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par CellarDoor
25 nov. 2019, 20:17
Forum : Doit y avoir autre chose
Sujet : La météo de votre âme
Réponses : 533
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La météo de votre âme

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par CellarDoor
25 nov. 2019, 20:09
Forum : Le support
Sujet : C'est beau
Réponses : 24
Vues : 26774

Re: C'est beau

Merci __Marine__ :)
par CellarDoor
25 nov. 2019, 20:08
Forum : Du pain et des jeux
Sujet : Si on tentait l'alaska
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Re: Si on tentait l'alaska

Chine ?
par CellarDoor
25 nov. 2019, 08:47
Forum : Du pain et des jeux
Sujet : Si on tentait l'alaska
Réponses : 2377
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Re: Si on tentait l'alaska

France ?
par CellarDoor
24 nov. 2019, 10:23
Forum : Les concerts
Sujet : 20 novembre 2019 @Marseille
Réponses : 1
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Re: 20 novembre 2019 @Marseille

Concertandco

En voulant écrire cette chronique je réalise que je n'aurais jamais le phrasé aussi beau que celui de Damien Saez. Je n'ai pas la plume aussi fine, la rime aussi belle qui font de lui un artiste au mot juste, au texte engagé et poignant. Je me suis donc demandé si je n'allais pas changer ma façon d'écrire en m'adressant plutôt à toi, Damien, et à toi le public si présent en cette belle soirée.

J'arrive un peu en avance au Dôme et tu es déjà présent devant les grilles à attendre l'heure d'ouverture. Je te vois courir, toi la jeune femme parmi les 5000 fans qui seront présents ce soir, pour être dans les premiers et pouvoir te coller aux barrières au bord de scène et t'approcher de lui, cet homme qui nous a manqué depuis quelques années. C'est un temps long mais un temps nécessaire pour sortir son Manifeste qu'il écrit depuis trois ans.

Je m'avance à mon tour pour pénétrer l'antre de cette salle, qui j'avoue parfois m'effraie par sa qualité sonore, mais là, tes techniciens ont fait une belle prouesse en sonorisant ce lieu. Je m'en suis pris plein les oreilles avec bonheur. Ah oui Damien, je ne te l'ai pas dit mais bien que je t'écoute depuis quelques années, c'est pour moi un dépucelage, une première fois ce soir que de venir te découvrir sur scène.

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Enfin le moment tant attendu, tu entres sur une scène peu éclairée, un verre à la main et une clope allumée, la capuche sur la tête, tu entames sans musique la lecture de Colisée. C'est le début un long concert et je ne m'attendais pas à passer trois heures avec toi public, à dévorer les mots de Damien.

Les morceaux s'enchainent, on te trouve, on te retrouve, toi l'homme, le fils d'une France que tu ne reconnais plus, toi l'artiste, toi le poète. Tu t'étonnes de voir que l'on écoute du rock dans une station balnéaire, comme tu aimes le dire avec humour. Mais du rock on en écoute partout et ce soir c'est un concentré que tu vas nous offrir !

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Et toi, le public, les fans de la première heure, toi qui bouges sur ses chansons, qui lèves le poing sur Marguerite, toi qui te brûles les doigts en allumant ton briquet sur Les enfants du paradis, triste chanson rendant hommage aux victimes du Bataclan, toi qui connais les paroles de ses nouvelles chansons fraîchement sorties, comme Germaine. Putain que je l'aime cette chanson ! J'aime le texte, la montée en puissance qui fait battre le cœur, qui donne envie de crier comme toi, toi qui te lâche, qui te donne dans l'interprétation de tes morceaux.

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Et que dire de tes musiciens ? Des virtuoses ! Tout d'abord ce moment où pour accompagner ce monologue projeté sur un écran, un piano trône sur la scène et deux mains donnent une sensibilité à cet instant. Et je compte tes musiciens... Trois guitaristes, un bassiste, un batteur... et un accordéon. Je suis surpris sans vraiment l'être car dès le début tout s'accorde. Et tu as cette délicatesse de sortir de scène pour la laisser à tes musiciens, qui en prennent vite possession. Quel beau geste que de les mettre en avant ! Ce petit set se termine sur un solo d'accordéon... magnifique.

