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- 21 avr. 2022, 13:00
- Forum : Doit y avoir autre chose
- Sujet : Les joies et les peines de votre journée
- Réponses : 1408
- Vues : 450539
Re: Les joies et les peines de votre journée
1 an jour pour jour que j'écoute Damien Saez
- 18 févr. 2022, 23:29
- Forum : Les quatre saisons
- Sujet : Heaven's calling
- Réponses : 23
- Vues : 9526
Re: Heaven's calling
- 28 janv. 2022, 21:24
- Forum : Levons la brume
- Sujet : Damien et Zola
- Réponses : 39
- Vues : 21670
Re: Damien et Zola
C'était super intéressant merci beaucoup !!
- 07 janv. 2022, 21:04
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Do you know my poetry?
- Réponses : 89
- Vues : 36799
Re: Do you know my poetry?
c'est magnifique <<3
- 01 janv. 2022, 01:04
- Forum : Mes libertés
- Sujet : "pour régler des comptes avec soi"
- Réponses : 9
- Vues : 4734
Re: "pour régler des comptes avec soi"
(Parce que je sais pas sur quel topic le mettre
Je vous souhaite le ciel
Je vous souhaite l'amour
Je vous souhaite l'immatériel
Je vous souhaite rêve toujours
Je vous souhaite cœur dansant
Je vous souhaite votre empire
Je vous souhaite l'insouciant
Je vous souhaite les sourires
Je vous souhaite vos chemins
Je vous souhaite l'ivresse
Je vous souhaite les matins
Je vous souhaite tendresse
Plus qu'une bonne année
Je vous souhaite l'éternité
La beauté de l'éphémère
Et puis la Terre entière...
Ellena
Je vous souhaite le ciel
Je vous souhaite l'amour
Je vous souhaite l'immatériel
Je vous souhaite rêve toujours
Je vous souhaite cœur dansant
Je vous souhaite votre empire
Je vous souhaite l'insouciant
Je vous souhaite les sourires
Je vous souhaite vos chemins
Je vous souhaite l'ivresse
Je vous souhaite les matins
Je vous souhaite tendresse
Plus qu'une bonne année
Je vous souhaite l'éternité
La beauté de l'éphémère
Et puis la Terre entière...
Ellena
- 31 déc. 2021, 18:00
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Webcam de nos amours
- Réponses : 18
- Vues : 7564
Re: Webcam de nos amours
C'est très beau <33
- 29 déc. 2021, 15:29
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Blind test répliques de films
- Réponses : 429
- Vues : 235109
Re: Blind test répliques de films
ohhh je vois le film !!!!! Mais de là à me rappeler du titre...suffragettes AB a écrit : ↑28 déc. 2021, 18:58 """Que dire d’une fille de vingt-cinq ans, quand elle est morte ? Qu’elle était belle et terriblement intelligente. Qu’elle aimait Bach, Mozart et les Beatles, et moi."""
- 24 déc. 2021, 15:49
- Forum : Mes libertés
- Sujet : "pour régler des comptes avec soi"
- Réponses : 9
- Vues : 4734
Re: "pour régler des comptes avec soi"
Contes de fées
Princesse de la nuit
Prise dans le donjon
Ell' rêve d'infinis
Et puis d'un cœur sans fond
Les yeux sur l'océan
Pour seule amie la houle
Partis les goélands
Qui étaient libr's et soûls
Là bas au dessus d'elle
Il y a le bleu ciel
Où l'on grimpe éternel
Régner sur les mortels
Les perles seront lourdes
Dans son corps la souffrance
Mais les nuits seront chaudes
Finie la vaine errance
Ou il y a la chute
Dans l'eau glacée de noir
Commencer une lutte
Contre un Dieu désespoir
La mer salée qui tue
Comme une renaissance
Éternité déchue
Fontaine de Jouvence
A trop se réfléchir
La princesse demeure
Dans sa tour prisonnière
Les rêves qui se leurrent
Une cage agréable
Qui étouffe son hôte
Se racontant des fables
De sécurité sotte
Allez saute pour vivre
Elle ne sait pas choisir
Entre la richesse ivre
Du trop offert pourrir
Ou bateau en dérive
Porté au gré des vents
Des naufrages aux rives
Pour périr dans l'instant
Princesse du château
De contes de fée morts
Comprendre ses fardeaux
Pour mourir sans remords
Adieu princesse enfance
Mets tes failles à nue
Pour ta juste sentence
De vie sans retenue
Écoute au loin du sombre
Le chant des goélands
Il n'y a pas de tombe
Pour les morts du printemps
...
