La recherche a retourné 254 résultats
Aller sur la recherche avancée
- 02 déc. 2023, 20:54
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : La météo de votre âme
- Réponses : 530
- Vues : 253035
Re: La météo de votre âme
Consultez cette publication sur Facebook https://m.facebook.com/story.php?story_ ... 3793636086
- 01 déc. 2023, 00:32
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : La météo de votre âme
- Réponses : 530
- Vues : 253035
Re: La météo de votre âme
@macron : alors que vous durcissez la loi sur les zones fumeurs dans les lieux publics la première ministre vapote allègrement à l'assemblée nationale ?!!! Merci de bien vouloir donner l'exemple vous qui représentez le peuple et avez été élu . Ce n'est pas le premier signalement et pourtant ça continue : nul n'est censé ignorer les lois et personne n'est au dessus de la Loi #cesgensquinousgouvernent# Emmanuel Macron
- 01 déc. 2023, 00:31
- Forum : Les concerts
- Sujet : Tournée 2023
- Réponses : 465
- Vues : 67610
Re: Tournée 2023
- 30 nov. 2023, 23:34
- Forum : Levons la brume
- Sujet : Les murmures d'Ana Moreau
- Réponses : 571
- Vues : 195696
Re: Les murmures d'Ana Moreau
+ bx live # Bordeaux
- 27 nov. 2023, 22:21
- Forum : Levons la brume
- Sujet : Les murmures d'Ana Moreau
- Réponses : 571
- Vues : 195696
- 24 nov. 2023, 16:42
- Forum : Les concerts
- Sujet : Tournée 2023
- Réponses : 465
- Vues : 67610
Re: Tournée 2023
Intense et joli résumé
- 17 nov. 2023, 06:00
- Forum : Les concerts
- Sujet : Vente Billets de concert Bordeaux 30 novembre 2023
- Réponses : 3
- Vues : 1271
Re: Vente Billets de concert Bordeaux 30 novembre 2023
Bonjour je suis intéressée
Tu peux répondre ici ou en mp
Tu peux répondre ici ou en mp
- 14 nov. 2023, 16:41
- Forum : 5ème Art
- Sujet : Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?
- Réponses : 89
- Vues : 36913
Re: Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?
Je relie pour la énième fois avec les croquis à côté Nadja, le livre objet de ma thèse il y a des années :
Les mots qui suivent ne sont pas les miens, collectes au gré du vent des rencontres de la vie :
Nadia (André Breton) il s’intéresse à l’irruption de l’extraordinaire :
Breton insiste en effet sur le caractère stupéfiant des faits qui l’intéressent – et par là même leur caractère incroyable, incommunicable.
* sa vie, livrée aux « hasards, au plus petit comme au plus grand », « l’introduit dans un monde défendu », et l’on peut remarquer l’insistance de Breton sur le vocabulaire de l’extraordinaire : « pétrifiantes coïncidences », « valeur peu contrôlable », « caractère absolument inattendu, violemment incident » (l. 19), « invraisemblables complicités » (l. 31) ; plus loin, il est question de « certains enchaînements, certains concours de circonstances qui passent de loin notre entendement » (l. 43-46) ; et tout le préambule sera constitué de tels hasards ou concours de circonstances.
* On reconnaît ici l’idée surréaliste selon laquelle le hasard, le rêve, les associations d’idées plus ou moins volontaires révè lent une autre réalité que le réel rationnel. C’est cette idée que l’on retrouve dans des jeux tels que les « cadavres exquis » ou l’écriture automatique.
* Ces faits, cette ouverture fulgurante (image de l’éclair, qui fait voir, l. 14), le surréaliste les recherche, ou plutôt, il est à leur égard dans une attitude de disponibilité. C’est cette disponibilité que Breton reconnaîtra en Nadja. On les reconnaît au trouble qu’ils provoquent – et on peut remarquer que Breton abandonne alors le « je » au profit du « nous » (p. 21) : le phénomène ne lui est pas propre, il a un caractère universel, mais il est occulté par la raison, le réalisme. Toute l’œuvre du surréalisme consiste précisément à refuser ces refoulements, ces tabous liés à la raison, et à se rendre disponible à de telles rencontres. C’est pourquoi Rimbaud a eu une telle importance pour eux, notamment la « Lettre du Voyant » dans laquelle il était question du « dérèglement de tous les sens », précisément pour tenter d’atteindre une telle vérité. Mais il y avait chez Rimbaud un volontarisme qui n’existe pas chez Breton.
* Enfin, de tels faits sont à la fois inquiétants (« faits-glissades », « faits-précipices », image de l’araignée dans sa toile…) et magiques : s’il est question de « l’instinct de conservation » qui nous en détourne – et l’histoire tragique de Nadja témoigne que de telles rencontres peuvent être dangereuses, et toucher à la folie – toute la fin du texte témoigne du plaisir inégalable que procurent de telles rencontres – comparables aux trouvailles de l’écriture automatique, qui nous satisfont plus que les images trouvées lucidement.