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Tu es un mec à multifacettes et tu fais du rock avec des instruments qui n'ont pas été fait pour cela. Et tu as toujours ces mots, ce talent de dire les choses... les dernières notes de l'accordéon résonnent encore et tu nous dis "avec ce qu'il passe à la radio, ça fait devenir l'accordéon, de l'art contemporain". Mais comme tu as raison ! Tu ne prends pas souvent la parole mais à chaque fois les mots claquent. Ils sont choisis avec justesse. Damien Saez, tu es un poète des temps modernes. Je ne veux pas tout dévoiler de cette soirée, je veux donner envie à tes fans de venir t'écouter. J'ai compris qu'il ne valait mieux pas afficher la setlist, de laisser la surprise à tes fans qui connaissent ton répertoire par cœur comme Les petits sous, Fils de France, ou encore Je veux qu'on baise sur ma tombe. J'avoue je ne sais plus combien de titres tu nous as interprété ce soir mais peu importe, c'était beau et on aurait bien voulu que cela ne se finisse pas.

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Je ne m'en suis pas rendu compte, il est bientôt minuit. Les lumières de la salle s'allument, il est temps de rentrer. Le spectacle n'est pas fini pour moi, j'ai ta musique dans la tête et dès le lendemain j'ai réécouté tes chansons, comme si je voulais encore y être. Alors oui j'ai aimé ce concert, oui j'ai aimé cette première fois, oui je reviendrai...

Un dernier petit pour un ami qui n'a pas pu venir et qui à la base devait écrire ces mots pour te raconter Damien, raconter la soirée passée avec toi. Tu ne sais pas ce que tu as loupé, putain de soirée !

Suis-je objectif au final ? J'aime ta musique, ton univers, je ne fais que transcrire ce que j'ai ressenti. Damien Saez est un artiste, un poète parmi les plus grands dont il a trouvé l'inspiration alors j'espère t'avoir donné des regrets de ne pas être venu et j'espère t'avoir donné envie de venir. Il reste des dates, déplace-toi, toi le public qui hésiterait encore, et va au plus près de lui, va écouter ce qu'il a à dire.

Merci Damien.

By Kris Tian
par CellarDoor
24 nov. 2019, 10:09
Forum : Du pain et des jeux
Sujet : Si on tentait l'alaska
Réponses : 2377
Vues : 1351184

Re: Si on tentait l'alaska

"C'est pas l'Pérou ?"
par CellarDoor
23 nov. 2019, 22:10
Forum : 5ème Art
Sujet : Alors la Poésie est venue
Réponses : 190
Vues : 128651

Re: Alors la Poésie est venue

Si tu me olvidas
quiero que sepas
una cosa.

Tú sabes cómo es esto:
si miro
la luna de cristal,la rama roja
del lento otoño en mi ventana,
si toco
junto al fuego
la impalpable ceniza
o el arrugado cuerpo de la leña,
todo me lleva a ti,
como si todo lo que existe,
aromas, luz, metales,
fueran pequeños barcos que navegan
hacia las islas tuyas que me aguardan.

Ahora bien,
si poco a poco dejas de quererme
dejaré de quererte poco a poco.

Si de pronto
me olvidas
no me busques,
que ya te habré olvidado.

Si consideras largo y loco
el viento de banderas
que pasa por mi vida
y te decides
a dejarme a la orilla
del corazón en que tengo raíces,
piensa
que en ese día,
a esa hora
levantaré los brazos
y saldrán mis raíces
a buscar otra tierra.

Pero
si cada día,
cada hora
sientes que a mí estás destinada
con dulzura implacable.
Si cada día sube
una flor a tus labios a buscarme,
ay amor mío, ay mía,
en mí todo ese fuego se repite,
en mí nada se apaga ni se olvida,
mi amor se nutre de tu amor, amada,
y mientras vivas estará en tus brazos
sin salir de los míos.

