Luame a écrit : ↑11 mai 2024, 10:34 La prochaine fois, tu jettes un petit message la veille ?
J'avais vu passé l'arrivée de la tempête magnétique mais je n'ai pas fait le lien ...

J'espère que ca valait tout de même le coup malgré les photos !

Je lève les yeux vers le ciel cette nuit. En espérant qu'ils restent ouverts

Passez une bonne journée !

Ben j'allais mettre un article qui parlait de la tempête et la possibilité d'aurore boréale dans le Nord dans le topic sur l'astronomie puis j'ai dû être interrompue par un être haut comme 3 pommes et suis passée à autre chose, j'ai donc zappé
C'est encore en cours donc à priori ce soir en début de nuit faut regarder au nord. Pas sûre de voir grand chose ici les lampadaires s'éteignent que vers 1h je crois.

Qui s'est qui a loupé les aurores boréales hier soir parce qu'ils avaient annoncé que dans le Nord et à 3h du mat, j'ai pris quelques photos merdiques au tel à 4h30 du mat parce que m'étant réveillée je me suis quand même tenté à sortir voir, et ce matin je vois les trop belles photos prises dans ma ville vers minuit (quand on s'est couché même pas pensé à regardé quoi )
Bon à priori ça devrait recommencer cette nuit

J'espère que certains ici ont pu profiter du spectacle !

--- a écrit : ↑10 mai 2024, 23:16

CellarDoor a écrit : ↑10 mai 2024, 12:33 Bonjour Gari
Aurevoir Gari

On n'a pas eu le temps de voir des nues dans son profil

Y'avait des nues pour les autres ?

écholalie

On va en faire un film : "l'attaque forumesque des IA"

J'aime beaucoup ! Bon en même temps une chanson dédié à un chien y'avait déjà un bon point

tesco neo a écrit : ↑30 avr. 2024, 19:15 C'est vraiment bon, mais ça me met dans un état étrange bref en tout cas c'est beau

Ah oui, un état étrange ? Bizarre

--- a écrit : ↑30 avr. 2024, 00:45 Ils sont vraiment magnifiques les poèmes de cette série

Nous irons la rechercher la cité perdue de nos deux âmes éperdues
À travers les dunes des regs lointains nous marcherons sans fin
Et dans les tempêtes des sables orangers nous traverserons sans crainte
Nos peaux brûlées par des siècles d’errance mais nos cœurs toujours battants
Cadence des danses mystiques et ancestrales
Nos mains serrées à ne jamais se lâcher
Et tes yeux exilés dans le bleu des cieux du vieil été
Les tourbillons silencieux de nos séparations s’éteindront
La poussière ne volera plus entre nos amours échappés
Et comme deux rescapés nous retrouverons l’éternité
Aux portes de Babylone ressuscitée
Nous cultiverons de nouveaux jardins
Parsemés de roses et de lilas blancs
Je t’apprendrai les rêves éveillés et les mythes cachés
Tu me joueras tes envoûtements sous la brise du vent
Nous briserons les chaînes qui enserrent nos poignets
Et dans l’ouragan des mers asséchées
Nous braverons les mirages et les rires des Djinns

Pousseront à nouveau sur ces terres arides
Les cerisiers d’or et les saules d’opale
Pour abriter ton corps dans l’ombre retrouvée
Nous serons de l’Empire les élus recherchés
Et sans château ni couronnes nous règnerons
D’un sceptre étoilé et d’un sourire damné
Un trône de plumes pour asseoir nos futurs
Sur l’étendue sauvage d’une plage infinie


Alors


Ton regard dans le mien
Pour ancrer notre amour
Dans le sable mouvant
De nos rêves sacrés

"Nous devons croire que tout a une cause, comme l'araignée tisse sa toile afin d'attraper les mouches, et le fait bien avant de savoir qu'en ce monde il existe des mouches."

Georg Christoph Lichtenberg

Luame a écrit : ↑27 avr. 2024, 09:58
Nobody, j'espère que l'aide attendue avec les congés est bien arrivée et que ca te permettra d'avancer plus tranquillement

Merci, ça a bien avancé oui mais encore un peu de boulot, les jours défilent toujours beaucoup trop vite

https://korii.slate.fr/et-caetera/scien ... que-matrix

Il y avait dans l’horizon couchant des trainées roses
Comme les météores de nos proses
Te souviens-tu des météores au temps de tes jeux avec la Mort ?
Et des soleils rouges au bord de tes yeux, mi amor ?

J’avais lancé dans la Voie lactée des rêves déjà calcinés
Par la flamme de nos âmes encore fusionnées
Et même les pluies diluviennes ne peuvent apaiser
Le feu qui ronge l’éternel désir de nos baisers

Et malgré les tempêtes et les radeaux échoués
Et malgré les déluges de nos cœurs embués
Je sais que par-delà les ciels trop grisés
L’empire existe encore et son donjon dressé

Je vois la Colombe posée sur une branche fleurie
Elle attend, il me semble, juste que tu lui souris
Crois-tu qu’elle s’envolera quand tu l’approcheras ?
Où que ses ailes n’ont plus la force de fuir tes bras ?

Où seras-tu demain quand tremblera la Terre ?
Et que jaillira la lave du creux de nos artères ?
Fuiras-tu dans la brume de nos poésies ?
De ces mots qu’on s’est dit à l’orée de nos nuits ?

J’ai gravi des montagnes sans t’avoir dans mes pas
Et pleuré mille fois le souvenir de nos joies
De ces vies passées dont tu ne te souviens pas
Et qui pourtant se sont gravées au plus profond de toi

Écoutes dans l’aurore l’écho de l’Univers
Qui rythme chaque jour le chant de mes prières
Et fais revenir l’Ombre au bord de sa Lumière
Pour offrir l’éternel au sort de l’éphémère

Luame a écrit : ↑17 avr. 2024, 09:10 Panique chez les procrastinateurs à la lecture de ton post
Vraiment bientôt, c'est ... au mieux demain de mon côté !

Après, j'entends bien que les conditions et enjeux sont différents
Je ne te répéterai pas à chaque post que j'espère que ca le fera mais l'idée y est.

Bon début de journée à tous !

c'est parce que le temps passe deux fois plus vite dans mon monde !

Merci, ça le fera, je me plains mais ça fini toujours par le faire