Au loin des horizons
Je veux suivre l'oiseau
Franchissant tous les monts
De ses ailes de mots
Mais la voie qu'il poursuit
N'est peut être pas mienne
Reste ses plumes nuits
Pour libérer mes chaînes
Princesse de la nuit
Prise dans le donjon
Ell' rêve d'infinis
Et puis d'un cœur sans fond
Les yeux sur l'océan
Pour seule amie la houle
Partis les goélands
Qui étaient libr's et soûls
Là bas au dessus d'elle
Il y a le bleu ciel
Où l'on grimpe éternel
Régner sur les mortels
Les perles seront lourdes
Dans son corps la souffrance
Mais les nuits seront chaudes
Finie la vaine errance
Ou il y a la chute
Dans l'eau glacée de noir
Commencer une lutte
Contre un Dieu désespoir
La mer salée qui tue
Comme une renaissance
Éternité déchue
Fontaine de Jouvence
A trop se réfléchir
La princesse demeure
Dans sa tour prisonnière
Les rêves qui se leurrent
Une cage agréable
Qui étouffe son hôte
Se racontant des fables
De sécurité sotte
Allez saute pour vivre
Elle ne sait pas choisir
Entre la richesse ivre
Du trop offert pourrir
Ou bateau en dérive
Porté au gré des vents
Des naufrages aux rives
Pour périr dans l'instant
Princesse du château
De contes de fée morts
Comprendre ses fardeaux
Pour mourir sans remords
Adieu princesse enfance
Mets tes failles à nue
Pour ta juste sentence
De vie sans retenue
Écoute au loin du sombre
Le chant des goélands
Il n'y a pas de tombe
Pour les morts du printemps
...
Au loin des horizons
Je veux suivre l'oiseau
Franchissant tous les monts
De ses ailes de mots
Mais la voie qu'il poursuit
N'est peut être pas mienne
Reste ses plumes nuits
Pour libérer mes chaînes
- 12 nov. 2021, 09:28
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le pont mot
- Réponses : 315
- Vues : 177493
Re: Le pont mot
C'est quoi le titre de cette chanson ?noukadanslesnuages a écrit : ↑12 nov. 2021, 03:49 Il marche dans le jardin il regarde les fleurs
Qui sortent de l’hiver puis qui ouvrent leur cœur
Les peuples des insectes qui lui font des sourires
Aux effluves des parfums il se souvient du rire
De sa mère qui lui fait soudain mouiller un peu
Les yeux de sous l’écorce de la vie des vieux
Et que la mort me prenne ou qu'elle prenne les miens
Puisque tous les cimetières un jour font des jardin
Quel que soit le chemin j'ai choisi mon destin
Sera celui du cœur oui celui de l'humain
- 25 oct. 2021, 10:12
- Forum : Mes libertés
- Sujet : Tjurunga
- Réponses : 174
- Vues : 96840
Re: Tjurunga
Jolis textes : )
- 24 oct. 2021, 11:44
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le pont mot
- Réponses : 315
- Vues : 177493
Re: Le pont mot
Quand papillons de lune là dans le clair obscur
Nous nous réincarnions pour soigner la blessure
Que l’étreinte nous mène bien plus loin que nous-mêmes
Pour que soudain la peine se transforme en je t’aime
Nous nous réincarnions pour soigner la blessure
Que l’étreinte nous mène bien plus loin que nous-mêmes
Pour que soudain la peine se transforme en je t’aime
- 24 oct. 2021, 11:40
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le rébus saézien
- Réponses : 906
- Vues : 231574
Re: Le rébus saézien
Aaah d'accord merci !
- 23 oct. 2021, 17:57
- Forum : Du pain et des jeux
- Sujet : Le rébus saézien
- Réponses : 906
- Vues : 231574
Re: Le rébus saézien
J'ai pas compris
- 17 oct. 2021, 18:20
- Forum : La tanière
- Sujet : L'Ours aux lettres
- Réponses : 337
- Vues : 113511
Re: L'Ours aux lettres
effectivement
- 15 oct. 2021, 11:04
- Forum : Mes libertés
- Sujet : "pour régler des comptes avec soi"
- Réponses : 9
- Vues : 4734
Re: "pour régler des comptes avec soi"
En fait c'est un truc que Saez avait dit dans une interview, comme quoi il fallait écrire pour régler des comptes avec soi même ou un truc dans le genre et je trouvais ça vrai. Mais ça a rien à voir avec ce texte parce que c'est pas du tout ce que j'écris d'habitude
- 15 oct. 2021, 07:30
- Forum : Mes libertés
- Sujet : "pour régler des comptes avec soi"
- Réponses : 9
- Vues : 4734
"pour régler des comptes avec soi"
inspiration sur une chanson de Damien...