Neruda

Et sa traduction :

Si tu m'oublies
je veux que tu saches
une chose.

Tu sais ce qu’il en est :
si je regarde
la lune de cristal, la branche rouge
du lent automne de ma fenêtre,
si je touche
près du feu
la cendre impalpable
ou le corps ridé du bois,
tout me mène à toi,
comme si tout ce qui existe,
les arômes, la lumière, les métaux,
étaient de petits bateaux qui naviguent
vers ces îles à toi qui m’attendent.

Cependant,
si peu à peu tu cesses de m’aimer
je cesserai de t’aimer peu à peu.

Si soudain
tu m’oublies
ne me cherche pas,
puisque je t’aurai aussitôt oubliée.

Si tu crois long et fou
le vent de drapeaux
qui traversent ma vie
et tu décides
de me laisser au bord
du cœur où j’ai mes racines,
pense
que ce jour-là,
à cette même heure,
je lèverai les bras
et mes racines sortiront
chercher une autre terre.

Mais
si tous les jours
à chaque heure
tu sens que tu m’es destinée
avec une implacable douceur.
Si tous les jours monte
une fleur à tes lèvres me chercher,
ô mon amour, ô mienne,
en moi tout ce feu se répète,
en moi rien ne s’éteint ni s’oublie,
mon amour se nourrit de ton amour, ma belle,
et durant ta vie il sera entre tes bras
sans s’échapper des miens.
par CellarDoor
23 nov. 2019, 21:26
Forum : Levons la brume
Sujet : Mon Essenine à moi
Réponses : 1
Vues : 3342

Mon Essenine à moi

Un jour de printemps 1915, débarque à Saint-Pétersbourg un jeune paysan grand-russien au visage de chérubin, aux grands yeux bleus, aux boucles d'enfant, au sourire désarmant. Dans la trépidante capitale, aux portes de laquelle gronde la guerre germano-russe et où chacun se hâte, on remarque néanmoins son pas ailé, sa démarche souple et dansante, son allure libre et hardie « qui semble incarner l'infini des steppes et la Russie paysanne en mouvement » comme disait Pierre Pascal. Il a vingt ans, se dit poète et résolu à faire connaître ses vers dans la ville de Pouchkine et de Blok, grand maître ès poésie dont l'appréciation favorable valait alors consécration. Il se nomme Sergueï Essenine.

Son ascension est fulgurante : en quelques mois, le tout-Pétersbourg sous le charme s'arrache déjà le jeune poète en touloupe et bottes de feutre comme surgi de quelque conte russe ; et la parution, un an plus tard, de son premier recueil, Radounitsa, matérialise sa foudroyante entrée en littérature. D'année en année, la popularité d'Essenine ne cesse de grandir en Russie, portée par son chant de la terre russe qui va droit au cœur de chacun, autant que par sa vie tapageuse et son roman tumultueux avec la danseuse américaine Isadora Duncan qui l'entraîne dans son sillage quelque temps en Occident. À son retour en 1923, il est accueilli en triomphe et la police montée mobilisée pour maintenir l'ordre à la soirée que l'on organise à Moscou en son honneur. Et son suicide, un jour de décembre 1925, déclenchera une véritable épidémie de suicides parmi les jeunes poètes.

L'organe du Parti, qui n'a jamais prisé ce trublion, se mobilise désormais pour mettre un terme à ce qu'il appelle « la folie Essenine ». Boukharine, cependant le défenseur des poètes en haut lieu, dénonce avec éclat dans la Pravda qu'il dirige, ce boutefeu et son « cocktail de mâtins, d'icônes, de mômes à nichons, de cierges ardents, de boulaies, de lunes, de chiennes, de Seigneur Dieu et de nécrophilie, tout ceci noyé dans les larmes et les hoquets tragiques d'un ivrogne, tant hooligan que dévot ». L'État soviétique travaille fébrilement à sa construction : il s'agit de célébrer désormais le labeur, la vertu, l'optimisme et l'avenir radieux. Plus question d'éditer Essenine en Russie si ce n'est en version édulcorée à l'usage des écoles. Durant toute l'ère stalinienne, seul le monde du goulag, témoigne l'écrivain Varlam Chalamov, fredonne encore dans les camps la poésie du rebelle, chronique d'une mort annoncée.

