Pour faire plaisir à Méduse qui n’aime pas le synthé

Depeche Mode – Enjoy the silence


The Cure – In Between Days


Electric Light Orchestra – Last Train to London


Herbie Hancock – Rockit


Kraftwerk – Radioactivity


Taxi Girl – Aussi belle qu’une balle


C'est pas trop mon trip non plus mais voilà quoi ...

Allez les littéraires ! Etes-vous capable de nous décrire ce son ? Moi non plus je n’ai pas un abonnement (« abonné », Sérieux !? rien que ce mot en lui-même il est moche… )

Perso, j’aime bien le total instru ! Et comme nous sommes dans une période hautement radioactive, c’est plutôt bien joué de sa part. Y’en a marre des manipulations et des récupérations. Rien que pour le geste et bien moi je dis chapeau l’artiste !

La vulgarisation de la philo – La chronique de Thomas VDB

Il y a des métaphysiciens ou pataphysiciens ici ! … Léo Ferré parlerait peut-être de « metamec » ?!

Paix, c’est plus inspirant, il est vrai





Désolé, c’est plus fort que moi, je n’ai pas pu me retenir….

Le plus loin ?! Viser juste aussi, hein !...




Les Négresses Vertes – Zobi la mouche



On m'appelle Zobi,
Oui c'est moi la mouche
J'suis pas tant crédible
Car on me trouve louche
Ceux qui lisent la Bible
En ouvrant la bouche
Sont des jolies cibles,
Des gobeurs de mouches.

Et hop! dans le mille
Je fonce dans le gosier
Je ressors par les trous de nez
Et hop! dans le mille
Je fonce dans le gosier
Je ressors par les trous de nez.

Zobi Zobi la mouche
Zobi Zobi la mouche

Faut pas s'faire de bile,
J'me fais pas bouffer
J'suis pas tant débile,
De moi faut s'méfier
Et dans les grand-villes,
Y'a guère de pitié
Mais je me faufile
On ne peut m'écraser.

Et scratch! dans le vil,
Je fonce dans le soulier
Et j'ressors par les trous de pieds
Et scratch! dans le vil,
Je fonce sans le soulier
Et j'ressors par les trous de pieds.

Zobi Zobi la mouche
Zobi Zobi la mouche

Que me veut cette fille,
Oh sacrée gonzesse
Elle est bien gentille,
L'a de jolies fesses
Elle est nue,
Elle brille,
Quelle délicatesse
Si je la titille
Et qu'elle se confesse
Je perds pas la bille,
J'la prends de vitesse.

Top dans l'mille!

Zobi
Zobi
La mouche
Zobi Zobi la mouche
Mouche
Mouche



La solitude – Léo Ferré

Je suis d'un autre pays que le vôtre, d'une autre quartier, d'une autre solitude.
Je m'invente aujourd'hui des chemins de traverse. Je ne suis plus de chez vous.
J'attends des mutants. Biologiquement je m'arrange avec l'idée que je me fais de la biologie: je pisse, j'éjacule, je pleure. Il est de toute première instance que nous façonnions nos idées comme s'il s'agissait d'objets manufacturés.
Je suis prêt à vous procurer les moules. Mais...

la solitude...

Les moules sont d'une texture nouvelle, je vous avertis. Ils ont été coulés demain matin. Si vous n'avez pas, dès ce jour, le sentiment relatif de votre durée, il est inutile de vous transmettre, il est inutile de regarder devant vous car devant c'est derrière, la nuit c'est le jour. Et...

la solitude...

Il est de toute première instance que les laveries automatiques, au coin des rues, soient aussi imperturbables que les feux d'arrêt ou de voie libre. Les flics du détersif vous indiqueront la case où il vous sera loisible de laver ce que vous croyez être votre conscience et qui n'est qu'une dépendance de l'ordinateur neurophile qui vous sert de cerveau. Et pourtant...

la solitude...

