un livre de dénonciation de la pédophilie se transforme en un livre d'apologie de la pédophilie ?
Ou comment un livre de dénonciation de la pédophilie se transforme en un livre d'apologie de la pédophilie ?
- 15 févr. 2024, 14:42
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : Les joies et les peines de votre journée
- Réponses : 1403
- Vues : 443344
Re: Les joies et les peines de votre journée
Ayé je suis une vieille j'ai mes appareils auditifs Pour l'instant ça fait trop bizarre, alors que c'est sous corrigé pour le moment. C'est beau la technologie
- 13 févr. 2024, 07:08
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Votre citation de l'instant
- Réponses : 450
- Vues : 218131
- 12 févr. 2024, 19:02
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Votre citation de l'instant
- Réponses : 450
- Vues : 218131
- 11 févr. 2024, 04:45
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Votre citation de l'instant
- Réponses : 450
- Vues : 218131
Re: Votre citation de l'instant
Damien Saez a écrit :Un peu nous nous fendîmes,
tant de fois nous nous eûmes,
jamais ne nous rendîmes,
éternité nous fûmes,
au sommet de la cime,
volent entre les dunes
de nos deux corps qui riment,
deux corps beaux sous la lune,
qui se jettent leurs rimes,
qui se plument
- 10 févr. 2024, 06:20
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le screenshot
- Réponses : 738
- Vues : 352898
- 09 févr. 2024, 09:09
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le screenshot
- Réponses : 738
- Vues : 352898
- 09 févr. 2024, 06:27
- Forum : Nos utopies
- Sujet : Culturez-vous !
- Réponses : 87
- Vues : 41283
Re: Culturez-vous !
Intéressant, bien qu'on se doutait sur les parallèles qui sont quand même bien visibles à la lecture, le coup des soleils j'aurais pas pensé. Mais peut-être plus un visionnaire sur sa mort qu'un réel suicide.
- 09 févr. 2024, 06:21
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le screenshot
- Réponses : 738
- Vues : 352898
- 07 févr. 2024, 06:42
- Forum : La tanière
- Sujet : Rumeurs d'Ours
- Réponses : 45
- Vues : 25666
Re: Rumeurs d'Ours
Moi aussi
Du coup j'en profite, les festivals ont déjà démarré à priori :
https://www.lindependant.fr/2024/02/04/ ... 743961.php
- 06 févr. 2024, 17:53
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : À la découverte de nouveaux horizons
- Réponses : 4
- Vues : 1771
Re: À la découverte de nouveaux horizons
Bienvenue