Pour témoigner de ce caractère incommunicable, stupéfiant, Breton n’a plus recours au langage scientifique, mais aux images, ou aux analogies :
* accords plaqués comme au piano
* éclairs
* fil de la vierge et toile d’araignée (à la fois « scintillante » et « inquiétante »)
* analogie entre ces coïncidences et l’écriture automatique
On peut noter toutefois qu’aucune de ces images n’est une image surréaliste (c’est à dire une image où le rapport entre le comparant et le comparé est le plus éloigné, le plus énigmatique possible). En ce sens, Nadja est un texte sur le surréalisme, mais n’est pas un texte surréaliste.
Conclusion
Ce préambule pose un certain nombre de paradoxes :
* Un texte qui n’obéit nullement aux règles de composition surréaliste, qui n’a rien ni d’une écriture automatique, ni d’un abandon aux images, mais qui se présente au contraire comme un exposé quasi scientifique, la recherche d’un connaissance de soi ;
* Mais cette connaissance de soi n’a pas lieu par une introspection psychologique, mais au contraire par l’abandon à l’inconnu, qui se manifeste par le hasard, les « pétrifiantes coïncidences », l’irruption de l’irrationnel – des faits face auxquels, comme dans le cas de l’écriture automatique, le « moi », loin d’être acteur conscient, n’est plus que le « témoin hagard » : la connaissance de soi passe par une dépossession de soi.
* Enfin, cette dépossession, pour inquiétante qu’elle soit, déstabilisante, est aussi source d’un plaisir inégalable, d’une intense satisfaction. C’est dans cet espace livré à l’imaginaire et à l’irrationnel que Breton et Nadja évolueront, ensemble, un temps.
Les mots qui suivent ne sont pas les miens, collectes au gré du vent des rencontres de la vie :
Nadia (André Breton) il s’intéresse à l’irruption de l’extraordinaire :
Breton insiste en effet sur le caractère stupéfiant des faits qui l’intéressent – et par là même leur caractère incroyable, incommunicable.
* sa vie, livrée aux « hasards, au plus petit comme au plus grand », « l’introduit dans un monde défendu », et l’on peut remarquer l’insistance de Breton sur le vocabulaire de l’extraordinaire : « pétrifiantes coïncidences », « valeur peu contrôlable », « caractère absolument inattendu, violemment incident » (l. 19), « invraisemblables complicités » (l. 31) ; plus loin, il est question de « certains enchaînements, certains concours de circonstances qui passent de loin notre entendement » (l. 43-46) ; et tout le préambule sera constitué de tels hasards ou concours de circonstances.
* On reconnaît ici l’idée surréaliste selon laquelle le hasard, le rêve, les associations d’idées plus ou moins volontaires révè lent une autre réalité que le réel rationnel. C’est cette idée que l’on retrouve dans des jeux tels que les « cadavres exquis » ou l’écriture automatique.
* Ces faits, cette ouverture fulgurante (image de l’éclair, qui fait voir, l. 14), le surréaliste les recherche, ou plutôt, il est à leur égard dans une attitude de disponibilité. C’est cette disponibilité que Breton reconnaîtra en Nadja. On les reconnaît au trouble qu’ils provoquent – et on peut remarquer que Breton abandonne alors le « je » au profit du « nous » (p. 21) : le phénomène ne lui est pas propre, il a un caractère universel, mais il est occulté par la raison, le réalisme. Toute l’œuvre du surréalisme consiste précisément à refuser ces refoulements, ces tabous liés à la raison, et à se rendre disponible à de telles rencontres. C’est pourquoi Rimbaud a eu une telle importance pour eux, notamment la « Lettre du Voyant » dans laquelle il était question du « dérèglement de tous les sens », précisément pour tenter d’atteindre une telle vérité. Mais il y avait chez Rimbaud un volontarisme qui n’existe pas chez Breton.
* Enfin, de tels faits sont à la fois inquiétants (« faits-glissades », « faits-précipices », image de l’araignée dans sa toile…) et magiques : s’il est question de « l’instinct de conservation » qui nous en détourne – et l’histoire tragique de Nadja témoigne que de telles rencontres peuvent être dangereuses, et toucher à la folie – toute la fin du texte témoigne du plaisir inégalable que procurent de telles rencontres – comparables aux trouvailles de l’écriture automatique, qui nous satisfont plus que les images trouvées lucidement.
Pour témoigner de ce caractère incommunicable, stupéfiant, Breton n’a plus recours au langage scientifique, mais aux images, ou aux analogies :
* accords plaqués comme au piano
* éclairs
* fil de la vierge et toile d’araignée (à la fois « scintillante » et « inquiétante »)
* analogie entre ces coïncidences et l’écriture automatique
On peut noter toutefois qu’aucune de ces images n’est une image surréaliste (c’est à dire une image où le rapport entre le comparant et le comparé est le plus éloigné, le plus énigmatique possible). En ce sens, Nadja est un texte sur le surréalisme, mais n’est pas un texte surréaliste.