Le désespoir est une forme supérieure de la critique. Pour le moment, nous l'appellerons "bonheur", les mots que vous employez n'étant plus " les mots" mais une sorte de conduit à travers lequel les analphabètes se font bonne conscience. Mais...

la solitude...

Le Code civil nous en parlerons plus tard. Pour le moment, je voudrais codifier l'incodifiable. Je voudrais mesurer vos danaïdes démocraties.
Je voudrais m'insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit, le non-avenu, le non-vierge par manque de lucidité. La lucidité se tient dans mon froc.

Têtes Raides « Ginette »

Ragougnasses – Les Amis D’ta femme

Le tango du viagra – Les Amis D’ta femme

Ohohoh ! Cela augure que du bon tout ça ….

Colette Renard – Les nuits d’une demoiselle



Colette Magny – Choisis ton opium



Sacré tempérament les Colettes …. Et oui c’est le jeu mes pauvres Lucettes ! …. Bon allez ! j’avoue j’ai un faible pour les prénoms qui finissent en « ette ». Une pensée toute particulière à Jeannette et Huguette.
Je préfère terminer ce petit message par une roucoulette et reprendre vite ma mobylette avant que ne surgissent les pipelettes, oui j’ai passé l’âge des galipettes !

Karpatt - Tango



Les yeux dla Tête – Sous la canopée

Allons-nous aimer les robots ? 42, la réponse à presque tout ARTE




Do you love me (The Contours)





« Robots sociaux » ?! Ils en existaient bien avant les machines...!

Les guignols de l’info – Vendre la guerre en irak

Manifestants II ? Avec pour titre Sha la la ? J’ai des sérieux doutes là …


Non, non, non… si j’arrive à suivre et si on résume les 3 dernières chansons avec l’arrivée d’un « Sha la la », on devrait plutôt se situer dans cette atmosphère :

La petite sirène – Embrasse-la

Le sha la la ? j’ai pas encore écouté et vu !?...

Bon ! C’est bien beau tout ça mais personne n’a encore parlé de ce fameux piano sur cette plage…

Charles Trenet

Le vieux piano de la plage ne joue qu'en fa qu'en fatigué
Le vieux piano de la plage possède un la qui n'est pas gai
Un si cassé qui se désole
Un mi fané qui le console
Un do brûlé par le grand soleil du mois de juillet
Mais quand il joue pour moi les airs anciens que je préfère
Un frisson d'autrefois
M'emporte alors dans l'atmosphère
D'un grand bonheur dans une petite chambre
Mon joli cœur du mois de septembre
Je pense encore encore à toi
Do mi si la

Le vieux piano de la plage ne joue qu'en sol en solitude.
Le vieux piano de la plage a des clients dont l'habitude
Est de danser samedi dimanche.
Les autres jours seul sur les planches
Devant la mer qui se souvient il rêve sans fin...
C'est alors que je sors tout courbatu
De ma cachette
Et que soudain dehors tremblant, ému,
Devant lui je m'arrête
Et c'est inouï tout ce que je retrouve
Comme cette musique jolie m'éprouve
Me fait du mal me fait du bien
Je n'en sais trop rien

Adieu, adieu piano tu sais combien peuvent être cruelles
Ces notes que tu joues faux mais dans mon cœur ouvrant ses ailes
S'éveille alors la douce rengaine
De mon heureux sort ou de mes peines.
Lorsque tu tapes, tapes, toute la semaine mais le samedi
Quand les jeunesses débarquent
Tu sais alors brigand de la plage
Que ton souvenir les marque
Et qu'un beau soir passé le bel âge
Un autre que moi devant la piste s'arrêtera là et sera triste
En écoutant le cœur battant
L'air de ses vingt ans


La plage - Yann Tiersen




Mariage d’amour - Paul de Senneville



Les groupies du pianiste, passez votre chemin ….

La leçon de piano - Michael Nyman

Un concert en Alaska ?! Il faut préparer les patins alors….


Danse de Aljona Savchenko et Bruno Massot
sur une musique de Armand Amar « La Terre vue du ciel »

Il faudrait que j’aille le voir….

UN AUTRE MONDE