Ainsi caracolent puis s'évanouissent ce que le poète lui-même appelle « les heures empoisonnées de la gloire ».

Qui est donc cet Essenine, quasi ignoré en France, et d'où vient qu'au cours d'une vie aussi courte que tourbillonnante, il ait connu ce fabuleux succès en son pays, trouvant grâce auprès de personnalités aussi diverses que poètes érudits et malfrats, paysans ou Trotski ? Car, en ce premier quart du XXe siècle, véritable âge d'or de la poésie, la concurrence est vive entre tant de tempéraments variés : Blok, Maïakovski, andelstam, Akhmatova, Pasternak, Tsvetaïeva, pour ne citer qu'eux.

Si l'on interroge l'auteur sur lui-même en 1915, il répond avec la candeur du « Jongleur de Notre-Dame » dans ce qu'il nomme son « Journal », c'est-à-dire sa poésie :

Je suis un pauvre vagabond.
Par la steppe, avec l'étoile du soir
comme le simandre
je chante Dieu.


Mais quelques années plus tard le ton change et comme s'il s'agissait d'un autre, il va répétant :

Je le suis moi-même, un mufle et un truand ;
j'ai tout du bandit de grands chemins...


De l'éternel adolescent, naïf et sincère, méditatif à ses heures, viscéralement amoureux de la nature, et passionné de lecture, au fêtard de Moscou, « hooligan » et fauteur de scandales suivi de sa bruyante troupe d'adulateurs à la Rogojine, arrogant parfois, provocateur par nature plus que par défi, quel est donc le vrai visage du poète ? En vérité, comme « la cheminée à cheval sur le toit », Essenine est écartelé entre deux vives inclinations : pour la Grande-Russie traditionnelle, jardin de son enfance dont il se dit le gardien et le héraut, et pour la Révolution (telle qu'il l'entend) qu'un bouillant tempérament appelle de ses vœux ; autrement dit entre un passé qu'il chérit et rejette tour à tour au nom d'un présent qui le frustre et le trahit. Exercice d'équilibre périlleux où coexistent rage de vivre et pulsions de mort.

Introduction de la traduction de Journal d'un poète, Essenine.

Son dernier poème (écrit avec son propre sang) :

Au revoir, mon cher ! Au revoir !
Ami, je t'ai dans ma poitrine !
Nous nous quittons; de nous revoir
Un espoir déjà se devine...

Sans mots, sans main serrée, en route !
Ton front, pourquoi le rembrunir?
Pas plus que de vivre, sans doute,
Il n'est pas nouveau de mourir.

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Il a également profondément marqué l'auteur Jim Harrison, qui entretenu une relation épistolaire imaginaire avec Essenine :

à Rose
Je n’ai pas de médailles. Je sens l’absence de leur poids sur ma poitrine. Il y a des années, j’étais ambitieux. Mais il est désormais évident qu’il ne se passera rien. Tous ces poèmes qui m’ont fait léviter à un mètre du sol ne sont pas tant oubliés que tout bonnement jamais lus. Ils ont roulé comme lunes éblouissantes vers une flaque d’eau et s’y sont noyés. Aujourd’hui on ne peut même plus retrouver cette flaque. Je suis pourtant encouragé par la façon dont tu t’es pendu, en me disant que tout ça ne compte pour rien. Toi, le poète fabuleux de la Mère Russie. Néanmoins, aujourd’hui encore, des lycéennes tiennent ton cœur mort, tes poèmes, sur leurs genoux par les brûlants après-midi d’août au bord du fleuve en attendant que leur ami sorte du travail ou que leur amant revienne de l’armée, que leurs chers animaux défunts ressuscitent. Ou qu’on les appelle à dîner. Tu trouves une vie nouvelle sur leurs genoux, tu humes leur parfum de lavande, le nuage de leur chevelure qui t’inonde, tu sens leurs pieds traîner au fil du fleuve, ou caché dans un sac tu te promènes encore au bord de la Neva. Mieux, on t’utilise à contre-emploi tel un bouquet de fleurs pour les convaincre d’ôter leur robe dans un appartement. Regarde ces tuyaux de chauffage près du plafond. La corde.