Conclusion
Ce préambule pose un certain nombre de paradoxes :
* Un texte qui n’obéit nullement aux règles de composition surréaliste, qui n’a rien ni d’une écriture automatique, ni d’un abandon aux images, mais qui se présente au contraire comme un exposé quasi scientifique, la recherche d’un connaissance de soi ;
* Mais cette connaissance de soi n’a pas lieu par une introspection psychologique, mais au contraire par l’abandon à l’inconnu, qui se manifeste par le hasard, les « pétrifiantes coïncidences », l’irruption de l’irrationnel – des faits face auxquels, comme dans le cas de l’écriture automatique, le « moi », loin d’être acteur conscient, n’est plus que le « témoin hagard » : la connaissance de soi passe par une dépossession de soi.
* Enfin, cette dépossession, pour inquiétante qu’elle soit, déstabilisante, est aussi source d’un plaisir inégalable, d’une intense satisfaction. C’est dans cet espace livré à l’imaginaire et à l’irrationnel que Breton et Nadja évolueront, ensemble, un temps.
- 12 nov. 2023, 02:30
- Forum : Les concerts
- Sujet : Tournée 2023
- Réponses : 465
- Vues : 67610
- 12 nov. 2023, 01:44
- Forum : Les concerts
- Sujet : La symphonie des siècles - discussion
- Réponses : 231
- Vues : 42999
Re: La symphonie des siècles - discussion
J'ai pas suivi les dernières News ce morceau continue de me scotcher alors que je ne suis pas ukrzinienne.
Comme quoi
- 12 nov. 2023, 01:27
- Forum : Les concerts
- Sujet : Tournée 2023
- Réponses : 465
- Vues : 67610
Re: Tournée 2023
J'ai remarqué aussi sur Ledvguenia merci pour le partage de vidéos
- 01 août 2023, 21:29
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : Les joies et les peines de votre journée
- Réponses : 1402
- Vues : 433051
- 01 août 2023, 21:25
- Forum : Les concerts
- Sujet : La symphonie des siècles - discussion
- Réponses : 231
- Vues : 42999
Re: La symphonie des siècles - discussion
A 1min 41 y'a un pont étrange ou alors c'était de l'impro c'est selon moi le meilleur passage de ce morceau que plus j'écoute plus j'apprécie
- 28 juil. 2023, 23:02
- Forum : Les concerts
- Sujet : La symphonie des siècles - discussion
- Réponses : 231
- Vues : 42999
Re: La symphonie des siècles - discussion
Malgré le grand'´importe quoi parfois tu parviens à continuer.a Toucher en plein cœur merci
- 20 juil. 2023, 00:35
- Forum : Les albums
- Sujet : Œuvre Apocalypse (Pay per listen)
- Réponses : 414
- Vues : 62792
Re: Œuvre Apocalypse (Pay per listen)
je n'ai pas suivi des échanges sur les forums mais Keny étant une de mes amies de longue date j'adhère d'avance à un mix ... par contre la com de Saez est à revoir on peut te sortir quelques boulettes quelques gâchis aussi mais il y a du potentieltesco neo a écrit : ↑19 juil. 2023, 22:59 t'es méchant là ^^ perso swimming pool me fait marrer avec le rire satanique de geoffrey ^^, par contre en electro enlève ton masque est largement aux dessus, ça aurait put ètre un gros tube si ils avaient plus communiqué dessus et si il était passé à la radio, je suis sur que ce titre avait tout pour tout péter et trouver en plus un nouveau plublic.
Sur l'autre forum, personne comprend un certain truc de gavroche, alors que pour moi il a raison, faire un duo avec soprano, déjà soprano écoutait saez ado, ils abordent quelques points commun, pis niveau exposition là c'est le top, j"arrive plus à me co là bas, mais bordel il a raison le gavroche, damien aime le rap et peut mème rapper d'une certaine manière, un titre rap rock entre les deux, je dit oui direct, mème si je préfèrerais avec keny arkana, maiis si il veut tout péter et refaire pas mal de thunes c'est une bonne idée.
- 19 juil. 2023, 22:56
- Forum : Les albums
- Sujet : Œuvre Apocalypse (Pay per listen)
- Réponses : 414
- Vues : 62792
Re: Œuvre Apocalypse (Pay per listen)
Ma chanson préférée c'est pilule quand je dois attaquer un gros doss ... rien de poétique ni de poussé musicalement donc plutôt sur le registre jeune et con j'accuse ... ça reste pourtant le morceau qui me parle le plus, comme quoi chaque auditeur a son propre ressenti