En bords de Seine, Saez
La Seine se glisse sous la brume, le long des bords pavés de Paris, des notes de piano dansant lentement à la surface des ondes. Tout est gris pâle en bords de Seine, excepté les feuilles or qui tombent dans le vent.
La Seine s’écoule sans se soucier du passant qui la contemple. Il se tient là, dans son long manteau noir, en bord de Seine, les yeux plongés dans les souvenirs qui défilent malgré le fleuve qui fuit inlassablement les bords de Seine.
Et dans le vent léger il murmure. « Nous étions deux amis je crois, ou peut être un peu plus que ça, en bords de Seine... ». La brise emporte ses mots à celle qui se reflète dans l’eau grise des bords de Seine.
Les feuilles qui tombent en cascade le font encore croire à des bords de Seine plus heureux. Leurs trajectoires écrivent dans le ciel. « Peut être un jour tu reviendras, si un jour tu passais par là... ». Mais il n’y a plus que solitude de la vie qui l’entoure, malgré les passants anonymes qui le frôlent en accélérant. A ses pieds, l'eau à la mélodie mélancolie semble lui demander de la rejoindre, mais l’homme hésite. « Tu sais j’ai du penser mille fois, à m’y jeter oui dans les bras, des bords de Seine... ».
L’homme se met à marcher, les percussions frappant ses pas lancinants, le piano qui s’accélère au rythme de ses mouvements douloureux de deuil. Il avance en bords de Seine, il suit les souvenirs heureux qui lui reviennent, il longe les bancs qu’il associe aux « je t’aime ». Il souffre de ces mots dits et puis de ces maudits des bords de Seine.
Dans sa marche macabre, un fantôme pâle d’une femme magnifique l’accompagne. Elle court devant lui et ses mouvements joyeux paraissent irréel face à la mélancolie des bords de Seine. Il aimerait la rattraper, mais il ne peut, il a déjà sacrifier il y a bien longtemps son empire, pour que ses mots tentent un peu de la retenir en bords de Seine. Alors de désespoir il s’adresse à l’éternelle. « On se dit s’aimer à mourir, comment la vie nous fait mentir, en bords de Seine... ».
La femme s’arrête et se retourne. Elle lui souri. Il grimace devant sa splendeur, emporté par la grandeur et la douleur de ce qu’il ressent. Il suspend sa respiration, puisqu’il n’y a que sa Magnifique pour le faire survivre aux bords de Seine.
Les notes de musique prisonnières du vent s’accélèrent et le frappent et dans un tourbillon, elles arrachent le spectre à ses yeux pluvieux. Seul reste un sourire sur ses bords de Seine. Il se sent mourir, il hurle à sa souffrance, a ses yeux qui fuient, à ces promesses finies, ses pieds qui dérapent dangereusement sur les bords de la Seine. Perdu dans cet endroit qu’il connaît trop bien, la voix brisé il écrit ses murmures dans le froid des bords de Seine.
« On se dit des mots tendres,
On s’y met à genoux
Quand le cœur est à prendre
Quand il pleure sur les joues… ».
Sa voix s’affirme au fur et à mesure que ces larmes brûlent ses joues et son sourire, où l’on croit voir naître l’espoir. Sa vision se trouble de bruine et dans le brouillard, il admire les amoureux qui font rougir les chrysanthèmes qu’il tient. Puis qu’il lance à la Seine pour faire apparaître, au milieu des ondes, le sourire qu’il ne veut oublier. Et sa main vide de solitude rêve alors de serrer de nouveaux mots d’amour en bords de Seine.
Du haut du pont où il accoste, il contemple à nouveau le fleuve qui coule en bords de Seine, emportant son amour perdu, et ses larmes qui font marées de ses yeux.