Lettres à Essenine, Harrison.



Le bonheur disait-il,
C'est une affaire d'agilité
Des mains et de l'esprit.
Les âmes maladroites, on le sait,
Sont malheureuses dans la vie.
Et peu importe que les gestes
Distordus, mensongers
Soient une source de tourments.
Dans les orages et les tempêtes,
Au cœur du quotidien fade et figé,
Dans les plus lourdes des pertes
Et quand la tristesse t'inonde,
Paraître simple et souriant
Est l'art le plus sublime au monde.

Essenine
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par CellarDoor
23 nov. 2019, 17:46
Forum : Bienvenue
Sujet : Portrait chinois
Réponses : 90
Vues : 70385

Re: Portrait chinois

tortillo a écrit : 20 nov. 2019, 21:12 10.Un sentiment ? Mélancolie
boby6 a écrit : 23 nov. 2019, 10:02 10.Un sentiment ? La mélancolie
Angellore a écrit : 23 nov. 2019, 16:34 10.Un sentiment ? La mélancolie
J'aurais dû partir sur 'lesmelancoliques.fr' :D
par CellarDoor
23 nov. 2019, 11:05
Forum : Les concerts
Sujet : 23 novembre 2019 @Grenoble
Réponses : 10
Vues : 13711

23 novembre 2019 @Grenoble

Au Summum
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Et juste après Casse-noisette :shock:
par CellarDoor
23 nov. 2019, 09:33
Forum : Le support
Sujet : C'est beau
Réponses : 24
Vues : 26774

Re: C'est beau

boby6 a écrit : 23 nov. 2019, 08:55 Ce topic est parfait, c'est exactement ce que je venais écrire, c'est beau !
Ce forum me drague avec son header géométrique, son nom, ses gens aussi...
Bienvenue boby6, n'hésite pas à venir écrire sur ces murs, il n'y a de sacré ici que les membres.
par CellarDoor
22 nov. 2019, 23:55
Forum : Les albums
Sujet : Le Manifeste 2016 - 2019
Réponses : 52
Vues : 54869

Re: Le Manifeste 2016 - 2019

Louise_ a écrit : 22 nov. 2019, 21:50 J'ai écouté Nonne ou putain. Et j'ai pleuré, pleuré, pleuré...
Oui mais pour laquelle ?
par CellarDoor
22 nov. 2019, 09:30
Forum : Du pain et des jeux
Sujet : Si on tentait l'alaska
Réponses : 2377
Vues : 1351184

Re: Si on tentait l'alaska

Chili ?
par CellarDoor
21 nov. 2019, 21:49
Forum : Les albums
Sujet : Le Manifeste 2016 - 2019
Réponses : 52
Vues : 54869

Re: Le Manifeste 2016 - 2019

Petrushka c'est Kasia en plus majestueux, ample, intense et profond.
Kasia dix ans plus tard, en somme.
par CellarDoor
21 nov. 2019, 16:36
Forum : Du pain et des jeux
Sujet : Si on tentait l'alaska
Réponses : 2377
Vues : 1351184

Re: Si on tentait l'alaska

Bisounour a écrit : 21 nov. 2019, 14:08 Chez les Hobbits, en Nouvelle-Zélande
Bien joué ;)
Je te laisse la main.