« Tout ce qu’on s’était dit sur les bords de la Seine » soupire-t-il au souvenir de sa Magnifique, fuyant au gré des vagues. Et soudain, il se tait avant de la rejoindre au fond de la Seine.
Le vent, porteur de noires et de croches, souffle encore en tornade au dessus de deux amoureux, deux fantômes pâles marchant lentement... en bords de Seine.
En bords de Seine, Saez
La Seine se glisse sous la brume, le long des bords pavés de Paris, des notes de piano dansant lentement à la surface des ondes. Tout est gris pâle en bords de Seine, excepté les feuilles or qui tombent dans le vent.
La Seine s’écoule sans se soucier du passant qui la contemple. Il se tient là, dans son long manteau noir, en bord de Seine, les yeux plongés dans les souvenirs qui défilent malgré le fleuve qui fuit inlassablement les bords de Seine.
Et dans le vent léger il murmure. « Nous étions deux amis je crois, ou peut être un peu plus que ça, en bords de Seine... ». La brise emporte ses mots à celle qui se reflète dans l’eau grise des bords de Seine.
Les feuilles qui tombent en cascade le font encore croire à des bords de Seine plus heureux. Leurs trajectoires écrivent dans le ciel. « Peut être un jour tu reviendras, si un jour tu passais par là... ». Mais il n’y a plus que solitude de la vie qui l’entoure, malgré les passants anonymes qui le frôlent en accélérant. A ses pieds, l'eau à la mélodie mélancolie semble lui demander de la rejoindre, mais l’homme hésite. « Tu sais j’ai du penser mille fois, à m’y jeter oui dans les bras, des bords de Seine... ».
L’homme se met à marcher, les percussions frappant ses pas lancinants, le piano qui s’accélère au rythme de ses mouvements douloureux de deuil. Il avance en bords de Seine, il suit les souvenirs heureux qui lui reviennent, il longe les bancs qu’il associe aux « je t’aime ». Il souffre de ces mots dits et puis de ces maudits des bords de Seine.
Dans sa marche macabre, un fantôme pâle d’une femme magnifique l’accompagne. Elle court devant lui et ses mouvements joyeux paraissent irréel face à la mélancolie des bords de Seine. Il aimerait la rattraper, mais il ne peut, il a déjà sacrifier il y a bien longtemps son empire, pour que ses mots tentent un peu de la retenir en bords de Seine. Alors de désespoir il s’adresse à l’éternelle. « On se dit s’aimer à mourir, comment la vie nous fait mentir, en bords de Seine... ».
La femme s’arrête et se retourne. Elle lui souri. Il grimace devant sa splendeur, emporté par la grandeur et la douleur de ce qu’il ressent. Il suspend sa respiration, puisqu’il n’y a que sa Magnifique pour le faire survivre aux bords de Seine.
Les notes de musique prisonnières du vent s’accélèrent et le frappent et dans un tourbillon, elles arrachent le spectre à ses yeux pluvieux. Seul reste un sourire sur ses bords de Seine. Il se sent mourir, il hurle à sa souffrance, a ses yeux qui fuient, à ces promesses finies, ses pieds qui dérapent dangereusement sur les bords de la Seine. Perdu dans cet endroit qu’il connaît trop bien, la voix brisé il écrit ses murmures dans le froid des bords de Seine.
« On se dit des mots tendres,
On s’y met à genoux
Quand le cœur est à prendre
Quand il pleure sur les joues… ».
Sa voix s’affirme au fur et à mesure que ces larmes brûlent ses joues et son sourire, où l’on croit voir naître l’espoir. Sa vision se trouble de bruine et dans le brouillard, il admire les amoureux qui font rougir les chrysanthèmes qu’il tient. Puis qu’il lance à la Seine pour faire apparaître, au milieu des ondes, le sourire qu’il ne veut oublier. Et sa main vide de solitude rêve alors de serrer de nouveaux mots d’amour en bords de Seine.
Du haut du pont où il accoste, il contemple à nouveau le fleuve qui coule en bords de Seine, emportant son amour perdu, et ses larmes qui font marées de ses yeux.
« Tout ce qu’on s’était dit sur les bords de la Seine » soupire-t-il au souvenir de sa Magnifique, fuyant au gré des vagues. Et soudain, il se tait avant de la rejoindre au fond de la Seine.
Le vent, porteur de noires et de croches, souffle encore en tornade au dessus de deux amoureux, deux fantômes pâles marchant lentement... en bords de Seine.